Histoires

Jeudi 10 janvier 4 10 /01 /Jan 05:13

Je ne savais pas, en allant voir Mathieu ce jour-là qu’on finirait par baiser ensemble. Moi, ça faisait longtemps que j’en avais envie. Souvent il me recevait torse nu, ou même en slibard. Moi, je salivais en silence. Il a un buste génial, bien proportionné, très poilu. Il a la taille fine, les fesses dures sous le CK. Il a un grain de beauté à la chute des reins qui invite à aller voir plus bas, à glisser un doigt entre les deux globes. Et sa queue! On la devine lourde, avec de bonnes couilles derrière le tissu gris ou blanc. Je pensais toujours que je n’étais pas à son goût. Point. J'avais renoncé à lui plaire depuis longtemps. Et puis... c’est arrivé!

On bavardait tous les deux ce soir-là, de l’expo Boltanski au Musée d’Art Moderne. Il devait être deux heures du matin. La musique me berçait, Diana Krall, Ranee Lee... je buvais le visage de Mathieu. Est venue l'heure des confidences, ou plutôt des regards. Il a compris à quel point j’avais envie de lui. Son bras est venu m’enlacer. J’ai frissonné. Je n'ai pas bougé, la gorge sèche, brûlante des vodkas que j’avais bues. Sa main a progressé, il m’a lentement attiré à lui. J’ai eu l’impression de tout vivre au ralenti, ses lèvres brillantes s’approchant des miennes, son haleine chaude, ses dents régulières. Il m’a embrassé et je me suis blotti dans ses bras, sentant instinctivement que je devais me laisser faire. Il m’a violé la bouche avec sa langue, longuement. Je bandais terriblement dans mon jean. J’ai commencé à lui peloter les cuisses, les couilles derrière la braguette, la queue qui déformait le tissu le long d’une cuisse. Il s’est tendu de plus en plus. Son regard a étincelé. Il a sorti ma pine sans tendresse et a commencé à la branler à grands coups en me tordant les pointes de seins alternativement de l’autre main. J’ai fini par décharger. Il a recueilli mon foutre, et m’en a barbouillé le visage. J’étais plus étonné que choqué de son attitude. Puis il s’est mis à lécher le jus étalé. Il était fiévreux, d’un coup, très excité.

Il s’est mis à poil, et j’ai enfin pu voir son paquet pour la première fois. Mais il est devenu de plus en plus brutal. C’était son trip, j’acceptai, j'avais confiance en lui. Il m’a demandé de me placer à quatre pattes sur le tapis. il m'a dépoilé, il s'est enlîlé une capote, et il m’a enculé comme ça, sans préparation, sans lubrifiant, à part la capote qui l’est toujours un peu. J’ai gémi de douleur, mais j’ai fini par me mordre les lèvres. Il aimait forcer les culs, les violer. J’ai accepté. Au bout d’un moment, il a fini par rentrer toute la longueur et il a buté, ses couilles collées à mon cul. Il s'est mis à me limer en me traitant de salope et de chienne, tout bas. Au bout d’une quinzaine d’aller-retours profonds, il a joui en moi en me giflant le crâne. Après, on est allés dans sa chambre, et on a fait l’amour, d’une manière un peu plus “normale”. Il m’a parlé de ses fantasmes SM, de domination, de viol, jusqu'au matin. Puis, avant de nous endormir, il m'a demandé: “Est-ce que tu accepterais d'être mon esclave de temps en temps, safe sex, bien sûr?” Je crois que ce n’était même pas nécessaire de me le demander.

Le samedi suivant, j’étais chez lui. Il a passé des coups de fil à des copains, qui étaient déjà au courant. Il leur a demandé de venir. Il m’a alors dit que j’allais servir de pute à cinq mecs, lui compris. C’était tellement nouveau pour moi, tellement excitant que j’ai triqué très fort. Il m’a passé un collier de cuir clouté autour du cou.

Lorsque ses potes sont arrivés, j’étais à poil, à quatre pattes. En guise de salut, j’ai dû leur lécher le gland, tous différents. Il y a eu Kévin, qui a roulé un palot sucré à Mathieu; j’ai senti la jalousie me transpercer. Moi, je me suis retrouvé attaché au pied du lit, et Mathieu a fait exprès de tirer sur la laisse qu’il avait attachée à mon collier de chien. Devant moi, il s’est fait enculer par Kévin. Pendant qu’il se faisait défoncer, il n’a pas arrêté de me regarder en souriant vicieusement. Tous les deux me demandaient si le spectacle me plaisait. J’étais complètement excité et mort de jalousie. Kévin s’est retiré sans jouir. Il a retiré la capote et m’a filé sa queue à sucer pendant que Mathieu me matait. Il y a été fort, à grands coups de reins, tout en tirant sur mes couilles. Je n’étais plus qu’un trou... Et Mathieu se branlottait en me souriant...

Julien, Thomas et Raoul sont arrivés ensemble. Raoul était beaucoup plus âgé que les autres, au moins cinquante-cinq ans; il n’était pas beau. J’ai dû subir toutes leurs excentricités. Julien m’a planté un gode vibrant alors que je pompais la queue de Thomas et que mon Mathieu adoré me cinglait les fesses au fouet de cuir. Je n’ai pas pu tenir: j’ai joui à en mourir. Et puis, c’est devenu une orgie. Tout le monde s’est mis à s’enculer, à se pomper, sauf que moi, j’étais l’exutoire, on ne me demandait pas mon avis pour m’enculer, me goder, me martyriser les seins ou me fouetter. J’avais le trou du cul en feu, les fesses et le dos zébré de coups, toujours attaché par ma laisse. Mathieu était déchaîné: il a bien éjaculé cinq fois au cours de la partouze, en ne cessant de m’humilier, de me gifler à toute volée, de me fouetter, ou de me dire comme c’était bon de se faire enculer par l’un ou par l’autre. J’avais accepté mon sort, j’étais amoureux de lui, il était sadique, c’était comme ça. Et puis, une fois vidé, lessivé, j’ai senti un changement d'attitude. Alors que les autres continuaient à partouzer, il m’a détaché et je l’ai suivi dans sa chambre. Il m’a regardé tristement. Il avait une bouteille de whisky à la main. Il s’est mis à boire au goulot. Il m’a regardé encore, il m’a relevé et m’a embrassé le plus tendrement du monde. D’un seul coup, c’était un autre homme. Le lendemain, on a dormi tard, puis il m’a soigné le dos et les fesses avec une crème. Après, il m’a fait l’amour, avec tendresse.

Depuis, il m’appelle de temps en temps. Parfois poux discuter, parfois pour lui servir d’esclave, parfois pour me faire l’amour. Il est imprévisible. Il a besoin de me faire souffrir, et de me consoler après. Pour l’instant, j’accepte, il me plaît toujours.

 

Paru dans lettres gay N°104

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 06:02

Je m’appelle Bruno, j’ai 17 ans. Je ne suis pas très grand et pour compenser, je fais de la natation pour essayer d’avoir un beau corps et me rapprocher des beaux mecs grands et musclés qui me plaisent tant. Je suis très peu poilu, juste aux aisselles et au dessus du sexe. Je me coupe les cheveux assez courts à cause de la piscine.

J’ai des yeux d’un bleu profond et quand je sens qu’un mec me regarde avec intérêt, je les utilise pour l’accrocher...

J’ai passé beaucoup de temps à explorer ma sexualité cette année... et mes résultats s’en sont ressentis. Aussi j’ai décidé le mois dernier de prendre des cours particuliers. D’accord, le fait que ce soit avec un copain de ma sœur sur lequel je fantasme depuis quelques années n’y est pas étranger non plus. Alex est beaucoup plus grand que moi, blond, la belle gueule d’un ange avec des yeux vert vert. Il a les cheveux très longs ondulés et autant je suis mince, autant il est musclé et athlétique. Pourtant il est étudiant en école d’ingénieur, un as des maths quoi, mais aussi un passionné de sports de glisse.

Seulement voilà, j’ai un peu de mal à me concentrer quand je le retrouve le mercredi soir dans sa piaule sur le campus. En ce moment, c’est le printemps tardif et il fait déjà chaud. J’aime bien mettre des tshirts sans manches, ça me fait croire que ça met en valeur mes épaules... Alex lui est toujours en baggy ou en short de surf. Il met soit des tshirts moulants, soit des chemisettes toujours ouvertes jusqu’au nombril. Bref, entre ses jambes puissantes et son torse musclé...

Les cours ne portent pas leurs fruits. Mes résultats au lycée ont cessé de baisser mais bon ils ne remontent pas non plus. Pourtant je ne sors plus qu’une fois par semaine et le reste du temps, j’essaie de ne me branler qu’une fois par jour...

Aujourd’hui, Alex est de mauvaise humeur. Et comme je lui annonce des résultats au bac blanc assez médiocres, je vois bien qu’il est excédé. Son regard est dur, je ne sais pas à quoi il pense mais je suis un peu désespéré de le décevoir autant. Comme je lui ai répondu une connerie à un exercice de maths que nous faisons ensemble, il se lève brusquement:

— Qu’est-ce qu’il faut faire pour que tu réfléchisses un peu? Il faut te punir comme un gamin? Lève-toi!

Et là il me pousse d’un coup sur son lit où je tombe assis. Mon tshirt s’est accroché à la poignée de la fenêtre. Je lève les mains pour le décrocher.

— Reste comme ça.

Il s’approche de moi.

— Ne bouge pas je t’ai dit!

Il défait ma ceinture et me l’enlève. Je le regarde faire, ébahi. J’ai une ceinture en toile élastique qui me permet de tenir mon jeans trop large sur les hanches. Il me saisit les mains et les attachent avec ma propre ceinture à la poignée de la fenêtre!

— Voilà, maintenant je te laisse comme ça tant que tu n’a pas trouvé la réponse à cette question du niveau 3e. Je vais pisser, réfléchis!

Raconte01.jpg Je réfléchis oui d’accord. Surtout je me demande comment j’ai fait pour en arriver là. Si ça se trouve, les étudiants qui passent au pied de la résidence universitaire peuvent me voir attaché à la fenêtre. Qu’est-ce que j’ai fait? Je me suis trop branlé cette nuit? On se pose des questions connes à 17 ans. Je me suis branlé hier soir en me couchant comme à peu près tous les soirs de la semaine (le week-end heureusement, je ne dors pas souvent seul!) et aussi tout à l’heure avant de venir. Oui ma sœur n’était pas là et je pensais qu’en me branlant avant de venir voir Alex pour mon petit cours, ça m’éviterait de bander s’il était habillé trop sport (c'est-à-dire trop sexy pour moi).

