Histoires

Mercredi 15 août 3 15 /08 /Août 02:31

Alors par où commencer ? Le mieux, par moi ! Thomas, 26 ans, gay, prof d'histoire géo en lycée public, pratiquant la domination dans le rôle du maître, plutôt beau gosse, pas très grand mais musclé, les yeux bleu, les cheveux noirs, et une queue de 19cm.

 

Ca c'est moi donc ! Maintenant ma « victime ».

 

Kyle, 18 ans, gay également, lycéen, petit con vaniteux et riche, moulé façon crevette avec tout de même de jolies tablettes de chocolat, blond, les yeux gris, queue de 15cm.

 

Voici donc les deux personnages principaux, maintenant la situation.

 

Comme je l'ai dit, je suis prof dans un lycée public, ma direction, mes collègues et mes élèves savent tous que je suis gay, nouvelle époque oblige, il est vivement conseiller de se faire connaitre comme homo quand on est dans la fonction publique, pour montrer que l'administration ne fait pas de différence. Même si des différences il y en a, par exemple seuls les classes de profs homo sont placés sous vidéo-surveillance, soi-disant pour éviter les fausses accusations de harcèlement sexuel, enfin passons.

 

Rentrée 2024 ! Je redécouvre avec plaisir mon lycée, ma salle, et mes anciens élèves qui ont profités des vacances d'été pour presque devenir des hommes. Dans une de mes classes de terminales, je repère Kyle, je me souviens de lui en seconde, un tout petit bonhomme timide et adorable. Mais aujourd'hui, plus rien à voir, il a pris 20 cm, et transpire la suffisance. Dès que je croise son regard prétentieux j'ai envie de le gifler !

 

Les premières semaines de cours se passent, en général bien, du moins avec la grande majorité de mes élèves, mais pas avec Kyle, devoirs bâclés, insolence, retards et j'en passe. Après les colles, les devoirs supplémentaires (pas faits), et tout l'arsenal (réduit par ailleurs) du prof moderne, arrive enfin le grand moment : convocation des parents !

 

Je m'attendais à voir soit des parents « absents », soit des parents « aveugles ». La première catégorie par du principe qu'à 18ans, ils n'ont plus besoin d'être derrière leur môme, la seconde que leur « petit ange » est juste un incompris, un génie que les profs dénigrent parce qu'ils sont jaloux et incapables de comprendre la grandeur de leur progéniture... laissez-moi rire !

 

Mais pas du tout, je rencontre un père ouvert et attentif mais qui m'avoue ne pas s'en sortir avec son fils, trop pris qu'il est par son travail, son divorce, et les deux plus jeunes (8 et 12 ans), mais il promet qu'il va tenter de remettre son fils sur le droit chemin.

 

Ceci sans le moindre résultat !

 

Vacances de fin d'année ! Fils unique et orphelin, j'ai prévu de passer les fêtes chez des amis qui habitent Lyon, un couple de garçons que je connais depuis des années et qui ne rechignent pas à jouer les esclaves à mon service pendant mes séjours, de bonnes vacances en perspective donc.

 

Les premiers jours sont conformes à mes attentes, j'ai deux jolis petits mecs ravis d'exaucer mes moindres désirs, et puis on sort, sur leur demande, nous allons dans un club un peu SM, ils ont envi que je les punissent devant témoins.

 

La soirée se passe, je trimbale mes deux soumis en laisse de salle en salle, examinant les marchandises libres. Je finis par accéder aux suppliques de mes deux chiens, et je les corrige au paddle devant une assemblée grandissante dont certains membres ont sortis le leur !

 

Ah, pour info, et comme souvent quand je sors dans ce genre d'endroit, je porte une cagoule de bourreau qui dissimule mes traits, non pas par crainte de rencontres gênantes, mais parce que ma trop jolie petite gueule me fait facilement passé pour un soumis.

 

Je suis donc en train de corriger vertement mes deux logeurs en maltraitant leurs jolis petits culs, quand je remarque dans l'assistance un visage familier, et quel visage : Kyle ! Mon adorable petit con ! que j'ai envie de corriger depuis le premier jour de l'année.

 

Excité à l'idée de pouvoir enfin le prendre en main, j'expédie mes deux punis en les terminant à la cravache et au martinet, quand ils pleurent enfin leur douleur et me porte verbalement aux nues, je leur ordonne d'aller se reposer au bar et de m'attendre sagement.

 

Après avoir reçu quelques félicitations de l'assistance sur mon œuvre je me tourne vers Kyle, il pue le sexe et la suffisance comme toujours. Débardeur moulant semi-transparent, jean troué à la braguette déformée par sa queue tendue, je meurs d'envie de défoncer son joli petit cul, à la main et avec mes 19cm.

 

Je ne prononce pas un mot, trop risqué, je tends seulement un doigt impérieux vers lui et lui fait signe de s'approcher. Si seulement il obéissait à moitié aussi bien en tant qu'élève, il est instantanément à mes côtés et demande d'une voix rauque :

 

« Oui maitre ? »

 

Je retiens un sourire, j'ignore comment les autres font, mais moi on ne me donne du « maître » que si j'ai expressément accepté le mec à mon service. Enfin, au moins est-il soumis et excité à l'idée de ce qu'il attend. J'hésite une seconde à le punir en publique, mais je renonce, cette fois-là il ne sera qu'à moi !

 

Je l'emmène dans les cabines que j'ai repéré et je ferme la porte derrière moi, puis je laisse mon regard le parcourir de haut en bas en faisant la moue, genre « pas terrible, mais je ferais avec », je claque des doigts et je désigne le sol, je suis impressionné par sa réactivité, il se met instantanément à genoux et défait ma braguette avec avidité.

 

Je le laisse libérer ma queue de sa prison de tissus, et je le vois légèrement sursauté quand il la contemple dans son entier, soit c'est la première qu'il voit, ça m'étonnerais, soit il n'en a jamais vu d'aussi grosse en vrai, possible.

 

Mais quel que soit la raison, il se montre vaillant le petit con suffisant, et il la prend dans sa bouche avec un plaisir évident. Il a une bonne technique, pas de dents, des coups de langues agiles et gourmands, et surtout ses grands yeux levés vers moi avec cette question muette : « Je le fait bien maître ? », et ça, je connais rien de plus excitant !

 

Je le laisse s'agiter sur ma queue un bon moment et puis je le prends par les cheveux et je l'oblige à reculer la tête, toujours sans un mot, je le force à se relever et je pousse face contre le mur. Il ne moufte pas, que ce soit parce qu'il joue le jeu, ou bien parce qu'il craint vraiment que je ne sois pas content, je ne sais pas et je m'en fous. Une fois contre le mur, je défais son jean que laisse tomber sur ses chevilles, et je saisi violement sa queue et ses couilles avant d'abattre ma main sur son petit cul.

 

Je sens une vraie décharge de plaisir m'envahir quand il glapit pour la première fois, bien entendu je n'en reste pas là, et bientôt les fessées pleuvent sur ses deux globes pâles. Après la première surprise passée, il se contente d'abord de gémir, mais je le sens tressaillir. Il veut prouver qu'il est un mec, un vrai, pas un gamin, mais mâle qui sait encaisser la douleur. Sauf que, le pauvre petit, il ne sait visiblement pas ce que c'est qu'une raclée, et je compte bien lui apprendre !

 

Je monte en puissance, frappant de plus en plus fort, et ses lèvres ont de plus en plus de mal à retenir les gémissements, les transformant en petits cris charmant, quoique dépourvu de la moindre virilité. Je tiens mon niveau de force ! Maintenant je brise mon rythme, et il ne sait plus où la prochaine va tomber, ni quand, alors à chaque fois c'est un cri étrangler qui s'échappe de sa gorge, et je sens mon plaisir augmenter encore, le sien n'est d'ailleurs pas en reste, sa queue est toujours raide dans ma main.

 

Viens alors la troisième partie, j'abandonne le contrôle de ma force, je frappe dur, ou bien j'effleure, je caresse, quelque fois mes doigts titillent sont petit trou, et enfin, à chacun de mes coups ce sont des vrais cris qu'il pousse !

 

Je meurs d'envie de le baiser, c'est la seule raison qui m'empêche de le briser, de le mener aux larmes et aux suppliques. J'arrête donc ma punition quand je sens sa queue ramollir dans ma main, il est temps de passer à autre chose !

 

J'abandonne donc les claques, et ma main s'insinue entre ses fesses rougies, je lui présente mes doigts à sucer et il obéit avidement, à peine sa bouche est-elle libre qu'il gémit comme une chienne en chaleur, tortillant son petit cul en me suppliant de le prendre. Ce n'est pas l'envie qui m'en manque j'adorais le prendre à sec, le faire gueuler, mais un brin de conscience me pousse à le préparer, au moins sommairement.

 

Quelques doigts rapides, un peu de salive, et je m'enfonce profondément en lui, et il gueule, plaisir ? Douleur ? Les deux ? A ce moment je m'en contrefous, son petit cul est doux, chaud, étroit, parfait pour ma queue, taillé sur mesure ! J'attends une seconde, et je commence à le baiser, je prends sa queue dans ma main, il gueule toujours, mais de plaisir vu qu'elle a retrouvé toute sa dureté.

 

Je le tringle violement, je laisse transparaitre mon mépris pour lui, pour ce petit con vaniteux, ce n'est plus un amant, ni même un coup, c'est juste un trou pour moi, un vide-couilles. Je le branle sans douceur, je tiens à ce qu'il jute avant moi, bien avant moi, ma seconde main se glisse sous son débardeur et s'attaque à ses tetons, je veux qu'il gueule en vidant ses jeunes couilles.

 

Vrai ou faux, il le fait ! Il jouit contre le mur en criant, et je savoure ma victoire, j'ai encore de la marge moi, je pourrais le faire jouir une seconde fois si je le voulais, mais je n'ai pas envie, je vais juste le limer encore un moment, me finir, et le laisser là.