Alors que je suis perdu dans ces pensées d’adolescent, Alex est revenu. Mais voilà de penser à tout ça bien sûr ça m’a donné la trique. Et je ne suis pas très bien installé assis sur le lit les bras tendus en l’air sans pouvoir bouger. J’ai beau avoir un jeans bien trop grand pour moi, Alex s’en aperçoit. Il est d’abord très surpris. Je rougis de honte quand je vois ses yeux verts rivés entre mes jambes, ce qui a pour effet de décupler les sensations de ma queue dressée contre mon caleçon et mon jeans; autrement dit je bande encore plus!

Alex s’approche de moi rapidement. Je ferme les yeux, j’ai peur qu’il me frappe. Ses mains attrapent mon jeans et le tirent! Il emporte mon caleçon avec et me voici cul nu sur son lit! Il ne dit pas un mot, mais je vois son regard qui me parcourt. Ce n’est plus de la colère que je vois dans ses yeux mais une manière d’absorber tout ce qu’il voit tout en rayonnant un désir qui fait monter ma température.

Aujourd’hui il porte un short de surf et un tshirt qu’il enlève devant moi. C’est la première fois que je le vois torse nu. J’ai le souffle coupé. Mieux que ces américains qu’on voit sur internet. Un torse musclé, en V, des pectoraux hauts et ronds, des seins aux larges auréoles cuivrées, des abdos tracés à la charrue, ces petites vagues sur le côté... je ne sais plus où donner de la tête. Et quand il bouge tous ses muscles! Il est légèrement poilu mais ses poils blonds sont à peine visibles, ils jouent juste avec la lumière. Son nombril est à peine creusé tant son ventre est mince. Des poils semblent tomber en cascade vers le bas-ventre. C’est alors que je devine sa queue elle aussi gonflée. Son short est tendu... vers moi.

Il s’approche, pose les mains sur mes genoux puis les remonte le long de mes cuisses. Il est à genoux devant moi. Ses cheveux longs me caressent les jambes. Je peux voir son dos musclé qui se rétrécit sur ses hanches si étroites. Son short est tendu sur ses fesses bien rondes dont je devine le départ de la raie.

Je sens son souffle sur mon sexe. Sa langue se pose sur mon gland qu’elle se met à lécher. Ses lèvres se referment sur ma queue que sa bouche aspire le plus loin possible. Son nez s’enfonce dans les poils de mon pubis. Ses mains relève mes cuisses qu’elles caressent par en dessous, et pendant qu’il continue à me sucer la queue, ses doigts écartent mes fesses, s’immiscent dans ma raie et bientôt tâtent mon petit trou du cul. Ma queue disparaît dans sa bouche chaude. Attaché par les mains, je ne peux que remuer un peu les hanches pour l’accompagner.

Je sens un doigt bien gros pointer, m’ouvrir et s’enfoncer lentement dans mon cul. Voir Alex devant moi, ses muscles bandés et sentir son doigt me fouiller, c’en est trop. J’explose tout à coup au fond de sa gorge en poussant des petits gémissements. Alex lève les yeux, me regarde jouir autour de son doigt, dans sa bouche qui aspire tout sans broncher. Puis il s’écarte un peu. Ses mains sa bouche m’abandonnent. Il baisse son short pour libérer sa queue. Elle est un peu plus large que la mienne mais surtout beaucoup plus longue. Enfin avec son corps si musclé, il est difficile de se rendre compte des proportions.

Il monte sur le lit et je ne quitte pas des yeux sa bite qui s’approche de mon visage, de plus en plus grosse. Il est là devant moi, les mains sur les hanches. Il fait bouger sa queue de droite à gauche en venant me frapper le visage avec. Ses grosses couilles se balancent. Ma bouche s’ouvre, je tire la langue pour essayer de la goûter, de l’attraper. Sa bite est légèrement courbée vers le bas tant elle doit être lourde. Elle est régulière, un peu veinée, complètement décalottée. Ses poils blonds bouclés la dominent en laissant la base et les couilles bien nettes.

Il finit par me prendre la tête entre ses mains. Sa queue m’écrase le nez, ma bouche dans ses boules que je lèche avidement. Puis il recule à peine pour amener son gland sur mes lèvres. Il est humide, bien gros et chaud. Alex le pose sur ma langue, je referme ma bouche et commence à le sucer sans qu’il s’enfonce plus loin. Alex garde le contrôle. Quand il estime que je lui ai suffisamment tété le bout, il se met à s’enfoncer lentement dans ma bouche, glissant sur ma langue. Quand il arrive au fond de ma bouche, il s’arrête un instant. Sa main relève un peu ma tête en venant sous ma mâchoire pour me tâter le cou. Puis son gland continue, pénétrant dans ma gorge qui s’ouvre. Je suis immobile entre ses mains sur ma tête et sous ma gorge déformée par sa queue qui s’enfonce. Quand il est bien à fond, il remue le bassin puis remonte lentement pour commencer un va-et-vient. Chaque fois que je reprends mon souffle dans un gémissement, il replonge pour m’écraser le nez dans sa toison et ses couilles frappent mon menton.

Cette masse de muscles me fait bander à fond. Ma bite bien raide dégouline de plaisir. Les mouvements d’Alex sont de plus en plus saccadés, moins précis. Son souffle s’accélère... Non, il se retire brusquement me laissant bouche béante devant cette grosse queue dégoulinante de salive qui s’éloigne... J’ai toujours les mains attachées en l’air. Il relève mes cuisses en me tirant vers lui pour me soulever du lit et me faire asseoir sur ses cuisses musclées. Nos couilles, nos bites se frottent, mais pas pour longtemps: il continue à me remonter et ses boules caresses mes fesses, sa queue se glisse sur ma raie, son gland passe sous mes couilles.

Oh oui je sens bientôt son ogive suintante qui presse sur mon cul qui s’ouvre. Alex est impatient, il me lâche et je tombe littéralement sur sa queue, m’empalant d’un coup d’au moins 20cm. Je crie de surprise, Alex rugit de plaisir et sans attendre que je réalise s’il me fait mal ou s’il me fait du bien, il se met à me pistonner à 200 à l’heure. Mes cris ne s’arrêtent pas. Il me secoue dans tous les sens, tournant sa queue qui me défonce le cul. Il donne un coup de rein violent, rugissant, puis un autre, rugissant plus fort, puis enfin un dernier coup de sa queue de plus en plus grosse, son rugissement accompagne l’explosion de foutre brûlant dans mes entrailles qui se déchaînent et font remonter la jouissance le long de ma colonne vertébrale, libérant un long râle qui sort de ma bouche quand mes jets de sperme arrosent mon torse et ma gueule tordue d’extase.

Je ne sais pas combien de temps j’ai mis à reprendre mes esprits. Alex s’est rhabillé. Je suis nu sur le lit, souriant bêtement. Je me dis que c’est une drôle de punition...

— Alors Bruno? J’espère que tu auras une meilleure note la prochaine fois. Moins de 15, pas la peine d’espérer qu’on se touche. Si tu veux que je t’encule, il faudra au moins 18...

 

Texte paru sur Gai-eros, ecrit par Bruno7

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : GAY en Vidéos .Photos. Dessins
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 15:28

Cette fois, pas de baby-sitter pour lui ! C'est bien la première fois ! Car Alain, malgré ses presque 17 ans, c'est la première fois qu'il peut rester seul à la maison pendant que ses parents sont en week-end prolongé.

 

Avant ses treize ans il devait aller loger chez un oncle ou chez un ami de ses parents et par après ils ont fait appel au fils du patron du beau-père : Antoine, de trois ans son aîné. Il s'entendait très bien avec son baby-sitter pour qui il avait du respect et une sorte d'affection. Mais rien ne valait être son propre maître en l'absence des parents.

 

Bien sûr, sa mère l'avait gratifié d'une série de recommandations et son beau-père qui lui avait fait promettre d'être rentré pour 22 heures chaque soir et de ne pas faire la nouba à la maison mais qui l'avait aussi menacé d'une correction, d'une terrible punition s'il apprenait qu'Alain n'avait pas respecté toutes les recommandations.

 

La chose la plus terrible qu'Alain avait dû subir comme punition depuis l'arrivée de son beau-père voilà 5 ans c'était d'être interdit de sortie durant un mois et suppression de tout superflu.

 

Ses parents étaient à peine partis qu'il recevait déjà un texto de son meilleur ami, Alexis, lui proposant d'aller faire la java en ville. Rendez-vous était fixé chez Alain vers 22 heures.

 

Après avoir mangé une pizza qu'il venait de mettre au four, Alain est allé se préparer pour sa première vraie sortie. Il s'est fait couler un bain bien chaud et pendant ce temps il s'est rasé les quelques poils qu'il avait au menton et s'est comme d'habitude longuement admiré dans le miroir. C'est vrai qu'Alain est assez fier de son corps et qu'il se branler en se regardant dans le miroir en pensant exclusivement à des mecs. Il s'est donc branlé sauvagement avant de plonger dans son bain.

 

Ensuite, après s'être séché et pomponné il a mis ses frusques préférées : slip en lycra blanc, jeans et t-shirt moulants, chaussettes blanches et sneakers. C'est vrai aussi qu'il aime sentir bon et être bien sapé mais pour autant il ne fait pas efféminé.

 

Et quand Alexis sonne à ma porte, il est fin prêt. Alexis aussi est très bien fringué et il me semble encore plus sexy que d'habitude. Ils se vident deux bouteilles de bière et vers 22.30 heures le portable d'Alain sonne : c'est son père « Bonsoir papa ».

 

« Salut fiston, déjà rentré ? »

 

« Oui, papa, je respecte tes consignes, tu sais »

 

« Et tu as fait quoi ? »

 

« Je suis allé au ciné avec Alexis et je viens de rentrer. »

 

« Très bien, et tu vas dormir maintenant ? »

 

« Non, pas directement, Alexis est encore ici et on voulait se faire quelques jeux vidéos ? »

« Ok, mais ne va quand même pas trop tard au lit, mon grand »

 

« T'en fais pas papa. Bonne nuit »

 

Et Alain raccroche avec un grand 'ouf' de soulagement car si son père avait téléphoné plus tard, il aurait entendu le brouhaha de la rue. Et vers 23 heures, les deux amis descendent en ville. Il sait bien sûr qu'il contrevient à ce qui avait été convenu avec ses parents et en outre il vient de mentir effrontément à son père mais comme celui-ci se trouve à plus de 400 km d'ici il ne risque pas grand-chose !

 

Ils déplacent avec la mobylette d'Alexis et en chemin, celui-ci fait comprendre à son copain qu'il voudrait découvrir les boîtes gays parce qu'il a entendu qu'il y a plus d'ambiance. Cela n'étonnait pas Alain parce que son ami ne cachait pas son homosexualité et d'autre part Alexis devait bien se douter qu'Alain ne restait pas indifférent aux garçons bien qu'ils n'en aient jamais discuté ensemble même lorsque

Alain allait parfois loger chez son ami.

 

La seule chose qu'il ont fait ensemble, c'était durant un voyage scolaire s'était de se branler devant l'autre mais il y avait encore d'autres garçons dans la même situation.

 

Et puis, il ne sait pas pourquoi, Alain se met à penser à Antoine, son baby-sitter jusqu'à il y a peu. Est-il gay, bi ou hétéro, il n'en sait rien en tout cas, Alain doit reconnaître que la sorte d'affection qu'il avait pour lui était quand même proche des amitiés particulières bien qu'il n'y ait jamais eu d'attouchements.

 

La seule chose qui excitait fortement Alain depuis ses 13 ans, c'était de prendre sa douche ou son bain en présence de son baby-sitter. Une excitation intérieure qui fait bourdonner le ventre mais pas son sexe, une excitation due à ses besoins d'exhibitionnismes mais qui se terminait quand même toujours par une bonne branle lorsqu'il se retrouvait seul et qu'il pouvait fantasmer sur Antoine.

 

Une fois arrivé en ville et la mobylette rangée, Alexis prend les choses en main et ils se dirigent directement vers 'le garage' la boîte homo à la mode. Et la stratégie d'Alexis marche : Il avait dit à Alain d'avoir l'air décidé quand ils seraient tous deux devant le physio, à l'entrée de la boîte et effectivement, malgré leurs 17 ans, ils parviennent à rentrer. Mais ils n'ont pas vu le petit geste discret du physio vers le manager de service qui lui passe la consigne au sorteur « ces deux là, tu me les gardes, et tu les chauffes. »

 

« Ca marche, boss » et il intercepte les deux amis.

 

« Bonsoir, pouvez-vous me montrer une pièce d'identité, jeune gens ? »

 

Et Alain et Alexis montrent leur carte et se voient déjà tous deux mis manu militari à la porte de la boîte mais le gars leur sourit et les poussant devant lui les emmène dans le bureau du proprio de la boîte et lui remet leurs cartes d'identité.

 

« Jeunes gens, vous êtes en infraction et légalement, je devrais appeler les flics ou autre possibilité, c'est de téléphoner à vos parents »

 

« S'il vous plaît, non » gémit déjà Alain. Quant à Alain, lui s'écroule sur une chaise les larmes aux yeux.

 

Puis, après un long silence, le proprio reprend la parole. « Il y a une autre solution pas tout à fait correcte mais acceptée par les autorités c'est de vous engager comme personnel temporaire »

 

Et là, les deux amis se regardent et leurs yeux sont fixés sur le gars et ils attendent la bouche ouverte sa proposition.

 

« Je pourrais vous utiliser ce soir, durant deux heures comme gogo-boy »

 

Les deux amis sont aux anges ; il est vrai que tous deux aiment danser sur les rythmes les plus fous.

 

« Mais pour cela, moi et mes adjoints doivent vous jugez sur vos possibilités de prestation. Etes-vous d'accord, Alain et Alexis ? » Demande-t-il après avoir lu leurs prénoms sur leur carte.

 

Et tous deux répondent affirmativement.

 

Alors, le proprio les amène dans la pièce contiguë à son bureau, leur sert un double whisky et les laisse seuls ; il doit réunir son équipe. Après les bières qu'ils ont déjà bu avant de partir et maintenant ces whisky, nos deux amis qui n'ont pas franchement l'habitude de boire sont gais, pas encore éméchés. Puis, le proprio, accompagné de deux gars revient dans la pièce.

 

« Voici nos deux 'gamins' qui sont parvenus à passer notre contrôle et qui veulent bien être engagés temporairement plutôt que d'être remis à la police » dit le proprio.

 

Et l'un de ses gars, le directeur artistique s'adresse à Alain et Alexis « Ici, on n'utilise pas n'importe qui comme danseur. Alors, commencez par vous mettre torse nu pour que l'on puisse vous juger » Et sans trop réfléchir ou rouspéter et sans forme de timidité, les deux amis se retrouvent torse nu devant les trois gars qui parlent entre eux. Puis, l'un d'eux s'adresse à Alexis. « Tu nous sembles assez poilu quand on voit tes poils qui courent en-dessous de ton nombril... »

 

Et avant que le gars puisse terminer sa phrase, Alexis a déjà ouvert sa braguette et laisse glisser son pantalon sur ses chevilles et baisse légèrement son slip – aussi en lycra blanc.

 

« Baisse-le complètement » Et quand Alexis sans aucune honte baisse son slip, le gars intervient à nouveau « c'est bien ce que je craignais » dit-il en regardant le proprio et lançant en même temps un jock strap argenté à Alexis « Boss, vous verrez quand il aura enfilé ceci, des poils vont apparaître partout » et s'adressant maintenant à Alain « Fous-toi aussi à poil, petit, pour que l'on voit » Et Alain, plus intimidé qu'Alexis se déshabille également.

 

Une fois le jock enfilé, le gars fait tourner Alexis sur lui-même. « Vous voyez boss, pas présentable. Il est vraiment poilu pour son âge. Pour moi il faut qu'on rase tout ce qui dépasse et qu'on passe en même temps le rasoir sur ses fesses. Ensuite bien huiler tout son corps. » Puis, s'approchant d'Alain qui a aussi enfilé un jock argenté. « Parfait, celui-ci. Presque imberbe, corps pas trop musclé et deux belles fesses qu'on ne peut pas rater. Il n'y a qu'à huiler son corps »

 

Et sans demander l'avis d'Alexis, celui-ci se retrouve directement allongé sur la table, le slip baissé et déjà on lui tond la quasi-totalité de son pubis et ses fesses. Quand il peut se relever il ne peut voir dans le miroir qu'un petit triangle de poils qu'on lui a laissé.

 

Ensuite, leurs corps son huilés, ils enfilent chacun leur jock et leurs baskets et ils sont poussés chacun dans une sorte cage avec barreaux puis les cages, grâce à un système de treuils, de rails et de poulies sont envoyées dans la salle à une hauteur d'environ 3 mètres. Et durant deux heures, Alexis et Alain sont sous contrat et sont tenus de danser au son de la musique des dj.

 

Alain tout comme Alexis sont directement dans leur élément et se trémoussent dans tous les sens et ce besoin d'exhibitionnisme d'Alain le fait même à certain moment bande légèrement. Danser presque nu pour 200 mecs ou plus sur des rythmes fous !

 

Très excitant pour des gars de 17 ans. Mais cela n'empêche pas Alain de penser : ce soir, il s'estime heureux : il a échappé à un contrôle de police, à une confrontation avec son paternel et en plus son côté exhibitionniste est tout à fait comblé et en outre, ici dans ce lieu gay aucun de ses amis, copains (parce qu'ils sont trop jeunes) ou connaissances (parce qu'il ne pense pas avoir des connaissances gays) il se sent en sécurité.

 

Alexis, lui, dans sa cage connaissait le succès auprès des gars qui se trouvaient en dessous de lui et quand ils se mirent à chanter ou crier sous l'air des lampions 'à poil, à poil' notre ami s'est mis à bander ferme et dans un geste à la fois long et assez étudié, il a baissé la seule partie tissée de son jock et leur a dévoilé sa bite presque entièrement rasée qui bandait fermement.

 

Quand, enfin après plus de deux heures trente de danse, les deux amis se retrouvent en coulisse ils sont tous deux trempés, la sueur leur coule de partout et leur jock est quasi devenu translucide.

 

A ce moment là, le physio arrive chez eux et a pris les choses en main « Vous ne pouvez pas rester ainsi. Une bonne douche vous ferait le plus grand bien. Attention aux refroidissements » On leur a jeté une serviette sur les épaules et après avoir récupéré leurs frusques, le physio, Philippe, les a amenés chez lui – il habite tout près – et les a mis sous la douche.

 

Pendant que les deux amis se rafraîchissent sous la douche, un coup de sonnette qu'ils n'ont pas assimilé et l'invité de Philippe s'assied et s'offre une bière.

 

Une fois bien remis en forme, les deux gars reviennent au salon, chacun une serviette autour de la taille. Et là, la surprise est totale pour Alain.

 

« Mais comment connais-tu Philippe ? Mais qu'est-ce que tu fous ici, Alain ? Ne devais-tu pas être à la maison à 22 heures ? Et toi Alexis, tes parents savent que tu es de sortie ? »

 

Cette voix, je devrais presque dire ce hurlement est le fait d'Antoine qui à l'air à la fois surpris et furieux. Il regarde son ami Philippe qui lui explique comment les deux gamins comme il les appelle sont arrivés d'abord à la boîte puis chez lui.

 

Et Antoine ne semble pas calmé « Pour commencer, ôtez-moi ses serviettes ridicules. » Et Alain et Alexis se trouvent à poil et ne savent pas très bien quelle contenance avoir.

 

Antoine poursuit « Vous me mettez dans une situation embarrassante ; surtout toi Alain ! Ton beau-père voulait encore que je sois ton baby-sitter ce soir mais je lui ai fait comprendre qu'il devait te faire confiance et qu'à près de 17 ans je trouvais cela assez surprenant. Je savais donc, avant toi, que tu serais seul ce week-end et j'avais promis à ton paternel de quand même te tenir à l'œil. Il m'a même envoyé un texto tout à l'heure pour me signaler que tu étais à la maison avec Alexis. Il pensait même qu'Alexis resterait dormir Et c'est ce que toi Alexis a raconté à tes parents n'est-ce pas ? »

 

Et Alexis acquiesce de la tête. « Vous vouliez tout simplement faire la fête ! Découvrir le monde ! Vous envoyez en l'air peut-être ?»