 

C'est ce que j'avais prévu de faire, et peut-être que j'aurais dû.

 

Mais une fois ma queue rassasiée et rangée, il s'est tourné vers moi et m'a dit avec toujours cette suffisance insupportable :

 

« Je veux te revoir ! »

 

Je l'ai giflé directement, visiblement ça l'a surpris, mais quand j'ai claqué des doigts en désignant de nouveau le sol, il a compris. Le jean toujours aux chevilles, il s'est agenouillé et c'est excusé platement. J'ai hésité, hésité à casser sa belle petite gueule, hésité à lui tanner le cul encore une fois, hésité à le baiser de nouveau, hésité à le laisser là sans un autre regard ! Mais finalement j'ai fait autrement, j'ai pris un marqueur (indispensable ici pour désigner sa propriété), et j'ai noté sur son ventre mon adresse mail SM, et puis je me suis tirer sans un mot.

 

Heureusement que j'avais mes deux logeurs pour me changer les idées pendant le reste de mes vacances, parce qu'entre mes prises de têtes (j'avais tout de même baisé un de mes élèves), et mes branlettes furieuses au souvenir de cette séance, j'étais un peu déstabilisé, d'autant plus que ce petit con m'abreuvait de messages enflammés et largement illustré par différentes photos.

 

Je crois que c'est avec ces photos qu'ai venu le déclic.

 

J'ai commencé par des petits gages, des trucs faciles, ne pas porter de sous-vêtements pendant une journée, se faire surprendre en train de se branler par son père, se raser intégralement le corps, des trucs simples et excitant pour lui.

 

Au fil des jours, les gages devenaient plus sexuels, plus dur, le tout largement agrémenté de photos et de films de ses exploits. Quand est venus le temps de retourner en cours, j'ai évoqué un point qui n'avait rien de sexuel, ses devoirs ! Je lui ai demandé s'il les avait fait correctement, la réponse a été oui sauf pour celui d'histoire, j'ai évidemment voulu savoir pourquoi celui-ci en particulier, et ce petit con n'a rien trouvé de mieux à répondre qu'il trouvait son prof sexy quand il s'énervait !

 

Inutile de dire que ce n'est pas tomber dans l'oreille d'un sourd.

 

En tant que « maître », je lui ai donc proposé un marché, soit il faisait son devoir du mieux possible, soit il s'excuserait platement auprès de son professeur après les cours et lui demanderait une punition en y mettant toute la suggestivité possible. Mais s'il choisissait de faire son devoir, il devrait passer la journée suivante plugué et la queue et les couilles ficelées pour s'être mis si tard à son devoir. Bien entendu, s'il devait choisir la discussion avec le prof, il devrait l'enregistré.

 

J'étais très content de moi quand le jour de la rentrée j'ai ramassé les copies de sa classe et que j'ai vu qu'il n'en avait pas. Faussement las, j'ai lâché :

 

« Kyle, ici après les cours ! »

 

Je l'ai vu rougir et j'ai sentis ma queue gonflée dans mon pantalon.

 

La journée est passée tout doucement, à mon grand agacement, et enfin la dernière cloche a sonné.

 

Kyle est apparu sur le pas de la porte alors que le dernier de mes élèves venait de partir. Faussement fatigué à l'avance de cette discussion, je lui ai dit :

 

« Ferme la porte et assied toi ! »

 

Il a obéit, oserait-il ou pas jouer le jeu ? J'étais impatient de le savoir !

 

Je n'ai pas lâché un mot, pourquoi faire ? Il savait ce que j'attendais en tant que prof : une explication.

 

Et c'est là qu'il m'a soufflé, au lieu d'une excuse bateau, quitte à enchainer sur la punition grivoise derrière, il a seulement dit :

 

« Je n'ai pas d'excuse, et je mérite d'être punis, puisque les heures de colles et les devoirs ne font rien, vous n'avez qu'à me mettre une trempe. »

 

J'avoue que je suis resté scotché, finalement plus par le ton qu'autre chose, il n'y avait pas de provocation dans son ton, seulement une simple constatation comme s'il avait parlé d'un autre. Je me suis repris et j'ai lâché :

 

« Crois-moi si j'en avais le droit ce serrais déjà fait, puisque tu ne sembles comprendre rien d'autre, peut être que ça tu enregistrerais ! »

 

Là c'est moi qui l'ai soufflé, j'imagine qu'il s'attendait à ce que je m'étouffe de surprise ou de gêne, mais non j'avais été tout aussi clinique que lui, et c'était lui qui rougissait maintenant, je n'ai pas pu m'empêcher de l'enfoncer :

 

« T'aurais les fesses comme tes joues si j'avais le droit ! La fessée cul nu, je vois que ça dans ton cas, les mains contre le mur et hop, sur que tu bosserais avec ce genre de traitement ! »

 

La référence à la position que je lui avais imposé pendant les vacances le fit encore rougir davantage, et je dus user de tout mon contrôle pour ne pas céder à l'allonger sur mes genoux et à lui rougir le cul avant de le baiser jusqu'à ce qu'il demande grâce !

 

Mais je me suis retenu :

 

« Bon je suppose que tu as enregistré tout ça pour tes copains, t'as remplis ton pari j'imagine, j'espère que tu es fier de toi, maintenant file, j'en ai marre de perdre du temps avec toi, fait ton devoir ou ne le fait pas, ça n'est plus mon problème ! Tu as vraiment passé la limite avec ce pari stupide, donc désormais je ne perdrais plus mon temps avec toi, tu n'existes plus dans mon cours. »

 

Je sais c'était salaud, horrible même, et il l'a compris aussi, il est devenus blanc d'un coup ! J'ai même vu ses yeux s'emplir de larmes, j'espérais bien qu'il craque, et il l'a fait. Il s'est répandu en excuses, en suppliques, en explications, le tout entrecoupé de larmes et de sanglots, à 18ans c'était pathétique, mais tellement excitant. Il m'a tout confié, ce « maître » rencontré à Lyon, ses ordres sur le net, son plaisir dans la soumission, même son attirance démente pour moi, tout ça pour conclure que j'étais homo comme lui alors je devais comprendre !

 

J'ai eu envie de plein de choses à ce moment-là, de le gifler (je sais j'ai la gifle facile), de le prendre dans mes bras comme un môme, de l'embrasser avant de le baiser, ou de tout lui avouer. Finalement j'ai choisi :

 

« Je comprends ! Je comprends même mieux que tu crois, mais ce n'est pas le lieu pour en parler, viens ! »

 

Il pleurait toujours, et m'a suivis gentiment jusqu'à ma voiture, je l'ai emmené chez moi, sur le coup je me suis dit que c'était peut-être une connerie, mais la suite m'a prouvé que non.

 

A peine la porte fermée, je l'ai attrapé par l'oreille et je l'ai trainé jusqu'au canapé, il a essayé de se débattre une seconde, mais pas plus, je l'ai jeté sur l'accoudoir et j'ai défait ma ceinture en disant :

 

« Tu voulais une raclée, tu vas l'avoir ! »

 

Je l'ai vu blêmir quand il a vu la ceinture pliée en deux dans ma main, mais il ne s'est pas dérobé, courageux ou maso, je ne sais pas, mais ça ne m'a pas arrêté. Ma ceinture a claqué sur son jean et j'ai de nouveau entendu ce gémissement qui m'avait fait durement bander pendant les vacances. Je me suis maitrisé, pourtant j'avais envie de le briser rapidement, mais je savais qu'il ne fallait pas.

 

Quand il a commencé à crier vraiment j'ai posé la ceinture, je me suis assis à côté de sa tête et j'ai dit :

 

« Baisse ton pantalon et ton caleçon, et viens là ! »

 

Il était foutrement bandant comme ça, pantalon et caleçon aux chevilles, sa jeune queue fièrement dressée et son visage écarlate, sans un mot, sans un son de protestation, il s'est allongé sur mes genoux. Pour le coup je n'ai pas hésité là, ma main est lourdement tombée sur ses fesses déjà rouges de la ceinture. Les petits glapissements qu'il laissait échappé étaient super excitant et je devais me retenir de ne pas juste l'empaler sur ma queue.

 

J'ai passé la vitesse supérieure, plus vite, plus fort, et j'ai enfin eu droit aux « pardon monsieur », « j'le f'rais plus », et autres, j'adore ce moment. J'aurais pu m'arrêter là, mais pour cette fois-là je préférais renoncer au sexe pour le briser totalement, ce que j'ai fait. Il n'a pas fallu beaucoup plus de temps pour que les premiers sanglots apparaissent, et ils ne m'ont pas arrêté !

 

J'ai continué jusqu'à ce qu'il ne soit plus que larmes et sanglots, ayant oublié toute dignité, suppliant en sanglotant, promettant tout et n'importe quoi pour que la fessée s'arrête, alors seulement j'ai arrêté. Je lui ai laissé un instant, puis je l'ai pris par l'oreille et je l'ai forcé à se lever, je l'ai mené entre la télé et le canapé et j'ai dit :

 

« A genoux, visage contre le sol, mains sur la tête, et je ne veux pas te voir bouger un poils ! »

 

Sur ce je suis allé me changer avant de m'affaler dans mon canapé pour profiter de la télé et du charmant spectacle de cette paire de fesses bien rougie. Je l'ai laissé comme ça une demi-heure, et puis j'ai lâché :

 

« Rhabille toi et tire-toi ! »

 

Il m'a regardé d'un air surpris et déçu, et a bredouiller :

 

« Mais... Je croyais que... enfin que...