 

Et Alexis intervient directement « Non, non, on voulait simplement aller danser et c'est moi qui ai proposé d'aller dans une boîte gay »

 

« Et comment connais-tu cette boîte ? Tu lis des revues type Têtu ? Tu vas sur ces sites gays ? » Interroge Antoine

 

« Oui, je suis homo et je ne m'en cache pas » répond courageusement Alexis

 

« Et tu entraînes ton ami dans ton monde » poursuit Antoine

 

« Qui est peut-être aussi le sien, tu n'as qu'à lui demander. Et toi, au juste que fais-tu chez le physio de cette boîte gay ? C'est ton petit ami ? » Rétorque sèchement Alexis.

 

Mais ni Alain, ni Antoine, ni Philippe ne répondent à ses questions.

 

En tout cas Alain est dans de mauvais draps, il s'en doute et prends les devants et s'adressent à Antoine. « Et toi, tu vas sûrement aller raconter à mon père que tu m'as vu cette nuit dans une boîte gay ? »

 

Antoine fait semblant de réfléchir longuement et s'entretient en chuchotant avec Philippe qui est venu s'asseoir auprès de lui et enfin c'est Philippe qui prend la parole ; ce qui étonne fortement Alain mais aussi Alexis.

 

« Mes gamins, Très bonnes et en même temps très mauvaise soirée pour vous : vous vous êtes plus qu'amusés dans vos cages à danser presque à poil pour plus de 500 gars d'une part et alors tous ces mensonges et autres misères : rentrer dans une boîte quand on n'a pas l'âge, se faire embaucher pour ne pas se faire attraper par les flics, pour ne se faire gronder par les parents et puis se faire choper par Antoine, la personne de confiance de ton paternel, ton baby-sitter ! Et en plus une sorte de chantage du type 'tu vas sûrement aller raconter à mon père' comme pour dire quel est le prix de ton silence !»

 

Alain n'en croit pas ses oreilles. Alors, à son tour il se fâche et crache son venin. « Et toi, Antoine, mon baby-sitter, tu es aussi pédé que nous. Et si MOI je racontais à mon père que tu es gay ? Et si moi je me plaignais à mon père ? »

 

« Mais de quoi peux-tu te plaindre, mon pauvre Alain » rétorque enfin Antoine. « Durant toutes ces années où j'ai été ton baby-sitter, tu m'as à certains moments fait chier un max et plus d'une fois j'avais envie de te donner une bonne fessée. Et d'autre part, tu crois que j'étais dupe quand tu essayais avec tes allures exhibitionnistes de me provoquer et je parie que même maintenant encore tu te branles en pensant des fois à moi. Aussi, oui, cette fois-ci, je vais te faire payer à toi et à ton petit copain un prix fort pour mon silence »

 

Et là, Philippe reprend les choses en mains. Il leur jette sur un tas leurs frusques et leur dit « Enfilé uniquement votre slip et vos baskets » puis il s'éclipse quelques instants et revient avec du matos et jette à leurs pieds un collier en cuir pour chacun « Mettez-moi ça »

 

Les deux jeunes se regardent, ne mouftent pas et obéissent. Pendant qu'ils mettent leur collier, Antoine a mis tous leurs vêtements dans un sac poubelle et Philippe est revenu de la chambre avec une grande besace en cuir noir.

 

« Qu'allez-vous faire avec nous maintenant » gémit Alexis qui a perdu sa superbe.

 

Mais sans un mot, Philippe, fait comprendre Alexis et Alain de descendre les marches et au rez de chaussée, il ouvre la porte donnant sur le garage, ouvre le hayon arrière de sa camionnette et oblige les deux jeunes à se coucher par terre.

 

Et là, Antoine intervient, lie leurs 4 poignets ensembles et referme le hayon sur eux.

Philippe et Antoine prennent place à l'avant et une fois que le portail s'est ouvert, ils démarrent. Ils ne roulent pas loin ; pas plus de 500m. Leur destination, le club privé 'les Bottes' ; un club hard, un club cuir, un club où des jeunots sont appréciés, un club où certains souffrent et où d'autres font souffrir.

 

Philippe se gare à l'arrière du club et avant de les sortir, il leur bande les yeux et après les avoir séparés Alexis et Alain sont amené dans le club par une porte dérobée.

 

Antoine et Philippe savent très bien, trop bien que les deux gamins sont trop jeunes pour découvrir tout ce monde ; c'est pourquoi ils ont les yeux bandés. Sans le savoir, ils traversent le bar où la moitié des gars sont aussi nus qu'eux puis ils montent au premier étage où se passent les jeunes d'eaux dirais-je et la grande black room puis sont amenés au dernier étage qui comprend d'une part le donjon et ils sont conduis dans une très petite salle réservée aux initiés. Et là, enfin, Antoine leur ôte leur bandeau des yeux.

 

« Où sommes-nous » crient-ils quasi ensemble. Et dans la pénombre les seuls objets qu'ils repèrent sont une chaise, un banc et une sorte de long bout de bois comprenant trois grands trous et monté sur un trépied : un joug.

 

Alors, sans attendre, Antoine s'assoit sur la chaise, attrape Alain par le bras, l'allonge sur ses genoux et commence à le fesser à main nue. La surprise est totale pour Alain qui commence à crier, à se débattre, à insulter son baby-sitter de tous les noms mais la prise du fesseur est solide et Alain finit par comprendre que se rebeller ne sert à rien, au contraire.

 

Pendant ce temps, Alexis lui a été pris en main par Philippe mais comme celui-ci ne voulait rien perdre du spectacle il a tout simplement 'fixé' le gamin au joug et pour bien lui faire comprendre que son tour viendra, il lui a déjà ôté son slip. Alexis se retrouve donc nu et bandant sous le joug ; dois-je vous dire qu'il s'est mis à bander 'par lui-même' dirais-je mais qu'en voyant cela, Philippe l'a aidé pour le faire bander à fond.

 

Antoine interrompt la fessée et demande à un Alain déjà en pleur, d'enlever son slip et d'aller se mettre à genoux, les mains sur la tête en équilibre sur le banc. Et Alain obéit comme un agneau avec sa bite déjà bien dure.

 

Et c'est au tour d'Alexis d'être pris en main par Philippe. Celui-ci a sorti de sa besace une sorte palette comme on utilise pour les jeux de plage et une fois bien positionné derrière Alexis, il commence à frapper et à frapper fort.

 

Heureusement que le joug est fixé au sol car sinon le puni se trouverait projeté contre le mur tellement Philippe tape fortement. Les pleurs, les cris, les suppliques se font entendre dès le troisième coup et quand Philippe s'arrête déjà après la 10ème claque les fesses du puni sont déjà écarlates. Et nous ne sommes ici dans cette salle de fesseur que depuis un quart d'heure environ.

 

Bien sûr, les cris, les hurlements et les pleurs de nos jeunots ont eu comme effet d'attirer d'autres gars vers cette pièce qui normalement à nettement moins de succès.

 

Alors, pour exciter les nouveaux venus, Antoine se dirige vers Alain et l'oblige se s'allonger sur le ventre sur le banc où il se trouve. Et Alain sans dire un mot suit les ordres. Cette fois-ci il s'est muni d'un jonc long, fin et très souple « Tu vas compter les coups maintenant, petit morveux et après chaque coup tu me remercieras » ajoute Antoine qui frappe en même temps dans l'air avec sa baguette que l'on entend très bien siffler en fendant l'air.

 

Et la punition commence. Les coups ne se suivent pas trop rapidement ; il laisse le temps à son puni de compter, de le remercier mais aussi aux fesses le temps d'assimiler cette forte douleur et après chaque coup les fesses s'enrichissent d'une fameuse marque qui fait enfler les contours des emplacements où le jonc à frappé les fesses. 12 coups de badine qu'il a encaissé Alain et quand il se redresse, Philippe a déjà libéré Alexis de son joug et Antoine y fait prendre place Alain.

 

Puis, Philippe fait descendre du plafond une corde manœuvrée par une poulie et en moins de deux, Alexis se trouve attaché les mains en l'air et la pointe des pieds au sol en attendant son tour.

 

Dois-je vous dire que les mecs se sont évidemment mis à toucher Alain et Alexis sous tous les angles et quand Philippe a dit à l'assemblée « Ils sont à vous pour une bonne correction » les gars se sont littéralement rués sur les deux jeunes gars.

 

Et quand, une bonne demi-heure plus tard Antoine a dit « Cela suffit maintenant » tous les gars ont quitté la pièce sans rouspétance. Ils ont libéré Alain et Alexis qui tous deux avaient les fesses, le dos, les cuisses les mollets en feu. Et comme certains gars en avaient aussi profité pour les masturber et leur foutre quelques doigts dans le cul, on pouvait voir que les deux jeunots avaient juté et plus d'une fois ; le sol et leurs cuisses en étaient témoins.

 

Philippe leur a jeté leur sac à frusques ; ils se sont habillés en vitesse, on leur a remis un bandeau sur les yeux, ils sont sortis pas la porte de service et par leur propre moyens ils ont récupéré la mobylette d'Alexis et sont retournés chez Alain.

 

Alexis a passé la nuit chez son ami et pour la première fois ils ont couché ensemble et quelque part ils étaient heureux d'avoir vécu cette double expérience.

 

***************************

 

Antoine a tenu parole, il n'a rien raconté au paternel d'Alain et les jours et les semaines sont passés. Et puis un jour, plus d'un mois plus tard

 

« Alain, directement dans mon bureau » crie le paternel ;

 

Alain ne l'avait entendu crier sur un ton pareil et malgré qu'il soit occupé à faire un devoir dans sa chambre, il laisse tout tomber et va rejoindre son père dans son bureau.

 

« Qu'est ce que je viens d'apprendre tout à fait par hasard ?»

 

« Je ne sais pas papa. »

 

« Tu te souviens du week-end où je t'ai laissé seul à la maison sans surveillance ? »

 

Oui, évidemment qu'il s'en souvient : sa première sortie, ses danses folles, sa première vrai correction et sa première nuit avec son nouvel amant.

 

« Et bien j'ai appris par mon patron encore bien que l'on t'a vu en ville avec ton éternel ami Alexis. Tu as quelque chose à dire ? Tu contestes ? Tu confirmes ? »

 

Il sait qu'il est perdu. Il sait que cela ne sert à rien de nier. Il pense aussi que faute avouée est à moitié pardonnée.