 

Que quoi ? Tu m'as réclamé une trempe tu l'as eu, et je suis tout à fait prêt à t'en remettre une dès que tu recommenceras à jouer les petits cons vaniteux, mais c'est tout ce que tu voulais. »

 

Il était blesser, ce que je comprenais, et c'était le but, s'il voulait plus il fallait qu'il demande ! Il a respiré un bon coup et à lâcher :

 

« Je veux que vous me baisiez monsieur ! »

 

Je l'ai giflé une nouvelle fois :

 

« Je suis pas ton chien ! Tu crois parler à qui, tu veux que je te baise ? Demande correctement ! »

 

Il a compris, il est tombé à genoux, et à commencer à m'embrasser les pieds en me suppliant de le baiser, à 18ans c'est fou ce qu'il était doué comme soumis ! J'ai finis par céder, mais en y mettant des conditions :

 

« Ok, mais désormais tu seras uniquement à moi, tous les soirs tu viendras ici, je t'aiderais pour tes devoirs et en échange je te dresserais et je te baiserais si j'en ai envie, passer cette porte tu seras ma pute, ok ? »

 

Oh oui il était ok, et plutôt deux fois qu'une !

 

Alors je l'ai de nouveau trainé sur l'accoudoir du canapé. Un peu de lubrifiant et je me suis enfoncé d'un coup en lui, il a gueulé de nouveau, et de nouveau j'ai savouré la sensation de son petit cul autour de ma queue. J'ai été à peine plus doux qu'au club, je l'ai tringlé comme un chien, vite et fort, il a rapidement joui sur mon parquet, mais cette fois je voulais vraiment et totalement lui montrer ma supériorité. J'ai continué à le baiser jusqu'à ce qu'il se remette à bander dur, et quand je l'ai sentis prêt à jouir de nouveau je me suis laisser aller, j'ai craché mon jus dans son petit trou, et je me suis retirer en claquant ses fesses rouges :

 

« Nettoie ma queue et le sol, je ne veux pas une trace ! »

 

Il a obéit, rendant ma queue aussi propre que si je sortais de la douche, et il a parfaitement lécher le sol ne laissant pas la moindre goute. Je lui ai ébouriffé les cheveux en disant :

 

« Si tu étais moitié aussi bon en cours que comme pute, tu serais le premier de la classe ! Aller dégage ! Oh et pas de caleçon demain, à poil sous ton jean, et dès que j'ai fermé la porte ici, tu te fous à poils, ok ? »

 

Il a acquiescé :

 

« Oui maître, merci maitre. »

 

Paru sur malespank écrit par Thomas69

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Dimanche 12 août 7 12 /08 /Août 17:34

Tim s’arrête devant un hangar. Il me dit de descendre, qu’il va me présenter à ses potes. Il dit ça avec un curieux sourire. Je laisse paraître ma surprise: on devait aller directement à son studio. Tim me prend tendrement par l’épaule, m’entraîne vers le portail: «Mes potes sont très gentils.» Il frappe la tôle ondulée. Trois petits coups. Elle coulisse... «C’est Axel la Castagne,» dit Tim. Il parle du garçon qui vient d’ouvrir: face poupine mal rasée, nez de boxeur. Deux lampes à suspension éclairent le hangar, accrochées à des poutres. Elles font luire une longue botte penchée sur une banquette. L’autre botte est par terre. «Danke l’Écraseur,» me fait Tim, toujours son bras sur mon épaule. L’Écraseur a le coude sur le genou, le poing sous un menton buté. Visage en longueur semé de poils blonds. «Eh, Rodolphe, regarde un peu le ped que nous a dégoté Tim!» Axel est allé secouer le garçon aux bottes brunes, couché sur la banquette.

Image11Rodolphe relève la tête avec un léger grognement. Il a un regard de chat avec des sourcils châtain clair. Une fossette au menton souligne la férocité sournoise de la bouche. Je sens le regard de Rodolphe sur moi.

— Tim, tu me fais voir ton ped?

Tim m’entraîne vers le garçon aux bottes brunes qui a relevé le buste.

— Mets-toi à genoux, mon poulet, pour que je voie si mon copain a eu bon goût.

Tim m’appuie sur l’épaule.

— Montre à Rodolphe ta belle petite gueule, mon chéri.

Je m’agenouille. La main de Rodolphe glisse sur mon front, caresse ma joue.

— Une peau de jeune fille. Elle a une peau de jeune fille, la chérie.

La main de Rodolphe s’écarte soudain, se rabat en une gifle qui me secoue la tête. Je fais un mouvement pour me relever mais Tim appuie sa main sur mon épaule et Rodolphe me caresse les cheveux.

— Calme, ma petite chérie, calme. Elle a une peau qui marque, la poulette! Tout ce que j’aime.

Aussitôt la main gantée de Rodolphe me claque l’autre joue sur toute sa largeur. Ma joue s’enflamme et Rodolphe a une petite moue vicieuse. Ses sourcils se relèvent candidement. Soudaine gifle à la volée. Mes deux joues brûlent. Je commence à bander.

— Mmmmm! tu sais qu’t’as une belle gueule à claques, ma poulette.

Je regarde Tim en suppliant.

— Sois gentil, mon chéri. Fais plaisir à mon copain. Il aime donner des petites tapes aux tapettes mais il n’est pas méchant.

Avant que Tim ait fini, coup sur coup, Rodolphe m’envoie deux énormes baffes avec un sourire jouisseur. Je titube sur les genoux, sens les larmes qui me viennent aux yeux.

— Putain, Rodolphe, elles étaient belles, celles-là!

Le commentaire est d’Axel, une jambe pliée sur la banquette, à gauche de mon tourmenteur. Nouvelle baffe. Rodolphe m’examine avec une curiosité amusée.

— Elle va pas tarder chialer, ma petite poule.

À peine un répit avant une nouvelle paire de baffes. La douleur me creuse les joues. J’implore d’une voix pleurarde:

— Arrêtez!

Rodolphe me caresse les cheveux:

— Ma petite tantouze, ma petite merde, on t’a pas appris à dire: «s’il vous plaît, Monsieur!»

Nouvelle paire de baffes posément appliquées.

— Arrêtez, s’il vous plaît, Monsieur.

— Lèche ma botte, mon petit déchet.

Je sens un pied de botte sur mon genou. Tim m’appuie sur l’épaule. Rodolphe a posé la main sur ma tête et essaie de me la faire plier. Je résiste. Axel frappe son poing contre sa paume.

— Attends, Rodolphe, c’est à mon tour. Je vais lui travailler le ventre à cette lope.

Rodolphe m’a pris l’oreille:

— Relève-toi, ma poule. Mon copain veut s’entraîner.

J’essaie de me débattre mais Tim m’a saisi le bras, me le maintient en le tordant derrière mon dos. Il me présente à Axel, debout, ses jambes bottées écartées devant moi. La Castagne se cambre avec une moue jouisseuse en cognant son poing contre sa paume.

Le poing part d’en bas. La langue d’Axel la Castagne lui gonfle la joue charnue. Le regard brille. Je ploie sous le coup qui m’enfonce l’estomac. La douleur est viscérale et vibrante. La joue gonflée d’Axel se gondole d’un sourire. L’autre poing est en position. Le regard s’attendrit. Le poing s’enfonce près de mon sexe dressé. Je sens la bite de Tim contre mon cul. Sa main me caresse la nuque. Il me murmure à l’oreille: «Tu m’excites, chéri!» Axel cogne avec un sourire tendre, irrésistible. Les coups sont mats, comme ralentis, presque langoureux. La voix de Danke: «Il est à moi après.» Danke a toujours la main sous le menton, le coude sur le genou, la botte sur la banquette. Le dégoût de son regard que je surprends m’effraie et me fascine. Axel me fouille le ventre de son poing, penché vers moi, le regard luisant:

— OK, j’te l’laisse.

— Attention, Messieurs, notre ami Danke s’excite. Ça va barder! susurre Rodolphe.

— Ne me l’abîme pas trop, fait Tim en m’enlaçant par derrière et en frottant sa bite raide contre mon cul.

— Le beau Tim est amoureux, ricane Rodolphe.

Axel écarte le pouce, prend mes joues en étau, me tord la gueule: «Je m’en doutais que Tim finirait par défendre les fiotes.» Il dit ça sur un ton faussement mauvais où je sens un désir. Tim me serre en me caressant le crâne:

— Tu dis ça, mec, parce que tu brûles de t’la faire. Danke aussi, j’parie!

— Bande de pédés, lâchez-moi cette larve. J’vais vous montrer comment ça dresse une lope, un vrai mec!

Danke a ôté son pied de la banquette et s’est redressé. Tim me caresse toujours:

— Eh Danke! t’étais d’accord pour qu’on s’lève un ped et qu’on s’amuse un peu avec. Ça te va de jouer les purs. J’ai pas levé ce bourge pour qu’on l’esquinte à fond et qu’on ait après les keufs au cul!

— Calmos, Tim. J’vais pas t’la massacrer ta fiote. J’vais simplement la transformer en chienne.

— T’as une baguette magique? fait Axel, rigolard, pendant que Tim me lâche

— Ouais, j’en ai une les mecs et j’vais vous la montrer!

Danke se dirige vers un sac beige posé sur la banquette. Il en sort un fouet noir, luisant, énorme.

— Asseyez-vous, les mecs. Le spectacle commence!

Danke est au milieu du hangar. J’ai la gorge nouée devant cette mince brute à cheveux ras qui prend appui en arrière sur la haute cambrure de sa botte. Danke la tapote négligemment des boucles du grand fouet.

— Avance-toi sous la lampe, le ped!

Je m’avance à pas lents, n’osant respirer à peine, envoûté déjà par le dresseur au fouet qui dédaigne de me regarder, le visage penché de biais, la moue superbe.

— Déssape-toi!

Non, je ne vais me rendre comme ça. J’ai envie de résister. J’ai même un sourire ironique malgré ma frayeur. Axel l’a vu:

— Il s’fout d’ta gueule, ton ped!