Aussi il dit tout simplement « Oui, papa, ce soir là je suis sorti alors que j'avais promis d'être rentré pour 22 heures »

 

« Ton compte est bon ; primo tu m'as menti quand je t'ai téléphoné ; secundo tu es sorti toute la nuit ou presque sans autorisation et tertio, tu as acheté le silence d'Antoine »

 

Ce salaud a quand même vendu la mèche d'une façon ou d'une autre.

 

« Voici mon verdict : interdit de sortie et de visite durant deux mois et pour éviter toute infraction à cette règle dès que tu rentreras de l'école tu mettras ton pyjama; je te confisque ta télé, ton ordinateur, ta console de jeu, ton i pod pour la même période et tu ne pourras utiliser ton portable que lorsque tu n'es pas à la maison ; dès que tu es rentré tu le déposeras dans mon bureau. Ton argent de poche est aussi confisqué et pour terminer pour t'apprendre à me respecter et malgré ton âge, je vais t'administrer une fessée magistrale. Tu montes dans ta chambre, tu m'amènes tout ce que je confisque durant ces deux mois et toi tu t'amènes en caleçon. »

 

Et sans rouspéter, Alain obéit aux ordres de son père. Une heure plus tard environ, il se retrouvait dans le bureau paternel en slip et à genoux les mains sur la tête pendant que son père mettait sous clef tout ce qu'il avait temporairement confisqué.

Puis, il s'est assis à sur une chaise, Alain s'est couché sur ses genoux et durant un quart d'heure le père l'a fessé à la main nue.

 

Et malgré les pleurs, les cris, la douleur, Alain bandait ce que le père ne pouvait pas ignorer mais sans attendre son père l'a obligé de prendre appui sur le dossier de la chaise après l'avoir déculotté lui-même et il a reçu des coups de ceinture pendant un autre bon quart d'heure. Son père était calmé et avant de l'envoyer dans sa chambre pour le reste de la journée il est resté debout face à son père les mains sur la tête et les jambes écartées et avec sa bite le temps qu'il a fallu pour qu'elle revienne à la normale.

 

Alain était franchement humilié mais au fond de lui-même il savait que de recevoir la fessée cela l'excitait et que d'une certaine façon il aimait cela.

 

***************************

 

Deux semaines plus tard, les parents d'Alain devaient à nouveau s'absenter pour le week-end et c'est bien sûr Antoine qui est venu faire du baby-sitting. Le père d'Alain avait donné la permission au baby-sitter de punir son fils et si nécessaire il pouvait même lui donner la fessée.

 

Ce week-end là, les fesses d'Alain furent rouges du vendredi soir au dimanche soir.

 

Histoire écrite par Jérome et paru sur le site malespank MMSA Story

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 27 octobre 6 27 /10 /Oct 02:10

Lucien, c'est mon nom. Mon père, mort depuis trois ans dans un accident de travail était fan de Gainsbourg et avait voulu me donner le même prénom que son fils. Papa était grutier et un jour, sur un chantier EDF, sa grue avait rencontré une ligne haute tension. Il est mort ainsi, électrocuté dans sa cabine, loin de tout et de tous. Ses collègues étaient montés le rechercher et il avait été redescendu à dos d'homme, dans un sac. Maman s'est remise en ménage avec un agent de maîtrise de son entreprise, il y a quelques mois maintenant. Mon « beau-père », Antoine, a quarante cinq ans, pas très marrant mais pas désagréable non plus. Il a surtout tendance à la picole, le soir. Maman s'y est mise aussi je crois bien. Moi, je bois surtout du Fanta ou du Coke quand il y en a.

 

En cette fin juin, la chaleur est terrible dans notre pavillon de Montigny. Maman est partie ce matin chez sa sœur en Bretagne. Elle y restera la semaine. On se débrouillera entre hommes, elle a dit. Je suis en fin de troisième scientifique, on ne peut pas dire que je sois parmi les premiers, de loin s'en faut mais bon, je ne suis pas non plus la lanterne rouge. A seize ans, je ne suis pas spécialement en avance. Avec le décès de Papa, je suis resté déstabilisé un bon moment et pas sûr que j'ai vraiment récupéré depuis.

 

Dans le garage, je suis en train de nettoyer mon scooter. Antoine arrive et me dit de le suivre, qu'il a à me parler sérieusement. Je me lave les mains et le rejoins au salon.

 

—Ton bulletin scolaire est arrivé mon gars, dit-il en agitant un papier, le visage fermé. Déjà vu meilleur travail, crois moi... tu n'as pas dû t'épuiser encore n'est ce pas ?

 

—Mais, Antoine, j'ai fait de mon mieux !

 

—De ton mieux ? tu veux rire je suppose...

 

—J e t'assure, j'ai vraiment travaillé et fait attention.

 

—C e n'est pas l'avis de tes profs et j'ai tendance à les croire si tu veux le savoir. Ce matin, j'ai jeté un coup d'œil à ton lit. Tes draps sont copieusement amidonnés. Tu te branles souvent, dis moi ?

 

Je me sens piquer un fard et regarde mes pieds sans répondre.

 

—Je t'ai posé une question Lucien, j'attends ta réponse.

 

—Ben, je sais pas, de temps en temps peut-être...

 

—Hmm et ça veut dire quoi de temps en temps ? et regarde moi quand je te parle, face de cul.

 

—Ben heu... le soir pour m'endormir, des fois.

 

—Et pas le matin aussi pour te réveiller par hasard ? tout à l'heure quand je suis allé voir, ça m'a paru encore bien humide. Et pourquoi pas, à midi pour t'ouvrir l'appétit quand on y pense ?

 

—Peut-être, je sais pas. Quand même, ça, c'est mes affaires, ça ne regarde personne.

 

—Que tu crois. Si tu te tripotais moins l'asperge, je sais que tu travaillerais mieux, c'est une certitude, pas une hypothèse. C'est pour cette raison que c'est aussi notre affaire à ta mère comme à moi. Pour commencer, comme on est juste toi et moi cette semaine, tu vas circuler à poil dans la maison, tu seras plus à l'aise. Tiens, mets toi debout et retire moi ce jean et ce t-shirt, tu seras plus à l'aise je te dis... je ne te conseille pas de discuter mon garçon, ici, c'est moi qui paye tout, alors tant que tu y seras je te conseille d'obéir. J'ai décidé de te reprendre en main, s'il est encore temps.

 

Abasourdi, je me lève du fauteuil et retire sans enthousiasme mon polo et mon jean. Je suis debout devant lui, en slip CK.

 

—Et ton slip, à poil j'ai dit !

 

—Mais Antoine, je ne peux pas rester tout nu toute la journée, c'est pas pratique.

 

—Si c'est pratique, justement. Et ne discute pas d'avantage, un bon conseil, ou ça va tomber comme en 14.

 

Lentement, je baisse mon slip et le pose sur le fauteuil avec mes autres affaires. Je me sens idiot tout nu devant lui.

 

—Bon, c'est déjà ça de fait. Maintenant mets les mains sur la tête.

 

Je m'exécute, laissant mon sexe à la vue d'Antoine. C'est la première fois que je suis nu devant lui et ça me donne une impression bizarre. Je sens que je me mets à bander peu à peu, sans trop savoir pourquoi.

 

—Je vais te lire ton bulletin, reprend-il, et je te recommande de m'écouter sans broncher, crevure.

 

—Comme tu voudras Antoine.

 

Ligne à ligne, j'ai droit à l'énoncé de mes résultats et des commentaires des profs. Ma bite retombe comme elle s'était dressée et je ne me sens pas fier, je dois l'avouer.

 

—Alors, tu m'as entendu, qu'est ce que tu as à dire sur cette année de troisième, Tu es content de toi ?

 

—C'est vrai que ce n'est pas terrible mais je ne suis pas le dernier non plus...

 

—T'as raison,vingtième sur vingt-six tu as encore une marge de progression, face de courge. Tu te fous de ma gueule garçon !

 

—Mais c'est pas de faute Antoine, y'a trop de math, de physique et tout, j'y comprends rien.

 

—T'as qu'à moins te branler et tu comprendras mieux. Dorénavant, tu resteras à poil en permanence, ta mère est d'accord avec moi. Tu dormiras dans ma chambre, sur le tapis, comme cela je pourrai te surveiller. Quant aux toilettes ou à la salle de bain, ce sera porte ouverte. Je t'autorise une branlette par jour et devant moi encore. Tu me demanderas l'autorisation et je verrai ce que j'en pense à ce moment-là. Si je te surprends à te branler en dehors de ce cadre, tu te prendras une bonne raclée qui te remettra les idées et la quéquette en place. Sale petit vicieux de mes deux. J'y pense, pas de scooter ni de portable jusque nouvel ordre. C'est clair ?

 

—Antoine, comment je vais voir mes copains si je peux pas leur téléphoner ou circuler sur mon scoot ? Papa n'a jamais levé la main sur moi, ni Maman...

 

—Ils n'auront qu'à venir à la maison, je leur expliquerai à tes copains. Si tes parents t'avaient flanqué une rouste de temps en temps, tu n'en serais pas là où tu en es. Assez discuté, je vais te mettre une première raclée pour te faire comprendre à quoi ça ressemble. Approche toi.

 

 

 

Inquiet de la tournure que prennent les évènements, je m'approche craintivement d'Antoine. Il me prend par le bras et me courbe sur ses cuisses, m'écartant rudement les jambes. Je me sens à sa totale merci. Il me caresse le cul pour commencer et ma bite se réveille avec vigueur. Puis, mes fesses une fois détendues, il abat sa main avec force, me faisant hurler de surprise. Ce n'est que le début et la correction dure une longue demie heure. Il alterne, passant d'une fesse à l'autre ou au contraire reste longtemps sur la même. Il s'occupe ensuite de mes cuisses qu'il claque sans mollesse. Je sens mes jambes sauter à chaque coup, je pleure et renifle comme un môme, je crie tant que je le peux mais les coups tombent toujours, me chauffant fesses et cuisses jusque la brûlure, m'infligeant de cruelles douleurs jamais encore ressenties.

 

Quand la correction s'achève, Antoine m'ordonne d'une voix dure et sèche que je ne lui connais pas de me relever et de me tenir face à lui mains sur la tête en attendant de nouvelles instructions.

 

Je n'en mène pas large et surtout je me sens humilié comme jamais, l'impression d'être redevenu un petit gamin de six ou sept ans qui se prend sa fessée pour une bêtise. Je jette un coup d'œil à ma bite et je vois qu'elle a diminué de volume, c'est une espèce de vermisseau qui pendouille, à peine visible dans ma touffe de poils pubiens.

 

Antoine s'installe confortablement dans le canapé et m'observe, une cigarette à la main, l'air calme et pensif. Il se décide à parler après de longues minutes :

 

t'es trop con Lucien, tu t'es vu avec ton air d'abruti ? tu vas me raser ces poils tout de suite, puisque tu te conduis en garçonnet, t'as pas de raison d'avoir des poils. Sur le ventre et sous les bras s'il te plaît. Et n'oublie rien. Si c'est pas bien fait je te mettrais une sérieuse dérouillée, fais moi confiance. File dans la salle de bain et que je n'ai pas à te le répéter ? n'oublie pas, maintenant c'est porte ouverte partout où tu te trouves, sans exception. C'est assez clair ?

 

mais pourquoi ? si j'ai des poils c'est que j'ai seize ans. Je vais avoir l'air ridicule, lisse comme un bébé et les copains vont se foutrent de moi.

 

Fais ce que je te dis et vite encore ou sinon tu vas goûter à ma ceinture d'armée. Crois moi, c'est du solide !

 

Ok Antoine, j'y vais.

 

 

 

Une fois dans la salle de bain, j'attrape un rasoir électrique et essaye de me raser les poils mais ça ne marche pas très bien. Je cherche dans les tiroirs et trouve un rasoir à lame qui ma paraît mieux adapté. Je me dis que je dois d'abord débroussailler le plus gros avec des ciseaux et je coupe aussi ras que je peux. Bien entendu je me coupe un peu la peau des couilles mais ça ne saigne pas beaucoup, c'est superficiel. Ensuite j'applique soigneusement de la mousse à raser un peu partout. Sans savoir pourquoi, je me mets à bander à fond. Tant mieux, ce sera plus pratique pour me raser la tige. On sonne à la porte, j'entends distinctement le ding dong du carillon. Aussitôt Antoine hurle :

 

va ouvrir tête de fion !

 

mais je ne peux pas Antoine, je suis en train de me raser.

 

Fais ce que je te dis connard !

 

 

 

Je mets une serviette autour de ma taille et vais vers la porte. Antoine est sur mon chemin, comme je passe près de lui, il m'arrache la serviette en hurlant de nouveau :

 

à poil j'ai dit

 

on sait pas qui c'est, Antoine

 

m'en fous, fallait y penser plus tôt, nullard. A poil !

 

 

 

J'ouvre la porte en me cachant du mieux que je peux derrière. Je vois entrer Yussef, un copain de travail d'Antoine que j'ai déjà vu.

 

salut la compagnie ! qu'est ce que tu fous à poil le môme ?

 

je suis puni par Antoine.

 

Il a raison et si j'en juge par ton cul bien rouge il a dû t'en flanquer une sérieuse le copain !

 

Sans répliquer, je retourne à la salle de bain poursuivre mon rasage. Ce n'est pas facile et je me fais de nombreuses petites coupures un peu partout. Peu à peu je parviens au but qui m'était fixé et m'occupe de mes aisselles ce qui est relativement plus facile même si je ne suis pas très adroit de la main gauche. J'entends Antoine et Youssef rigoler et les imagine en train de s'envoyer un pastis ou un kir bien tassé. Antoine m'appelle :

 

radine toi par ici abruti.

 

oui Antoine, j'arrive.

 

t'as tout intérêt mon con !

 

 

 

Dans le salon ils sont effectivement installés à manger des chips BBQ et à boire des kirs, j'avais bien vu la scène à l'avance.

 

approche toi Lucien, viens juste devant moi.

 

Oui Antoine, comme tu voudras

 

Tu vois, tu commences à obéir et la semaine ne fait que commencer. On va bien s'entendre tous les deux. Ça te fait quoi d'être tout nu devant nous ?

 

Ben... je sais pas trop, j'ai pas l'habitude.

 

Tu la prendras, face de rat. Qu'est ce que t'en dis toi, Youssef ?

 

J'en dis que t'as raison. S'il a joué au plus malin il faut qu'il trinque. D'ailleurs tchin tchin Antoine, à ta bonne santé !

 

—P enche toi Lucien que je vérifie si tu t'es bien rasé le cul.

 

Hein ? fallait que je me rase là aussi ? mais on voit rien, je vais me couper, ça peut être grave.

 

Penche toi en avant et écarte bien les jambes, Youssef et moi on va regarder si c'est propre ou pas.

 

 

 

A cette idée je sens la chaleur m'envahir le visage et je deviens rouge cramoisi je crois. Je me penche comme il m'a dit et deux mains brutales m'écartent les fesses pour mieux voir. Youssef dit :

 

—c 'est ni fait ni à faire si tu veux m'en croire. Tu veux que je m'en occupe Antoine, j'ai de l'expérience là-dedans !

 

—s i ça ne te dégoûte pas, avec plaisir. Lucien, file dare-dare chercher le matos, mon ami Youssef veut bien t'aider...

 

—m ais on peut pas faire ça Antoine, devant un étranger en plus.

 

—t a gueule merdeux. Youssef n'est pas un étranger, c'est un véritable ami et il le prouve en acceptant de s'occuper de ton cul minable.

 

Antoine en profite pour me balancer une paire de gifle à m'en retourner la tête. La douleur est cuisante et la vexation encore plus. Je vacille sur mes jambes mais je parviens à recouvrer mon contrôle et vais chercher, en larmes, les accessoires. Antoine et Youssef rigolent comme des baleines, je les entends de la salle de bain. A mon retour, Antoine m'envoie chercher la table à repasser dans le cellier. Je la remonte au salon et la déplie avec un rien d'étonnement...

 

maintenant monte dessus à plat ventre et laisse tes jambes pendre de chaque côté. On aura un meilleur accès à ton trou du cul, ce sera plus facile. Discute pas morveux, c'est pour ton bien. Pour ce que ça m'amuse !

 

tu crois Antoine ?

 

perds pas de temps, après tu te prendras une bonne trempe et j'ai hâte de te l'administrer pauvre buse !

 

une trempe mais pourquoi ? j'ai rien fait Antoine... et puis tu viens juste de me mettre une sévère fessée...

 

je m'en fous, et justement c'est pour mieux te faire comprendre les choses, un point c'est tout.

 

T'as raison, ajoute Youssef, une bonne trempe ça peut faire que du bien à cet âge. Moi je m'en prenais tous les jours et je n'en suis pas mort, bien au contraire. Ces jeunes, ils sont pénibles, il faudrait toujours tout leur expliquer, que de temps gaspillé alors que c'est si simple. Une dérouillée et on passe à autre chose, sans rancune !

 

Je monte sur la table et me mets dans la position demandée. Je vois mon reflet dans la vitre de la porte du salon et la honte m'envahit. Je me mets à pleurer sans pouvoir m'arrêter. Antoine se ressert d'apéro et remplit le verre de Youssef. Bientôt je sens qu'on m'écarte le trou, Youssef m'envoie une giclée de mousse et commence à racler avec le rasoir. Ça ne fait pas mal et je m'aperçois que je suis excité de nouveau, ma bite est prête à exploser, comprimée sur la dure planche à repasser. Youssef s'arrête un instant et prend une gorgée d'apéritif puis reprend son œuvre avec concentration. Il m'introduit un doigt dans l'anus et le fait aller et venir un court moment. C'en est trop et je décharge sur la table sans pouvoir me retenir.

 

j'y pense Antoine, reprends Youssef, j'ai un vieux martinet à la maison tu veux que j'aille le chercher, ça te fatiguera moins et c'est très efficace.

 

Excellent vieux, mais je ne veux pas te déranger pour si peu

 

Penses-tu, c'est un plaisir de te rendre service. Tiens, regarde son cul, je crois que c'est impec non ?

 

Antoine me passe son index dans la fente pour apprécier...et ne tarde pas à exprimer sa satisfaction.

 

bon boulot Youssef, tu sais t'y prendre. Quant à toi Lucien tu dois garder cet endroit aussi net qu'il l'est désormais. Tu m'as compris, crétin ?

 

euh... oui Antoine, j'ai compris.

 

Tu pourrais remercier notre ami si ça ne t'écorche pas la gorge.

 

Merci Youssef, c'est vraiment gentil d'avoir fait ça.

 

Pas de souci mon gars. Bon je vais chercher le martinet, sur cette planche à repasser, ce sera idéal pour bien le fouetter, pas vrai Antoine ?

 

T'as raison, ce sera impec. Bouge pas d'un pouce ducon en attendant ta rouste, moi je me rassois pour savourer mon petit kir. Tarde pas trop Youssef !

 

Compte sur moi, c'est comme si j'étais déjà revenu. Donne lui donc une bonne fessée en attendant, ce sera déjà ça de pris !

 

Bonne idée, tu ne manques pas de ressource bonhomme.

 

A peine Youssef parti, Antoine recommence à m'administrer des claques vigoureuses sur les fesses. Elle résonnent avec violence et me font réfléchir à mon sort. Maman partie, me voici à la merci de ces brutes avinées... Antoine me maintient solidement en place les cuisses d'une main tandis qu'il m'abat les coups de l'autre. Je le sens passer mais déjà je m'inquiète du martinet qui ne va plus tarder à arriver. Quelques minutes plus tard, Youssef est de retour, brandissant d'un air enjoué un martinet au manche de bois jaune. Il l'agite devant mon visage et je crois en sentir l'odeur, un mélange de cuir et de sueur rancie. J'imagine l'impact de ces lanières sur mon corps et ne peux m'empêcher de demander pitié, de promettre de bien travailler.

 

—f allait y penser plus tôt, maintenant c'est l'heure du châtiment que tu le veuilles ou non, pauvre tache !

 

—v eux tu que je te montre comment bien l'utiliser, propose Youssef ?

 

—v as-y vieux et pas de main morte je te prie !

 

—c ompte sur moi, ça va cingler sur ce beau petit cul qui n'attend que cela. Tiens le fermement, il va sûrement s'agiter, ils le font tous !