La moue de Danke s’accentue aussitôt. Sa main libère la lanière, recule, revient, monte, faisant se dresser, se tordre le serpent noir dans un claquement qui me bouleverse. Je ne bouge pas pourtant. Ça y est! L’œil de Danke est sur moi à me faire frissonner. Ses jambes se plient. Son bras tourne. Déjà j’ai la main à mon col, mais c’est trop tard. Une ligne de douleur oblique s’inscrit sur mon ventre dans le cinglement du fouet. Je gémis:

— Pitié, j’obéis.

Je commence à déboutonner nerveusement ma chemise. Danke a repris sa position première. Même moue dans son visage penché de biais. Même posture de dompteur superbe pour faire claquer le long fouet de cuir.

— Doucement, fiote! J’veux qu’tu déssapes comme une pute qui fait son strip.

La bande ricane. Je me déboutonne plus lentement. Danke me regarde, la lèvre toujours gonflée, le fouet nerveux:

— Déhanche-toi.

J’esquisse juste un mouvement de hanche. Danke a projeté le bras de l’arrière. Déjà la lanière file vers moi et me cingle les côtes.

— Déhanche-toi comme une pute, j’ai dit!

J’ôte ma chemise en me déhanchant. La moue de Danke commence à se fondre dans un sourire satisfait, atroce. Je bande un maximum. Danke a un grand mouvement tournant du bras; la lanière vole vers moi presque doucement, s’enroule autour de mon buste, caressante. Je sens que ma queue mouille et j’ouvre la bouche.

— Tire la langue, salope!

Je tire la langue, l’œil rivé à mon maître en défaisant la ceinture de mon pantalon. À nouveau Danke fait claquer le fouet sur le côté mais d’un geste plus ample qui lui fait dresser complètement le bras au-dessus de la tête.

— Continue de te déhancher, ma pute.

Je me déhanche et Danke continue de faire claquer le fouet rythmiquement, comme pour battre la mesure de ma danse lascive. Tim siffle d’admiration. Axel râle:

— Ô la pute! Oh! Faudra qu’tu m’la laisses, Danke! Oh! la fête que j’vais lui faire!

J’ai ôté mon pantalon, mon gland pointe au-dessus de mon slip. Je fais des cercles avec ma tête comme avec mon cul en tirant la langue, excité comme jamais, tandis que le fouet claque et reclaque. Enfin j’ôte mon slip. J’offre à tous les regards ma bite debout dont le gland me frôle le nombril. Danke a arrêté de faire claquer le fouet. Son regard, son sourire prennent quelque chose de lascif. Le bras dressé, il vise mon sexe pour y faire atterrir la lanière. Et, quand la mèche vient couler sur mon ventre, il me semble qu’il prend possession de moi. Sa voix est voilée et presque douce quand il dit:

— Maintenant, tu vas te mettre à quatre pattes!

Mais je n’ai pas envie de me mettre à quatre pattes. J’ai envie d’être indocile et je fais non de la tête en souriant. Danke me sourit comme en écho.

— Tu veux te faire prier, ma petite fiote? C’est ça, tu veux te faire prier?

J’ai croisé les avant-bras, mains sur les épaules. Je me sens plus nu que jamais devant mon dompteur botté qui s’apprête à me faire ployer sous les coups de fouet. Le cœur battant, je le vois prendre la posture, chercher l’élan, faire voler le long muscle de cuir avec un sourire grondeur. La lanière s’enroule cinglante autour de mes épaules et la mèche me brûle la main. Mais la douleur n’est rien à côté du regard dominateur de Danke, de l’arrogance souveraine de sa mâchoire, de la calme maîtrise avec laquelle il s’apprête à me cingler à nouveau de son grand fouet. Je me jette à quatre pattes, subjugué. Le menton buté de Danke pointe crânement pour marquer son triomphe. Il corrige la pose pour faire claquer le fouet à la verticale.

— Au pied, le chien! Cours au pied!

J’ai les genoux, les mains sur le ciment froid et dur, les yeux pas plus haut que les grandes bottes de Danke qui se dressent en face. À ma gauche, j’entrevois celles de Rodolphe et d’Axel qui s’allongent, semelles levées, devant la banquette. Je sens ma queue lourde et dressée vers mon ventre. Axel fait: «Putain! C’te lope!» Je suis déjà aux pieds de Danke, la tête entre ses bottes. Je lève vers son menton un regard soumis et je remarque soudain le gonflement de sa verge. Danke me met le talon de sa botte sur le crâne:

— T’as déjà vu les chiens coller les genoux par terre? J’vais t’apprendre à te tenir à quatre pattes, ma bête!

Danke m’appuie le talon sur la nuque et me cingle les cuisses pendant que je décolle les genoux. Il ôte son pied enfin, mais c’est pour me botter la fesse.

— Le cul! J’veux un cul cambré! Ouais, comme ça... Là tu commences à ressembler à un chien. Bon, maintenant tu vas tourner autour de moi. Gaffe à ton cul, ma bête!

J’obéis à mon maître, je commence à tourner, cul en l’air, autour de lui mais je n’ai pas fait trois pas que le fouet me cingle les côtes.

— Mieux que ça le cul! Cul cambré, j’ai dit.

— Il gaze le Danke! fait Axel.

— C’est rien ça, tu vas voir t’à l’heure... Allez, plus vite maintenant le chien! Plus vite!

Le fouet de Danke claque, en l’air d’abord, puis à nouveau sur mes côtes. Je m’efforce d’aller plus vite, je halète, je gémis sous le fouet qui me cingle à nouveau.

— Bien. Couché maintenant. Couché mieux que ça. Gueule à terre.

Danke m’écrase la tête de sa botte pour mieux me faire comprendre. Et, aussitôt, coup de pied au cul.

— Allez, debout sur tes pattes, le clebs! Allez, on court! Stop. Couché. Bien. On rampe jusqu’aux bottes du maître maintenant.

Je rampe les couilles pleines, la queue raidie contre le ciment froid jusqu’aux bottes de Danke.

— Il lèche maintenant, le chien. Il lèche les bottes de son maître.

J’aurais léché sans que mon maître demande tant je me sens à sa botte maintenant.

— Il est content le chien, alors il remue le cul. Mieux que ça. Et il lèche en même temps.

Je lèche à pleine langue, en remuant le cul, la haute tige noire, luisante et musquée, en levant les yeux de temps en temps vers le regard jouisseur de Danke penché vers moi, au-dessus du gonflement de sa verge.

— Il aboie, le chien, pour montrer qu’il est content. Il aboie.

Je fais un timide: «Ouah! ouah!»

Et j’entends rigoler sur la banquette.

— Il est aphone, ton clebs! ricane Rodolphe.

Danke me prend l’oreille, plante sur moi ses yeux bleus, parle d’une voix blanche, sifflante:

— Tu vas aboyer, ma salope! Tu vas aboyer pour qu’on t’entende à deux kilomètres!

Il recule en délovant le fouet à grands gestes, se cambre sur ses bottes, jambes écartées, mouline du bras avant de faire claquer le fouet devant lui. J’aboie vraiment alors, un aboiement sonore et plaintif, mais la lanière, envolée à nouveau, se rabat sur mon dos, atrocement cinglante.

— Aboie plus fort, chienne!

Alors j’aboie de toutes mes forces: «OUAH! OUAH! OUAH! OUAH!» Le hangar en raisonne. Tim, Axel et Rodolphe jubilent.

— Allez, cours en rond en aboyant, le chien!

Je cours à quatre pattes, aboyant à m’essouffler.

C’est Rodolphe qui sort sa bite le premier, bientôt imité par Axel et Tim. De grosses bites dressées dans l’ombre. La bouche de Danke se gondole. Il fait claquer le fouet en paradant avec des postures de cosaque. J’aboie toujours, toujours courant à quatre pattes. Les autres jeunes machos font des «ouais» d’excitation en se branlant, avachis sur la banquette. Je cambre mon cul, émet des jappements langoureux, me sentant chienne de tout le corps. Danke a sorti sa bite à son tour sans même arrêter de faire claquer le fouet. Elle se relève au-dessus de moi comme une matraque dressée. Mon dompteur replie la lanière maintenant, bouche entrouverte.

— Au pied, chienne!

J’avance jusqu’aux bottes de mon maître.

— Fais ta belle ma chienne, pattes avant pliées. Ouais, c’est ça, t’es une bonne chienne. Tu vas avoir droit à la bite de ton maître. Après t’iras sucer mes potes. Ouvre ta gueule.

J’ouvre la gueule. Danke y fourre sa trique à m’étouffer. Je hoquette. Danke retire sa queue, mais c’est pour m’envoyer une baffe étourdissante.

— Essaie de dégueuler, ma salope. J’te ferai bouffer ton dégueulis à coups de fouet!

Danke m’a empoigné les cheveux.

— Rouvre ta gueule.

J’ouvre. La trique de Danke s’engouffre, s’enfonce de force tandis que ma tête est maintenue par la poigne, avancée, reculée, avancée. Je respire à fond. J’arrive à pomper comme il faut mais la grande bite s’enfonce encore plus dans ma gorge. Ça se soulève plus bas. Une bave tiède et cailloteuse remonte, fuse, éclabousse la braguette de Danke.

— Ah! le fumier de porc! Il m’a dégueulé dessus!

Danke a retiré sa bite. Il m’a envoyé coup sur coup deux baffes foudroyantes qui me donnent envie de pleurer.

— Tu vas nettoyer ton dégueulis, ma petite chienne. Tu vas le lécher à fond.

J’ose faire non de la tête, bouche fermée.

— Axel, viens prendre mon fouet.

Axel accourt, prend le fouet que lui tend Danke. J’entrevois sa mine réjouie. Je tourne la tête pour lui voir prendre ses marques. On dirait un gamin avec un jouet tout neuf. Un gamin maladroit: le fouet claque mal. Je souris. Axel me couve du regard, tendrement, la bite dressée.

— Prends ton temps. Fais bien grimper la lanière, puis rabats-la d’un coup sec.

Axel se passe la langue sur ses lèvres, s’applique, fléchit le genou en balançant le bras, rabat le fouet en un claquement formidable. Et déjà la lanière remonte pour une deuxième, puis une troisième détonation. J’abandonne ma tête à la poigne de Danke qui me plaque la bouche et le nez sur l’étoffe visqueuse, à hauteur de sa bite.

— Vise les reins!

Le coup me fait me tordre et gémir. Je tire la langue à fond, la presse sur le vomi nauséeux. Mais déjà le fouet siffle, déjà à nouveau la lanière cingle. Tout en continuant de lécher, je gigote et me tors pour tâcher de parer les cuisantes morsures.

— Elle commence à comprendre la chienne, on dirait.

— Ouais, elle lèche pas mal!

Le fouet se calme un peu. J’ai le nez enfoncé sur la cuisse de Danke et je lèche, en m’étouffant presque, l’étoffe râpeuse.

— Quand elle t’aura nettoyé, c’est moi qui vais continuer le dressage. Je sens que j’vais en faire une super chienne à vos bottes, les mecs!

Axel conclut ces paroles jubilantes par une série de claquements de fouet qui me font frémir. Danke me pousse le crâne vers le bas.

— À quatre pattes, carogne! Nettoie les dégueulasseries qu’t’as fait sur mes bottes.

C’est vrai: il y a des giclures de bave sur le cuir lisse qui reluit. Je les lèche avec volupté.

— Lèche plus fort, chienne. J’veux sentir ta langue sur mon mollet à travers ma botte. T’entends? Axel, fouette-moi cette larve pour lui faire activer la gueule.

À quatre pattes, je lèche de toutes mes forces la tige gonflée tandis que le grand fouet me cingle les reins. Je lève les yeux. Mon maître se branle, grimace d’une volupté qui me bouleverse. Ses joues se creusent, sa bouche s’arrondit, ses lèvres saillent, un gros crachat fuse et atterrit sur mon front.

— Couche-toi sur le dos, ma petite larve.

J’obéis. Danke frotte une semelle sur mon front en se branlant, puis la pose sur ma bouche.

— Lèche mon mollard sur la semelle de ma botte, carpette.

Axel s’est approché. Tim et Rodolphe l’ont rejoint. J’ai la tête un peu penchée pour lécher la semelle et je devine d’autres bottes au bout de mon regard qu’obstrue le massif pied de cuir. Ma langue tâte la gluance du crachat, le picotement râpeux de la semelle. Danke respire bruyamment. J’essaie de me branler mais une botte m’écrase le poignet

— On t’a permis de toucher à ta queue, ma petite fiote?

La voix est celle de Rodolphe. Danke souffle plus fort. La semelle pivote en m’écrasant la gueule. Une pluie tiède me tombe sur le ventre tandis que la botte se retire.

— Fiuuuut! Elle m’en aura fait juter, cette larve!

— Tu veux dire qu’elle t’a vidé les couilles!

— On en reparlera. Pour l’instant, j’vous la laisse, les mecs.

Axel qui s’est reculé fait claquer le fouet.

— Elle est à moi maintenant!

— Laisse la souffler.

C’est Tim qui s’interpose. Il sort un mouchoir de sa poche, s’accroupit, commence à me nettoyer doucement.

— Maman poule et son poussinet!

La plaisanterie est de Rodolphe. Tim ne se laisse pas démonter:

— Mais oui, c’est mon poussinet ça, hein? J’vous l’ai apporté tout chaud.

Tim m’a retourné, s’est mis à califourchon sur mon dos, me caresse.

— Ils ont pas été gentils avec toi mes copains, hein! Putain, il a de sacrées marques! Faudrait y aller mollo avec le fouet, les mecs!

Axel rigole:

— Ah, l’enfoiré! Tu bandais peut-être pas quand Danke le cinglait tout à l’heure!

— Touché, la Castagne. Mais Danke, il sait se servir d’un fouet, lui, mon bébé! J’parie qu’c’est toi qu’as fait c’bobo à mon poussin.

— Yaouh! OK! OK! J’vais faire gaffe!

J’ai vu les marques rouges sur ma poitrine et j’imagine celles sur mon dos où les caresses de Tim raniment une douleur délicieuse. Il me retourne à nouveau, se lève pour mettre une capote, se remet à califourchon sur moi, commence à me pincer les seins, à les enfoncer en tournant, d’une manière terriblement excitante. Il sourit. Il a les yeux verts et dorés, des poils blonds sur ses joues charnues. Ma queue dressée se courbe contre son ventre, je sens la sienne entre mes cuisses. Il me retourne. J’offre mon cul. Devant moi, Axel, jambes écartées, tient son fouet des deux mains; il plie les genoux pour me mettre sa bite dans la gueule. Je le pompe pendant que Tim m’encule.

— Elle en veut cette chienne!

Tim me laboure le cul. Axel me tire les cheveux. J’arrive à le pomper comme il faut, la bouche pleine, le cul plein. Et je l’ouvre encore, mon cul, pour sentir jusqu’au fond la queue de Tim. Axel s’est dégagé, dirige ma tête vers son regard:

—  Tu vas être ma chienne maintenant. Dis-le qu’tu vas être ma chienne!

Je ne réponds pas, haletant sous le butoir de Tim qui m’agrippe les épaules, me les ploie, m’étreint enfin dans la jouissance. À peine m’a-t-il libéré qu’Axel fait claquer le fouet.

— Au pied, chienne!

Je cours aux bottes d’Axel, la queue relevée, encore plus soumis d’avoir eu le cul défoncé, excité par l’impatience juvénile de mon nouveau maître. Quand je suis arrivé à ses pieds, il se recule d’un pas rapide, tapotant ses bottes de son fouet.

— Allez, ma chienne, on bondit vers son maître.

Je bondis, viens me coller la tête contre les bottes d’Axel. Il me caresse le crâne. Puis il recommence le manège.

— Allez, plus vite! C’est bien, ça, ma chienne. On lèche les bottes de son maître maintenant.

Je lèche le pied des bottes, le menton à terre.

— Super. File jusqu’à la porte maintenant, et reviens à fond de train quand je te sifflerai.

Axel accompagne son ordre d’un claquement de fouet formidable. Je pars à quatre pattes vers la porte, attends, me retourne quand mon maître siffle, vraiment comme on siffle un chien. Axel est accroupi, il tient de la main gauche un bâton à l’horizontale.

— Allez, saute ma chienne, saute!

Je saute au-dessus du bâton et, comme je cours encore, j’entends le fouet claquer au milieu d’applaudissements.

— Stop! Pas mal! Mais t’es encore trop lourde, ma bête. J’veux t’voir foncer quand j’te siffle.

Je me précipite au sifflement mais je m’essouffle. Le bâton est plus haut, je le touche des jambes en sautant. Rodolphe se marre. Danke fait:

— Tu vois le boulot pour l’assouplir, cette lope.

Axel qui s’est relevé me donne des coups de botte dans le cul, sur les côtes.

— Feignasse! Sac à bûches! J’vais t’assouplir, moi!

Il lance le bâton vers le fond du hangar.

— T’as intérêt à t’magner pour me rapporter le bâton dans la gueule!

Je file aussi vite que je peux jusqu’au bâton, le mords, reviens le bâton dans la gueule vers mon maître qui me toise, bouche bée, les yeux souriants. Je pose le bâton devant ses bottes. Axel me caresse, me flatte la nuque.

— Tu vois, ma chienne, quand tu veux! Maintenant tu vas courir vers le bâton en aboyant.

Axel relance le bâton. Je vais le chercher sans me presser, sans aboyer, bandant plus fort à l’idée de provoquer mon maître. Quand je reviens, le bâton dans la gueule, j’ai les yeux rivés au visage d’Axel, à sa moue, à son regard qui me dévore. Je pose le bâton à ses bottes comme si de rien n’était. Axel me caresse plus tendrement la nuque.

— Comme ça, tu veux te foutre de ma gueule, ma petite chienne! Tu veux te foutre de ma gueule!

Sa bite est au plus haut. De l’autre main, il agite les boucles de son fouet. Il se recule posément. Son regard brille. Je me recroqueville, implore:

— Pitié, maître! Je ne recommencerai plus, maître!

Le grand fouet m’enveloppe, cinglant. Axel me fouette à gestes larges, le sourire épanoui, maîtrisant parfaitement le muscle de cuir tandis que je me roule d’un côté, de l’autre pour échapper à ses morsures.

— Aboie, chienne!

J’aboie, mêlant mes aboiements au sifflement du fouet qui ondoie, clapote, cingle mon dos et mes cuisses.

— Demande pardon.

— Pardon, maître! Pardon, maître!

— Rampe jusqu’à mes bottes!

Je rampe, comprimant ma queue raide, jusqu’aux bottes d’Axel qui se cambre, jambes écartées. Il a lové le fouet, il tient les boucles parallèles à sa bite en les secouant.

— Axel, j’ai envie de m’occuper de ton clebs une seconde.

C’est Rodolphe qui a parlé entre deux gorgées de bière. Axel ramasse le bâton. Rodolphe écarte les bottes. Le bâton atterrit sous la banquette

— Va chercher, chienne!

Je pars à quatre pattes, pas trop vite, vaguement apeuré de m’approcher de Rodolphe. Il a posé sa bière et je pressens à sa mine ce qu’il me faudra endurer. La baffe que je reçois quand je suis à sa portée est terrible. Elle me fait tomber sur le côté. Rodolphe se penche:

— On se relève, mon toutou.

Je supplie du regard en me relevant mais c’est pour recevoir sur l’autre joue une baffe qui me fait tomber encore. C’est trop, je me recule mais le fouet d’Axel me cingle par derrière.

— Rapporte le bâton, j’ai dit.

J’essaie de plonger furtivement la tête entre les bottes de Rodolphe, mais il rapproche ses genoux, me la coince, m’empoigne les cheveux. Son regard est tendre et féroce, son sourire goguenard. Il dodeline en me dévisageant. Il prend son temps pour me baffer: une gifle ajustée, appliquée avec toute la largeur de la main.

— Aboie.

Il dit ça lentement, doucement. J’aboie. Rodolphe fait une moue satisfaite. Il me gifle de l’autre main, tout aussi posément.

— Aboie.

J’aboie et ça continue. Mes joues me piquent et me brûlent mais ma queue est dressée. Je me sens terriblement bien à recevoir les baffes de Rodolphe même si je pleure en aboyant. Rodolphe reprend une gorgée de bière. Sa bite qui était dressée retombe un peu. Il m’empoigne les cheveux à nouveau et soudain me pisse sur le visage, un jet puissant, tiède.

— Ouvre ta gueule de chienne!

Mais je reste bouche fermée. La pisse me coule sur tout le buste. Rodolphe me recule la tête, finit de pisser par terre, puis il me tire par les cheveux jusqu’à plaquer ma tête sur le sol.

— Lèche la pisse de ton maître, ma petite larve.

En disant ces mots, il presse ma nuque du pied de sa botte. Axel fait claquer le fouet.

— Lèche la pisse de mon pote, chienne!

Je lèche, je lèche la flaque de pisse. Rodolphe s’est levé. Danke s’est rapproché. Axel accourt. Tim le suivra. Je lèche étendu de tout mon long maintenant et, tout autour de la flaque de pisse, les hautes bottes se dressent et reluisent. La pisse s’est mêlée aux salissures dans une boue douçâtre. On veut voir ma gueule, je la retourne, je l’offre aux regards de mes maîtres qui se branlent. Ils ont frotté leurs semelles dans la boue pisseuse. Ils me les font lécher tour à tour en me laissant me branler maintenant, déchet pisseux étendu à leurs pieds, approchant avec eux d’une jouissance terrible, de la pluie lactescente et chaude où se noie mon souvenir...

 

Article paru dans gai-eros - Ecrit par Valère Hampman

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Samedi 11 août 6 11 /08 /Août 16:34

Marc m'avait contacté sur un réseau téléphonique gay de dialogue direct. Son message assez explicite "mec passif cherche actif dominateur pour initiation" m'avait excité pas mal. Rendez-vous est pris à son domicile. J'arrive chez lui, il m'accueille et me fait visiter rapidement la demeure. Je remarque qu'il possède une salle de musculation avec un magnifique banc d'entrainement. Vous n'imaginez pas les positions qu'on peut faire prendre sur un tel outil! Mon imagination allait bon train. Marc n'était pas un mec super beau, mais tout à fait acceptable.

D'abord, je le saisis par les hanches et lui fais faire un demi-tour en lui intimant l'ordre de se placer face au mur, les mains en l'air, les jambes écartées pour que je procède à une fouille au corps style flic. Après de longues palpations tout au long du corps, je lui retire sa chemisette. Je commence à lui triturer les tétons mais ils sont petits et difficiles à attraper. Je décide de voir plus bas si je que je préssentais au travers du jeans était confirmé. Je fais sauter les quatre boutons de la braguette et descends le froc sur les talons. Un mini-slip blanc, contrastant sur sa peau caramel, apparaît brusquement. Je ne prends pas le temps de le retirer, d'un geste bref, je déchire la chose et la pose sur le nez de Marc qui ne bouge pas.

J'admire maintenant ce magnifique cul cambré: les fesses blanches font un choc au milieu du reste du corps bronzé. Pas de poils à l'horizon, la raie du cul se dessine comme une vallée profonde aux contours légèrement humides. J'explore l'endroit et en apprécie l'élégance. Je sais déjà que plus tard dans la soirée je ne vais pas m'ennuyer dans ce lieu.

Délicatement pour ne pas éveiller l'attention de Marc, je prends dans ma malette posée sur le lit, mon martinet favori. Un coup sec appliqué sur le bas des reins, là où la cambrure du cul est naissante, provoque illico une réaction de surprise de mon puceau qui se dresse tel le cheval de Ferrari. Une trainée rougeâtre se dessine sur ce bas de dos et lui donne un air de fête. Je donne l'ordre à Marc de reprendre sa position et une volée de coups délicatement administrés, cinglants juste ce qu'il faut l'épiderme de mon partenaire pleuvent sur ce cul vierge. Maintenant, les fesses sont d'un rouge pâle qui donne envie de les croquer, ce que je fais. Suit une série de caresses pour détendre les muscles et faire souffler mon mec.

Fatigué de donner cette fessée, je décide d'installer Marc sur le banc de muscu, dans une position difficile à décrire. Je passe donc sur cela. Mais, je l'attache sérieusement pour qu'il ne puisse pas bouger d'un millimètre. Je serre une corde sous ses tétons, ce qui à pour effet de les faire gonfler. Ainsi, je peux les travailler comme il faut pour finir pas lui poser deux superbes pinces. Marc gémit, il se mordille les lèvres et je vois sa bite gonfler comme un ballon de foire. Je profite de l'occasion pour lui ligaturer la queue qui augmente encore de volume; il râle un peu mais prend son panard. Je continue mon ficelage par celui des couilles en laissant dépasser la corde de 15cm et j'y attache un poid de 500g pour mettre les burnes en extension; la queue toujours gonflée baisse la gueule sous le poids de la traction. Marc commence à se plaindre, je lui rappelle qu'il veut un dépucelage SM et qu'il l'aura, un point c'est tout. Pour qu'il me foute la paix, je lui pose un baillon; maintenant il grogne.

Je sors mon outillage de torture, un fer à friser des années 30 que je chauffe avec un petit chalumeau portatif en expliquant calmement à mon petit homme que je vais lui faire la bite en bigoudi et le marquer sur les fesses pour le punir de ses penchants pervers. Je lui dis que je n'aime pas les mecs comme lui et que mon boulot c'est de les rendre impuissants. Tout en parlant j'approche le fer rouge de sa queue, bien qu'attaché il tremble de tous ses petits muscles. Il transpire comme une bête. Je desserre les liens de la queue en lui disant que c'est pour qu'elle frise mieux et je reprends la chauffe en approchant de sa bite de plus en plus. Maintenant il perçoit bien la chaleur qui se dégage du fer rouge. D'un coup, ce que j'attendais se produit, mon Marc se met à pisser (pas dans son froc puisqu'il est à poil). J'ai juste le temps d'attraper le petit bocal qui se trouve dans ma boîte à outils car j'ai l'habitude, et je recueille sa pisse.

Je porte alors mon fer dans la salle de bains pour qu'il refroidisse et reviens vers mon bonhomme qui a compris que ce n'était qu'un jeu, je vois à sa mine qu'il est soulagé et qu'il a vraiment flippé, alors pour le récompenser je prends sa queue dans ma bouche et lui taille une superbe pipe, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire mon Marc bande comme un petit âne. Je caresse la base de sa queue et je devine que l'éjaculation est proche. En effet, un jet d'une puissance incroyable vient s'écraser sur le mur d'en face. Je libère mon petit cul et lui dit de se reposer un peu. Il me dit qu'il ne s'attendait pas à un truc pareil et que j'avais eu raison de ne rien lui dire avant car il aurait refusé alors que c'est "super" dit-il!

Je lui fait remarquer que moi je n'ai pas déchargé, et lui demande de se mettre en position. Il me dit être épuisé alors je lui propose une baise classique pour me vider les couilles. Il m'offre sa croupe et je travaille sa rondelle d'un rose bombon quelques coups de langue pour la dilater un peu, une capotte et quelques coups de reins plus tard je décharge comme une bête dans ce cul chaud.

Nous nous couchons l'un contre l'autre et dans cette étreinte finale nous nous endormons pour une sieste salvatrice

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 09:08

Texte qui m'a été soumis par Julien, 24 ans.

 

Je vais vous racontez mes tout début dans la soumission jusqu'à maintenant. Je vais seulement raconter les moments clés dans mon évolution de soumis afin d'encore mieux me dévoiler.

Tout à commencé pour moi vers l'âge de 14 ans. Au départ ce qui m'attirais vraiment c'était le bondage, j'adorais le concept d'être totalement attaché et de devoir subir des punitions. A l'époque je n'avais pas encore internet, mais mon père avait des bandes dessinées très hard sur le bondage que je lui empruntais en cachette et aussi quelques porno bien hard.

Quand j'étais seul je m'enfermais dans la salle de bain pour me mettre nu et je m'attachais dans des positions humiliantes avec de la ficelle à roti ou des laçets. Je restais parfois longtemps comme ça, en m'imaginant des scénarios assez hard. A cette époque j'aimais déjà beaucoup mes pieds et mes orteils que je trouvais mignons. J'ai toujours eu des pieds féminins, je leur mettaient déjà du vernis et j'attachais toujours mes orteils.

Mon trou du cul ne m'attirait pas trop enfin.. parfois il m'arrivais de me mettre un doigt mais je n'osais pas aller plus loin.

 

L'été de cette année là je suis allé en colonnie de vacance en Normandie. C'est lors de cette colo que pour la première fois je fut attiré par des mecs. J'aimais les mec plus vieux je creuvais d'envie de me faire dominer mais je pense que je n'assumais pas. J'étais encore puceau je m'interessais aux filles pour faire comme tout le monde. Elles ne me déplaisaient pas mais elles n'avaient pas en elles la domination dont j'ai besoin.

Depuis le début je discutais souvent avec un mec qui travaillait à la colo, il était aide en cuisine il devait bien avoir 30/35 ans. Le soir après mangé il y avait des activités c'est là qu'il m'abordait souvent et on discutais. C'est vrai qu'il me regardait avec insistance mais je n'ai jamais pensé à quoi que ce soit de sexuel avec lui.

Un jour le camp était presque vide, des groupes étaient parti a la mer mais moi j'avais pas envie, j'ai choisi un atelier du genre poterie ou un autre truc pourri. On était une poignée sur le camp à flammerder. Ce jour là je l'ai croisé tout seul alors que j'étais venu dans ma chambre. Nous avons discuté puis je suis allez boire un verre dans sa chambre. De fil en aiguille je l'ai sucé. Sans capote car à ce moment de ma vie je ne savais pas qu'il y avait des risques possible  avec une fellation.

Les nuits suivantes on se retrouvais le soir après le couvre feu, moi je dormais un étage au dessus, le personnel dormait dans celui du dessous avec les filles. J'attendais souvent que mes camarades de chambres dorment pour essayer de me faufiler dans la chambre du mec.

Deux fois il a voulu m'enculer mais je n'étais pas prêt. Il m'a mis un doigt dans le cul une fois ou deux, il a même présenté son sexe devant mon petit trou mais je refusais d'aller plus loin en me crispant totalement. Il était assez rude pendant les fellations, de plus en plus rude et j'aimais ça.. Il me mettais de petites gifles vers la fin. Il était aussi très doux avec moi, il me massait sur le lit, nu, il me carressait et se conduisait comme un protecteur j'aimais beaucoup. Après cette colo je ne l'ai jamais revu.

 

En rentrant je fantasmais toutes les nuits sur ce mec, dans mes rêves il m'enculait sauvagement, j'étais sa pute.

Quelque temps après j'ai repris les scéances de bondage et j'ai commencé à me mettre un objet dans le cul.

C'était une lampe torche avec le manche bien lisse, assez fine mais très appropriée à la première sodomie.

J'aimais ça, mon lubrifiant était ma bave. Ne connaissant pas le lavement à cette époque je me contentais de bien me laver avec un gant de toilette. Plusieurs fois, lorsque je me godais assez fort j'ai eu de mauvaises surprises.. C'est la raison pour laquelle la sodomie n'était pas à toutes les scéances.

Dans l'année qui a suivi les objets ce sont diversifié, légumes (carottes, concombre), des petites bombes de mousse à raser, des stylos, des manches d'ustensiles de cuisine ou de raquette de ping pong par exemple. A peu près tout ce qui pouvait rentrer dans mon cul y passait. Une fois j'ai même rentré des saucisses genre knackie dans mon cul. Comme les objets étaient de plus en plus gros j'ai cherché des lubrifiants que je pouvais avoir chez moi. De l'huile de cuisine (pendant longtemps c'était avec ça), du beurre (pas top) et même de la crème hydratante (mauvais souvenir).

 

Vers 16 ans mes parents ont divorcés, j'ai suivi ma mère, seul.

Elle était souvent sortie je disposais de plus de temps mes scéances devenait plus hard et plus longue.

Je me faisais souvent des jeux ou lorsque je perdais javais un gage.. Je me soumettais au hasard.

A cette époque aussi n'ayant toujours pas internet j'appelais des numeros gays que j'avais noté à la fin d'un magasine.

Je laissais des messages très chaud genre en gémissant "j'suis une petite salope de 16ans je suis très chaude appel moi au 06...) mes messages étaient très vite retirés mais quelques hommes avaient eu le temps de noter et de m'appeler. C'étais hard au tel, j'aimais ca. Souvent ils voulaient me rencontrer mais je ne l'envisageais pas.

Puis ma mère eut la facture et là c'était moins drôle.. C'étais fini pour moi le téléphone Gay.

 

Quand j'avais 17/18 ans j'ai eu internet et là c'était tout simplement génial. J'allais sur les chat gay, je regardais beaucoup de vidéo aussi. J'ai commencé à me filmer et à me prendre en photo. Un jour je me suis senti prêt j'ai pris rdv avec un mec. Je ne savais rien sur lui on s'est parlé 5 minutes. Je suis allez au rdv, je me rappel sous mes vetements j'avais un petit boxer à dentelle, j'avais les pieds vernis de blanc et une bague d'orteil. Je me sentais vraiment salope. Avant de me rendre au rdv je m'étais rentré une bombe de mousse à raser dans le cul j'étais bien dilaté. Je m'étais aussi rasé tout le corps sauf les jambes. J'étais peu poilu.

Le mec est venu le soir même en voiture, je suis monté avec lui. Il devait avoir 35 ans, il était typé maghrebin. Il m'a posé des questions et moi je lui ai répondu, j'étais très honteux. Je lui ai dis ce que j'avais fait juste avant avec la bombe, il me disais ouah tu es salope toi. En roulant toujours il a demandé à voir ma queue. J'ai d'abord refusé. Il m'a demandé si je voulais allez dans un endroit tranquil j'ai dis oui.

On s'est arrêtés dans un recoin d'un parking de centre commercial, je me rappel très bien de ce moment j'étais extrêmement géné et timide. Là il a ouvert son pantalon et il a sorti sa bite qui bandait déjà. Une belle grande bite, la plus longue que j'avais jamais vu a ce jour, et pas très épaisse. Il a commencé a se branler puis il a pris ma main et la posée sur sa queue. Je l'ai branlé puis il a redemandé a voir ma bite.

J'ai enlevé mes chaussures, mes soquettes et mon boxer a dentelles. Il a dit en riant que j'avais de beaux sous vetements.. Il a commencé à me toucher, puis il m'a sucé. J'ai detesté ce moment, je voyais ce mec me sucer et ca ne me plaisait pas, ce n'étais pas ce que je recherchais. Je n'ai pas bandé du tout et jme suis senti mal j'ai demandé à rentrer en me réhabillant. Il ma ramené.

C'était un échec, le mec n'était pas un dominant et c'est de ça que j'avais vraiment besoin.

 

Je continuais après ça a me soumettre seul. J'ai déposé quelques annonces sur divers site.

Puis j'ai rencontré une fille à une soirée, j'étais bien avec elle nous sommes resté 2ans et demi ensemble.

Nous avons vite habité ensemble. Durant la première année je ne faisais plus rien, j'avais complétement mis de coté mon esprit de soumis. J'avais des fois quelques pensées de soumission mais mon amour pour cette fille me les fesait vite oubliées. Evidemment elle ne savait rien de cette part de moi.

1an environ après m'être mis en ménage avec elle la routine a commencé a s'installer et mes pensées perverses refesaient surface. J'ai recommencé mon apprentissage de soumis. Je le faisait quand elle était au travail et moi à la maison. Je n'avais pas de matériel alors je prenais ce que je trouvais comme je le faisais étant plus jeune.

N'étant pas disponible pour un Maitre je n'ai pas remis d'annonce, et comme nous n'avions pas de cam je ne faisais pas non plus de scéance virtuelle.

 

2ans et demi après le début de notre relation nous nous sommes quittés.

Je suis retourné chez ma mère quelques temps puis j'ai pris un appart en colocation. (je suis tjr dans cet appart)

l'ordinateur est dans une pièce commune mais le coloc est souvent absent donc ca va.

J'ai acheté une cam rapidement après avoir emmenagé ainsi que des toys.

Pendant un temps il m'est arrivé de m'exposer sur des salons webcam gay ou bdsm genre SMboy.

J'ai eu aussi des Maitre d'une fois mais ce n'était pas interessant et bien souvent il ne me correspondait pas ca durait 2 minutes.

Après J'ai mis des annonces pour rechercher des Maitres virtuel dans un premier temps. C'est a ce moment là que j'ai trouvé mes deux premiers vrais Maitres.

 

Le premier est Maitre Jacques, 56 ans, il habitait a 50 km de chez moi. En cam il aimait m'humilier, que je me travestisse, il aimait beaucoup mes pieds ca l'exitait terriblement, il choisissait la couleur de vernis avant chaque séance. Il aimait me voir en femelle, il aimait un peu tout dans la soumission mais avec lui c'était surtout du godage, des positions a prendre, un peu de bondage et un peu travail des seins. Je faisais un peu ce que je voulais durant les scéances, lui il regardait surtout donnant quelques directives.

 

Le deuxième est Maitre Jean-Louis, 62 ans, il habitait a paris. Ce Maitre était bien plus sévère. Il aimait beaucoup le travail de la queue (étirement, pince, bondage) travail des seins et tétons (poids, pince, arrondissement etc..). Il aimait bien mes pieds, il les trouvait mignon, mais il ne jouais pas avec. Par contre il n'aimait pas du tout que je sois une femelle, bas résille tout ça il n'aimait pas. Il aimait que je me claque le cul, les seins ou la queue. Il aimait que je me rentre des choses dans le cul et que je l'écarte après bref, il était sadique mais gentil.

 

J'ai fais des cam avec eux un bon moments puis j'ai rencontré en réel Maitre Jacques.

(Je raconterais ce moment dans un autre récit. En effet j'avais fais le compte rendu à mon autre Maitre cam qui me l'avait demandé. Je possède toujours ce message.)

J'ai rencontré Maitre Jacques une secondes fois, puis quelques cam et je n'ai plus jamais entendu parlé de lui.

Je n'ai jamais su la raison.

(L'autre Maitre, Maitre Jean-Louis, est resté mon Maitre durant 1ans et demi. Récente séparation, je l'explique dans un autre récit )

 

Enfin, quelques temps plus tard j'ai rencontré un mec après avoir répondu à son annonce, Maitre phil.

Il fut mon premier vrai Maitre réel, il m'en a fait subir beaucoup durant plus de 6 mois (j'en parlerais plus tard, je faisais toujours des rapports a Maitre Jean-Louis et heureusement j'ai tout gardé).  Il m'humiliait énormement, il a vraiment fait de moi une pute, une chienne, une trainée qu'il traitait violement. J'adorais ça.. Il aimait me faire subir plein de choses différentes mais un jour il est aller trop loin.

 

J'ai pratiquement perdu mes deux Maitre en même temps.

 

Je suis une petite salope a saisir a présent... et Maitre Aladin vient de m'acquérir.

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Vendredi 3 août 5 03 /08 /Août 06:37

Je m'appelle Rachid. J’ai 40 ans, je fais 1m72 et 59kg, avec un corps plutôt mince, hétéro, et de surcroît marié avec 2 enfants. Je n’ai jamais été infidèle jusqu'au jour où cela m’a été fatal et ai dû m’abaisser à obéir à un chantage.

Après chaque fin de travail, je vais à la douche. Là, Kevin, dont j'ai fait la connaissance depuis quelques temps sur le chantier, me rejoint. On papote tranquille, puis dans la discussion, il m’invite à prendre un verre chez lui. Étant donné que j’avais encore trois heures devant moi avant que ma femme ne rentre du boulot, j’accepte.

Arrivés chez lui, il me propose une bière. Ne buvant pas, je lui demande un jus de fruit à la place. On parle de nos vies respectives, de tout et de rien en fait, lorsque peu à peu je me sens bizarre, comme mou et euphorique en même temps. Kevin en profite pour me caresser la cuisse en remontant sur mon entrejambe… À ce moment je ne contrôle plus mes faits et gestes, et le laisse faire sans comprendre pourquoi. Il passe sa main dans mon jogg' et me caresse la bite à travers mon calcif' ; je ne fais rien pour l’arrêter et commence à avoir une érection. Très vite je me retrouve à poil devant lui et ma bite dans sa bouche. Malgré tous mes efforts à comprendre ce qui m’arrive sans rien pouvoir faire, lentement, je m’abandonne à cette fabuleuse pipe qu’il me prodigue, et puis c’est le trou noir dans ma tête. Lorsque je reprends mes esprits, je suis sur son lit encore à poil. Je ne comprends rien à ce qui s’est réellement passé et part à la recherche de mes vêtements. J’arrive dans le salon, Kevin est assis sur le canapé, me tend mes fringues et me rhabille. Confus je lui demande ce qui m’est arrivé.

— T’inquiète… Viens t’assoir et regarde…

Il met en marche une vidéo, et là, sous mes yeux ébahis, je me vois en train de lui sucer la bite et me faire enculer dans plusieurs positions où, visiblement, je prenais un certain plaisir ; sans compter le son qui allait avec… Je m’entends dire « Hummm… Ouiii… C’est bon… » etc…

— Mais… Mais… Qu’est-ce que ça veux dire ça ??????

— Bah… Les images parlent d’elles-même, non ?

— Putain ! Mais c’est pas possible ça… Qu’est-ce que tu m'as fait ? Tu m'as drogué ou quoi ?

— Ouais mec…

À ce moment je vois rouge… Furieux, je l’empoigne pour lui foutre mon poing dans la gueule, mais il réagit aussitôt en me faisant tomber à terre. Là, tranquille, il me dit :

— Bon écoute… J’pense que t’es pas en position de force là, alors, si tu ne veux pas que cette vidéo arrive dans les mains de ta femme, tu vas faire exactement c’que j’te dis, OK ?

— Et qu’est-ce tu veux ?

— C’est simple… Vendredi prochain j’organise une petite fête avec 3 potes, et on a envie (enfin… Je dirais plutôt qu’on avait envie…) de s’amuser en faisant venir une pute, si tu vois c’que je veux dire… Mais apparemment, je pense que tu feras l’affaire, alors tu viens pour 20h précise et surtout ne sois pas en retard, sinon…

— Espèce de connard… Tu crois que j’vais me laisser faire comme ça ou quoi ? Pour qui tu t’prends ? J’vais direct porter plainte…

— Ah ouais ? OK comme tu veux… Mais réfléchis bien aux conséquences… Ta femme et tes gosses seront au courant de ce qui s’est passé, et lorsqu’ils verront la vidéo avec ton visage souriant et prenant du plaisir à sucer une bite et te faire trouduculter, je pense que t’auras plus qu’à divorcer et déménager loin d’ici…

Devant de tels arguments, je ne sus que répondre à part :

— Espèce de fils de pute, t’es qu’un connard et un enfoiré de merde…

— Ouais je sais, mais que veux-tu…

Arrivé chez moi, me sentant sali, je me suis directement mis sous la douche, comme pour me désinfecter, mais rien ne pouvait effacer de ma mémoire le « viol » que j’avais subi.

Les jours de la semaine se sont passés, sans que je ne me remémore ce que j’avais fait et ce qui m’attendait ; puis le jour fatidique arriva et je reçus un sms : « N’oublie pas mec… À ce soir, sinon… »

J’angoisse… J’essaie de trouver une excuse pour ne pas y aller, mais le même message me revient, avec une photo de moi en train de sucer ou de me faire enculer : « Excuse bidon… Pense aux conséquences… RDV 20h ». Résigné, j’invente à ma femme un excès de travail au bureau suivi d’un dîner obligatoire avec mon patron.

20h, l’angoisse et la peur au ventre, je sonne à la porte de Kevin. Il m’ouvre avec un grand sourire :

— Salut ! Viens que je te présente…

Dans le salon, sur le canapé, ses 3 potes : Alex, Julien et Paul, en train de siroter leur whisky.

— Voilà, les mecs… Je vous présente Rachid, le mec de la vidéo avec qui on va s’amuser…

Ils applaudissent tous en cœur en disant « Ouaiiiiiis… » Me voyant complètement stressé, Paul me dit :

— Vas-y, man… Détends-toi et prends un verre…

— Je ne bois pas…

Kevin me servit un jus d’orange en m’informant que, cette fois-ci, il n’était pas drogué, afin que je puisse avoir tous mes esprits pour la suite de cette soirée. Puis Julien prit la parole :

— Bon, ben… C’est pas l’tout mais… Pour nous chauffer, j’propose qu’avant qu’on s’occupe de lui, faudrait qu’il nous serve de soubrette comme une bonne meuf, vous en pensez quoi les mecs ?

Tout le monde :

— Ouaiiiis…. À poil, à poil…

Kevin :

— Bon, ben… Tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant…

Honteux et humilié, je me retrouve à poil devant ces 4 mecs encore habillés, et leur sert à boire comme des pachas.

Paul est le premier à lancer les investigations en se caressant le paquet, les cuisses écartées.

— Hey man… Approche…

Face à lui, il sort sa bite et me dit :

— Allez… Suce ma queue…

Devant mon hésitation, il m’enserre les couilles d’une main en me les étirant vers le bas pour me faire agenouiller.

— Allez man… Fais pas ta Sainte-Nitouche et suce-moi le zob… T’es là pour ça non ?

Dû à la douleur, je me retrouve à genoux face à son pieu, et me tenant par les cheveux il me dit :

— Allez… Suce…

Non drogué, je prends conscience que je suis en train de sucer une bite et que, sans m’en rendre compte, cela me donne une petite érection. Les sexes sortent de leurs calbutes et je passe de bite en bite. Curieusement la mienne me fait mal. Machinalement, je me touche et constate que si j’ai aussi mal, c’est parce que je bande un max. Alex s’en aperçoit :

— Putain !!! Mais c’est qu’il bande ce mec… Hummm… Apparemment t’aimes la bite hein ?

Paul est le premier à vouloir s’occuper de mon cul. Pendant que je suce Julien, il m’écarte les fesses et me lèche le cul. Ses coups de langue me font peu à peu ouvrir le trou, ce qui me fait lâcher quelques couinements de plaisir. Il me crache sur la rondelle, y enfonce un doigt et me travaille le fion ; je me détends de plus en plus et il enfonce un 2eme doigt.

— Ouais mec… T’es bon pour t’faire enculer…

Je suis passé à la bite de Kevin. Paul frotte son gland à l’entrée de mon trou : je sais qu’à ce moment, je vais me prendre sa bite dans le cul. Il force l’entrée et je crie de douleur. Julien me tend une petite bouteille, c’est du poppers. Il me dit :

— Tiens… Respire… Ça va te détendre…

En effet, après quelques sniffes, je sens mon cul se dilater et la bite de Paul s’enfoncer dans mon trou. Pendant que je me fais enculer, Kevin me remet sa bite dans la bouche. Je me fais baiser par les 2 trous. Paul se retire de mon fion sans avoir joui et laisse la place à Alex, qui me plante sa queue direct et me lime comme un malade.

Tour à tour, me faisant changer souvent de position, une fois sur le dos, une fois à 4 pattes, les bites se succèdent dans mon cul et dans ma bouche, et n’ai aucun moment de répit. Les mecs prennent leur pied à m’enculer et à se faire sucer plusieurs fois, sans jouir pour faire durer leur plaisir. La quantité de Poppers qu’on me donne à snifer me détend de plus en plus, me rend encore plus chienne. Puis vient le moment ultime. Julien est le premier à lâcher sa semence sur ma gueule en se branlant, pendant que je suis toujours en train de me faire labourer le cul par Alex. Il se retire de mon cul, laissant la place à Paul qui me déchire le fion avec violence en me disant :

— J'aime ton petit cul et ton corps tout mince, c'est la première fois que je déchire un petit cul de beur. Tu vas voir c’que ça fait d’engrosser une meuf…

Me tenant par les chevilles relevées au-dessus de ma poitrine, il prend un malin plaisir à sortir et rentrer sa bite dans mon cul. Il finit par m’enfoutrer les entrailles dans un grand râle de plaisir. Kevin prend sa place, sa queue se noie dans le foutre de Paul pendant que ce dernier me fait nettoyer sa bite. Je reçois une seconde dose de sperme dans le cul de la part de Kevin, qui lui aussi m’ordonne de lui nettoyer la bite. Il laisse la place à Alex dans mon cul qui, après quelques va-et-vient, me fait mettre à genoux en m’ordonnant de prendre sa teub engluée de foutre de Paul et de Kevin dans la bouche, pour me remplir de son sperme. Il me dit en me tenant la tête :

— Avale tout, salope…

Kevin m'a fait revenir le vendredi suivant pour une nouvelle tournante. Comme promis, il m'a remis la vidéo que j’ai détruite aussitôt, en espérant qu’il n’en a pas fait une copie...

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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