 

Antoine me maintient des deux mains. Youssef lance le martinet à plusieurs reprises, le faisant voltiger et siffler dans l'air. Tout mon corps se rétracte dans l'attente horrible... soudain c'est l'attaque, je reçois sur les cuisses une volée d'enfer. C'est comme des morsures subites mais la douleur n'est pas très vive encore. La deuxième me prend sur les fesses, en travers. Je sursaute de surprise, puis les cuisses en prennent de nouveau une bonne giclée, les fesses à présent mais de haut en bas. Le martinet, manié par les mains expertes de Youssef virevolte en tous sens et s'abat sans trêve ni répit où bon lui semble, fouaillant ma chair, me déchirant peut-être la peau, me laissant d'affreuses cicatrices. Il arrête enfin dans un bon gros rire amical.

 

à ton tour Antoine, regarde le, il chiale mais je sais qu'il peut s'en prendre encore le gamin !

 

oui, j'en suis sûr aussi et même qu'il en a faim, il va recevoir son compte. Pas vrai raclure ?

 

hmm, mais j'ai pas fait faim de martinet Antoine, s'il te plaît, arrête, arrête s'il te plaît... dis-je d'une voix faible et que j'entends geignarde.

 

ta gueule crevure, prépare toi pour ta fête !

 

je peux te refaire un kir Antoine, ça donne soif !

 

bonne idée et un grand !

 

 

 

La dégelée ne tarde pas, Antoine me fouette les mollets pour commencer et mes pieds, tentant d'échapper, s'agitent inutilement. Il remonte peu à peu, s'attarde sur le pli du genou qu'il cingle longuement. La peau tendre se boursoufle sans doute, rubéfiée, marquée à jamais. Je ne vois plus rien, les yeux embués de larmes, le nez morveux, la bouche tremblante. Il arrive sur les fesses qu'il fouette de bas en haut, certaines lanières atteignent mon anus fragile, m'arrachant des cris de douleur puis il prend de côté et compte vingt cinglées. Enfin c'est l'accalmie et quelques coups bien appliqués tombent encore de-ci de-là mais l'orage est terminé... ma respiration, entrecoupée de sanglots se rétablit peu à peu.

 

relève toi, les mains sur la tête, et place toi face à nous qu'on te surveille, mauvaise graine.

 

Oui Antoine, réussis-je à murmurer.

 

Remercie nous, face de crabe, de t'avoir offert une si bonne dérouillée.

 

Euh oui, merci à vous deux...

 

Merci de quoi et merci qui ?

 

Merci Youssef de m'avoir bien fouetté et merci Antoine de cette leçon.

 

Voilà qui est mieux. Et mets toi comme je t'ai dit sans bouger, petite merde.

 

Quelle chaleur chez toi, lance Youssef, ça ne te dérange pas si je mets à l'aise ?

 

Mais non, fais comme tu le sens d'ailleurs t'as raison, je vais le faire aussi, on sera mieux.

 

 

 

Sous mes yeux ébahis, Youssef retire un à un ses vêtements et est bientôt en slip. Il hésite un instant puis le retire également. Antoine n'est pas en reste et se déshabille également. Je ne peux m'empêcher d'examiner les sexes qui s'offrent à ma vue. Youssef, totalement rasé, a un sexe très brun, compact, circoncis. Son gland violet semble gonflé. Ses couilles joufflues sont magnifiques et forment un coussin sur lequel repose son membre épais. Antoine que je n'avais jamais vu nu arbore un joli pénis rose, long et légèrement arqué vers la gauche. Un long prépuce le prolonge. Ses couilles, contrairement à celles de Youssef, sont bien pendantes et séparées. Il présente une épaisse toison pubienne, poils blonds et châtains drus et fournis. Une fois réinstallés ils continuent à blaguer et à prendre verre sur verre sans plus s'intéresser à moi. Mon corps fouetté envoie des signaux de douleur mais cela reste supportable. Je m'aperçois que je me suis remis à bander...

 

Soudain je croise le regard dur d'Antoine.

 

dis donc Youssef, t'as vu l'avorton, le voilà qui bande comme un cerf avec sa quéquette de môme... crois tu qu'il soit pédé en plus ? je m'en vais lui flanquer une bonne correction, ça lui fera passer le goût de la bite, tu crois pas ?

 

mais non, c'est le martinet qui fait ça. Ça donne chaud et ça fait circuler le sang alors forcément ça fait bander. C'est dans l'ordre des choses. Des fois, Aîcha me fouette quand je manque d'énergie et crois moi, c'est très efficace.

 

Si tu le dis, je te crois alors. Lucien, tu peux te branler si tu veux mais va d'abord chercher un essuie-tout, ça évitera de salir, avec le mal que se donne ta mère ! remarque avec le peu qui va sortir de ta bistouquette, ça va pas être l'inondation, ahahah !

 

 

 

Ils se mettent à rire tous les deux enchantés de m'humilier une fois encore. Je vais à la cuisine prendre le rouleau d'essuie-tout et le pose près de moi, sur le sol. Ensuite, tout en les regardant l'un et l'autre, je commence à me branler lentement en découvrant au maximum mon gland, tirant au plus fort sur le prépuce. Je procède de la sorte longtemps pour mieux garder ma semence et leur montrer qu'il y en a dans les couilles du morpion !

 

Je les sens m'observer tout en s'envoyant des lampées d'apéro. Youssef se cache le sexe de la main mais je vois bien qu'il s'est mis à bander lui aussi. Antoine est resté à découvert et sa bite gonfle progressivement.

 

 

 

—C e sale petit con, je n'ai jamais pu le blairer. Outre qu'il ne fait rien à la maison, l'arrivée de son désastreux bulletin de fin d'année m'a rendu vraiment furieux, quelle débandade ! à croire qu'il n'en a pas foutu une ramée de l'année. Toujours pendu à son téléphone portable, traînant avec ses copains de la cité, s'habillant comme un loquedu avec son jean descendu jusqu'aux genoux. Je vais profiter de l'absence de sa mère pour le recadrer, ce n'est pas un gamin de seize ans qui va faire la loi chez moi. Il doit trop se branler. Depuis un moment je le surveille et ses yeux cernés comme son air rêveur me disent qu'il doit s'astiquer le manche comme un dingue. Je vais y mettre bon ordre. Non que je sois un père la pudeur mais il faut des limites à tout. Pour commencer je vais limiter son accès internet et l'empêcher d'aller reluquer sur les sites de cul et sur Facebook où il passe trop de temps. Ensuite il sera à poil devant moi toute la journée, ça devrait calmer ses ardeurs et le rendre plus modeste. Quand on aura de la visite, j'expliquerai la raison, ça devrait le ramener à de meilleurs sentiments. Sa mère n'a jamais voulu le corriger et je suis sûr qu'il profite du décès de son père pour se la couler douce. Une bonne raclée tous les matins, systématiquement, voire une ou deux dans la journée en rappel pédagogique, vont le faire réfléchir de la bonne manière. J'ai une semaine pour le mettre au pas et cette semaine, j'ai bien l'intention de l'utiliser à fond. Jusqu'à dix-huit ans mon père m'a flanqué des dérouillées et je crois bien que ça m'a aidé à devenir un homme et non une espèce de mauviette. Ce Lucien, le moment est venu de le dresser, on n'a que trop tardé à mon sens. Une bonne trempe, ça crée des liens qu'on le veuille ou non !

 

 

 

Ça finit par sortir, ma bite laisse échapper ma jute qui jaillit droit devant, quelques gouttes arrivent sur les pieds d'Antoine, le reste sur le sol de carrelage. Je me sens fier de ma production.

 

 

 

pas si mal pour un môme quand même, dit Youssef.

 

bof bof, je suis sûr que toi et moi on fait mieux, tu veux parier ?

 

pas la peine, vu la taille de tes couilles et des miennes, c'est évident qu'on doit produire plus sinon ce serait dommage !

 

Lucien, tête de fion, t'as mis du sperme sur mes pieds, approche toi et nettoie moi ça vite fait.

 

Je m'approche avec un essuie-tout à la main et me penche vers ses pieds...

 

—m ais non, pas avec un papier, t'as une langue non ?

 

—oui, pourquoi ?

 

—l èche moi ça rapidos ou tu vas t'en prendre une ! allez, vas-y que je te dis !

 

 

 

il me balance un sérieux coup de martinet sur le dos pour m'encourager et je ne me le fais pas dire deux fois. Je me mets à genoux et lèche les traces de semence encore chaude, puis je commence à me redresser quand je me prends un nouveau coup de martinet...

 

 

 

qui t'a dit d'arrêter, minus, continue et ensuite tu t'occuperas des pieds de Youssef, ça te fera comprendre ce que c'est qu'obéir, pauvre fiotte.

 

mais j'ai rien envoyé sur lui.

 

et alors, c'est toi qui commandes et mets y du cœur, c'est un honneur qu'on te fait !

 

 

 

Je me remets à pleurer abondamment tandis que les deux brutes sont hilares...je lèche les pieds tant que l'ordre ne m'est pas donné de cesser. Je me sens grotesque, le cul en l'air à lécher les pieds de ces deux hommes. Le goût des larmes comme de l'humiliation envahit ma bouche d'une espèce d'amertume salée...

 

 

 

Une semaine dont je vais me souvenir, pas de doute là-dessus...

 

Article paru dans Malespank ecrit par doomsky

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 10:38

Igor et les WC du lycée


Je m’appelle Julien. Je suis brun, 1m84, mince mais pas musclé.

Mes premières relations sexuelles eurent lieu lorsque j’étais au lycée en seconde. J’étais un élève plutôt réservé, et cette année là j’étais devenu le bouc-émissaire des mecs de ma classe. Je crois c’est parce que j’étais devenu gros et que je m’entendais bien avec les professeurs vu que j’étais assez bon élève, d’où les surnoms dont on m’affublait quotidiennement : le gros, le mange-boule, le lèche-cul, le bourrelet… Le moment le plus critique pour moi était lors des cours de sport : j’étais toujours choisi en dernier, ils ne m’incluaient jamais dans le jeu (sauf en tant que gardien de but au foot, histoire de me recevoir les ballons dans la gueule et d’avoir une victime au cas où mon équipe perdrait le match) et ils se moquaient toujours de moi en endurance.

174d7cfUn élève de ma classe en particulier semblait avoir une dent contre moi, Igor. Il prenait plaisir à m’humilier à chaque fois qu’il me voyait, en soulignant bien que je n’avais aucun ami, contrairement à lui qui était constamment entouré des élèves les plus cool de la classe, voire du lycée. Il n’était pas le plus beau, mais il avait un petit truc en plus qui faisait craquer les filles, ou les garçons comme moi qui se cherchaient encore. Il était brun, aussi grand que moi, avec un regard et un sourire qui me paraissait souvent pervers, voire sadique. J’aurais fait beaucoup pour qu’il change d’avis sur moi et qu’il me prenne sous sa protection.

Les mois passaient, tous identiques jusqu’au jour où le prof de latin était tombé malade. C’était un samedi matin, en février, et il faisait plutôt froid. Comme je n’avais pas d’autres cours, je me décidais de rentrer chez moi. Mais avant, je devais passer aux WC, à cause d’une envie pressante. Comme je croyais que j’allais être en retard en cours, j’étais parti de chez moi sans avoir pissé et là, je ne pouvais plus me retenir. Les cours ayants commencé, il n’y a personne dans la cour ; j’allais donc être tranquille aux WC le temps de faire la vidange. Je m’installe devant l’un des urinoirs pour pisser. Les WC étant dans la cour de récréation, il fait un froid de canard et j’ai bien du mal à prendre ma bite qui n’était déjà pas bien grande. Quand enfin j’y arrive et que je me mets à pisser, un mec se met devant l’urinoir à côté de moi. C’est Igor. Lui aussi n’avait pas eu cour de latin, mais je ne pensais pas le revoir de sitôt. Il ne pisse pas et se tourne vers moi en me disant :

— Il fait froid hein ?

— Heu… oui…

— J’ai envie de pisser là, tu y arrives toi ?

— Oui Igor…

— Montre !

À cet instant, il me prend la bite et dirige mon jet de pisse sur mon torse. Heureusement, j’avais presque fini, mais quelques jets de pisse étaient quand même arrivés sur sweat-shirt. J’étais interdit, sur le cul, incapable de réagir. C’était la première fois qu’on me touchait la queue et j’étais terrifié par le fait de m’être pissé dessus. Igor souriait et me tenait toujours la queue dans la main, en la serrant de plus en plus.

— Tu as une petite bite tu sais ? J’ai eu du mal à la prendre. Oh ! Regarde ce que tu as fait, tu m'as mis de la pisse sur la main. Il va falloir réparer ça.

Il m’a alors tiré les cheveux et foutu un coup derrière les jambes pour que je tombe à genoux devant lui. J’ai eu très mal et j’étais paniqué en pensant au drame que ce serait si quelqu’un nous surprenait, moi la bite à l’air libre à genoux devant lui. Tirant plus fort sur les cheveux, il m'a fait lécher sa main couverte de ma pisse. C’était à vomir et je me sentais sali comme jamais je l’avais été. Voyant que je ne me laissais quand même pas faire, il essuya sa main sur mon visage et me crachat à la gueule. Puis, il me tira jusqu’à l’une des cabines, la plus éloignée de la porte d’entrée. Il pointa alors un doigt inquisiteur en direction du mon sexe. Je me suis rendu compte avec effroi que je bandais.

— Je vois que ça t’excite le mange-boule. T’es PD ? En tout cas j’avais raison, tu as vraiment une toute petite bite. Bon maintenant tu vas faire ce que je vais te dire si tu ne veux pas que je raconte à tout le monde que tu t’es pissé dessus aujourd’hui. Tu vas te foutre à poil, à genoux les mains derrière la tête, et tu vas boire toute ma pisse sans en laisser tomber une goûte. Car je te préviens, si tu n’es pas coopératif, je te pisse dessus et tu devras rentrer chez toi recouvert de pisse.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui aie obéi. Je me suis déshabillé entièrement et j’ai pris la position demandée. J’avais peur de rentrer chez moi couvert de pisse et je pensais naïvement que peut-être il allait plus m’apprécier si je lui obéissais. Il a sorti sa bite ; elle était au repos mais déjà me semblait énorme en comparaison de mon petit asticot ; surtout elle était poilue alors que je n’avais que quelques poils qui se battaient en duel. Elle sentait mauvais et quand il a commencé à décalotter, j’ai vu des traces blanchâtres. Il a engouffré sa queue dans ma bouche et a commencé à pisser doucement pour me laisser le temps d’avaler. Le goût était fort, et je n’arrivais que difficilement à avaler. Le gros de sa pisse débordait pour atterrir sur mon menton et dégouliner sur tout mon corps. Une fois fini, il s’est cassé.

Je suis resté plusieurs minutes nu sur le carrelage froid de la cabine. Après m’être essuyé avec du papier toilette, je me suis rhabillé pour rentrer le plus vite chez moi et me prendre une douche en tentant de ne pas croiser mes parents. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je l’ai vu m’attendre à la sortie des WC.

— Ecoute Julien, je suis désolé de ce qui vient d’arriver. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Viens chez moi, il n’y a pas mes parents. Tu prendras une douche, je te filerais des vêtements et je te ferai à manger. Je te promets que rien de tel n’arrivera plus. Ok ?

Il avait l’air sincère. Avec le risque de croiser mes parents alors que je puais la pisse, et le fait que c’était peut-être enfin l’opportunité de devenir ami avec lui ; j’ai accepté.

 

Chez Igor


Je me suis senti mal pendant tout le trajet qui nous amenait chez lui. J’avais l’impression que tout le monde savais que j’étais recouvert de pisse. Igor ne faisait rien pour me changer les idées puisqu’il ne me parlait pas du tout. J’ai supposé qu’il s’en voulait et qu’il se taisait dans un silence coupable.

Heureusement, il habitait à seulement quelques rues. Une fois chez lui, il m’a expliqué qu’il vivait avec sa mère uniquement, ses parents étant divorcés. Il m’a immédiatement montré où était la salle de bain et donné une serviette et des vêtements propres qu’il a été cherché dans sa chambre. Je me suis alors enfermé dans la salle de bain pour me doucher. Je l’ai entendu mettre de la musique assez forte. Je me suis savonné au moins quatre fois pour me sentir moins sale. Mais quand je suis sorti de la douche, il était là. Je ne l’avais pas entendu ouvrir la porte que j’avais pourtant verrouillée. Avant que je puisse cacher ma nudité avec une serviette, je l’ai vu s’armer d’un appareil photo. Les flashs ont crépités et je me suis cassé la figure dans la douche. Il en profita pour me prendre sous toutes les coutures, ne s’inquiétant même pas si je m’étais fait mal en tombant. Puis il est reparti.

Je me suis relevé tant bien que mal, séché et habillé en vitesse. Puis je suis allé le voir dans sa chambre, les larmes aux yeux. Pas de trace de l’appareil photo. Il était assis sur son fauteuil de bureau, les jambes croisées, et me jetait un regard suffisant. Sans que je puisse en placer une il me dit :

— Je t’ais pris en photo. Je t’ai à poil complet. Si tu ne veux pas qu’elles arrivent dans les mains des élèves du lycée, il va falloir être très gentil avec moi. Tu as compris ?

Je suis resté coi pendant une bonne minute. Je ne savais plus quoi penser, ni faire. Il m’avait pissé dessus ce matin et maintenant photographié alors que j’étais complètement nu. Me coupant dans mes pensées chaotiques, il réitéra sa question. Je n’avais qu’à répondre un petit « Oui ».

— Ok, mais je ne suis pas ton pote sac à pisse. Tu me dis oui monsieur ou oui maître. Ok ?

— Oui monsieur.

Slave'Spunk'London16 — Bien. Fous toi à poil, tu ne crois pas que tu vas rester dans mes vêtements une minute de plus quand même ?

Pendant que je me déshabillais une nouvelle fois devant lui, il m’expliqua ce que je devais faire :

— Une fois à poil, tu vas te mettre par terre et faire le beau comme un chien avec la langue pendante.

J’étais donc devant Igor, moi à poil et lui habillé, en plein milieu de sa chambre à faire le beau. Il m’a alors tiré les cheveux pour me faire lécher les pieds. Je suis passé entre ses orteils et heureusement ils n’étaient pas sales ; comme c’était le matin, il avait dû se prendre une douche avant de partir en cours. Puis j’ai dû me branler devant lui assis, les jambes écartées.

— Tu as vraiment l’air d’une chienne en chaleur. Regarde-moi dans les yeux pendant que tu te branles connasse. Dis que tu es une salope.

— Je suis une salope.

— PLUS FORT CONNASSE.

— JE SUIS UNE SALOPE.

Pendant que je me branlais en le regardant, il titillait mes couilles avec ses pieds. J’ai eu du mal à bander car la situation était trop impressionnante et invraisemblable pour moi. Il s’est bien passé vingt minutes pour que j’arrive à bander, et dix autres pour éjaculer sur mon torse. J’avais du sperme partout sur le ventre et j’étais exténué. Ma jouissance avait été très forte et j’avais même poussé quelques petits couinements qui l’ont fait sourire.

— Bien maintenant, comme tu as pris du plaisir grâce à moi, tu vas m’en donner. Prends la dans la bouche, fais la grossir et suce.

Sa queue n’a pas tardé à grossir dans ma bouche. Elle prenait de plus en plus de place et parfois j’avais des envies de vomir. Mais à chaque fois que j’essayais de la retirer, il me l’enfonçait. Je me suis donc appliqué à le sucer comme il voulait puisque je voyais bien que je ne pouvais rien faire d’autre. Il avait toujours des trucs blanc sur son gland qui sentaient mauvais, j’ai dû les lécher et j’en avais partout dans la bouche. Je n’arrivais pas a prendre sa queue entièrement dans la bouche quand elle a été bandée à fond. Après quelques minutes, il a joui dans ma bouche et m’a demandé de tout avaler après lui avoir montré que j’avais tout pris en bouche en faisant le beau la gueule ouverte. Son sperme était très salé, j’ai failli vomir mais je me suis retenu : qui sait ce qu’il m’aurait fait si j’avais eu le malheur de le faire ?

Après quelques secondes, le temps de reprendre mon souffle. Il m’a jeté mes vêtements souillés de pisse à la gueule pour que je les mette. Puis il m’a foutu à la porte. Je suis rentré chez moi comme ça et heureusement, je n’ai pas croisé ma mère. Je me suis une nouvelle fois douché, j’ai changé de vêtements et mis ceux du matin au lave-linge. Une fois en partie revenu de mes émotions, je me suis rendu compte que je n’ai pas arrêté de bander depuis que je suis parti de chez Igor. J’ai dû me soulager et toutes mes pensées allaient sur ce qui s’était passé avec Igor.

 

Texte paru sur gaieros, écrit par Stmnog

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés