Histoires

Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 08:41

Je sors le dernier de la classe. Quand j'arrive à la porte de la cour, quelques grands des classes terminales m'empêchent de sortir. Ils m'entraînent dans l'escalier qui conduit dans les caves et me font entrer dans la première pièce.

— À poil.

Comme ils ont l'air menaçants je dois m'exécuter.

— Plus vite, on n'a pas toute la journée.

Je continue. J'ai envie de pleurer mais je me retiens, je ne veux pas paraître une mauviette.

— Si tu fais du bruit ça va être ta fête.

Ils rigolent de moi au fur et à mesure de mon déshabillage. Mon torse est frêle, mes jambes trop fines et sans muscles, j'ai un cul de fille, mon sexe est microscopique, je n'ai même pas de poils, etc. Quand je suis nu, ils me font agenouiller. Ils font cercle autour de moi. Celui qui est en face, me dit de lui sortir le sexe. Comme j'hésite, je reçois une légère baffe.

— Pour avertissement...

Je lui ouvre la braguette, introduit la main, écarte le slip et sors son engin déjà en érection.

— Ça c'est un instrument, dit-il.

Je dois passer au suivant et faire ainsi le tour du cercle toujours à genoux et les dénuder tous. Ceux dont les bites sont déjà sorties se branlent lentement en me regardant extraire les engins des autres. Certains, non encore en pleine érection sont faciles à sortir, d'autres déjà très durs coincent. Il y en a de toutes sortes, des déjà décalottées, d'autres circoncise, certains dont le prépuce recouvre encore le gland. Tous restent pratiquement dans les mêmes proportions; un seul est très court mais très épais; un est très difficile à sortir car particulièrement long et mince, mais dur comme l'acier. Quand toutes les verges sont à l'air, ils se masturbent plus rapidement.

Les tiges me paraissent énormes comparées à la mienne ou à celles de mes copains. Les bouts rougeoyants apparaissent à chaque mouvement de poignet. Tout cela me fait quand même un certain effet. Mon sexe prend un peu d'ampleur.

— Hé vous avez vu? Il bande!

— Cela te plaît des belles bites, tiens prend la mienne et gâte-la.

Comme je ne réagis pas assez rapidement, il me prend par les cheveux et me tire vers lui. Je le prends en main et le branle. À la suite l'un de l'autre, ils viennent se placer devant moi et je dois les caresser pendant un certain temps avant que le suivant prenne la place. Des groupes se forment et ils se donnent du plaisir l'un à l'autre, mais quand c'est leur tour, ils ne manquent pas de profiter de mes services. L'un d'eux dit:

— À moi, vite...

Il vient rapidement en face de moi. Je l'ai à peine en main qu'il éjacule. Il dirige les jets sur ma poitrine. Chaque fois qu'il y en a un qui est près à jouir, il fait la même chose. Je dois parfois en finir deux à la fois, un avec chaque main. Quand ils sont satisfaits, ils sortent.

Le dernier parti, je reste un petit temps comme abasourdi. Je suis couvert de sperme sur tout le corps, l'un ou l'autre s'étant déplacé pendant l'éjaculation et ayant terminé en laçant les derniers jets sur mon dos. J'ai les larmes qui me viennent aux yeux, plus de rage que pour aucune autre raison. Je râle de m'être exécuté si facilement et surtout de ne pas avoir su en retirer du plaisir. Mon érection a complètement disparu.

 

Histoire paru sur gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Vendredi 27 juillet 5 27 /07 /Juil 08:19

Je vois régulièrement Julien et c'est toujours l'occasion de merveilleuses galipettes! Ce jeune garçon de dix-sept ans n'a vraiment pas froid aux yeux et sa grande beauté ajoute au désir qu'il inspire! Parfois, nous évoquons le passé; d'ailleurs celui de Julien est déjà fort chargé... depuis qu'il aguichait les hommes en se promenant la braguette ouverte! J'ai voulu savoir comment il a fait connaissance avec notre ami commun Gégé.

— C'était l'année dernière et ma rencontre avec Gégé fut le fait du hasard.

— Raconte!

— J'étais apprenti et mes parents m'avaient loué un studio pour être près de mon travail; ce fut formidable car je vivais en toute liberté... et j'ai su en profiter!

— Petit cochon! Tu pouvais draguer les mecs comme tu le voulais et tu n'avais pas de compte à rendre!

— Ce qui m'est arrivé un soir de juillet est plutôt terrible.

— Vas-y! Accouche!

— Je faisais régulièrement, le soir, un footing pour me détendre d'une dure journée de boulot. J'aimais toujours emprunter le même parcours: un chemin qui traversait le bois près du lac. J'en avais pour une bonne demie-heure. Il est vrai que je souhaitais y faire des rencontres... mais pas tout à fait comme celle que j'ai faite ce soir-là!

— Tu as vu le diable?

— Pire! Je m'étais arrêté pour pisser lorsqu'une main s'est posée sur ma bouche, une autre m'a empoigné la bite et 01.jpgd'autres mains m'ont immobilisé: "Tu fermes ta jolie petite gueule ou je t'arrache le zob!" J'ai eu peur, d'autant que je n'avais ni vu ni entendu quelqu'un. "Avance dans le bois et ne résiste pas!" me dit une voix rude et déterminée. Deux types cagoulés m'ont poussé loin dans le bois en me tenant fermement par le short jusqu'à un gros tronc d'arbre allongé. Je me suis débattu comme un fou... rien à faire. Ils me tenaient trop fermement et me giflaient. "Tu peux gueuler maintenant! Personne ne t'entendra. Tu nous appartiens et tu vas payer cher ta beauté!"

— Ça sent le viol, ça!

— Je n'en menais pas large, tu sais! Les types m'ont arraché le short, le tee shirt et le slip. "Regarde comme il est joli! Je ne t'ai pas menti; c'est une sacrée affaire!" "Quel beau cul!" Ils m'ont forcé à m'allonger à plat-ventre en travers du tronc, jambes écartées, cul bien offert. Ils m'ont attaché les mains et les pieds; je ne pouvais pas me soustraire à leur lubricité. Leurs braguettes étaient ouvertes et deux grosses queues bien dures me passaient à tour de rôle sous le nez. "Lèche, petit salaud! Suce! Attention, je ne veux pas sentir tes dents!" Je crois que j'ai dû me crisper sur une bite qui allait trop loin dans ma gorge et j'ai reçu un grand coup de pied dans le cul. "Je t'ai prévenu! Laisse-toi faire sinon tu vas avoir très mal!" Ils m'ont donné de grosses claques sur les fesses; ils m'ont craché sur l'anus. "Voilà, le terrain est prêt! Fous-lui déjà tes doigts." J'ai senti des doigts me fouiller le rectum; ils ont aussi tripoté mes couilles qui étaient comprimées sous mes cuisses.

— La totale!

— J'ai senti un gland entrer dans mon trou bien malaxé; le corps de la bite m'a ensuite défoncé d'un seul coup; j'ai crié très fort tant ça m'a fait mal. "Ta gueule!" m'a dit mon enculeur pendant que je pompais l'autre avec l'ardeur exigée; il me tirait les cheveux pour bien me positionner la bouche sur son membre. L'enculeur a joui violemment et l'autre a vite pris la place dans mon trou bien chaud. L'introduction m'a fait souffrir mais j'ai vite compris qu'un doigt était enfoncé en même temps que sa bite. C'était une façon de se chatouiller dans mon cul! J'ai encore pris une autre dose de foutre et les deux violeurs, avant de remballer leurs instruments de torture, ont pissé en visant mon trou encore béant. Je sens encore ce liquide chaud qui rentre dans mon anus et qui dégouline dans la raie de mon cul, le long de mes cuisses et jusque dans mes chaussettes!

— Ils t'ont relâché?

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse! J'ai pensé que je pourrais peut-être les reconnaître car ils étaient au courant de mes habitudes sportives. J'ai décidé de ne rien dire, d'autant que j'ai bandé pendant le viol!

— Comment tu t'en es sorti?

— En me tortillant, j'ai réussi à défaire les liens de mes mains puis ceux des pieds. Je me suis essuyé avec mon tee shirt en lambeaux. Mon short était déchiré mais j'ai pu l'enfiler et le maintenir avec ce qui restait de mon slip: son élastique. J'avais piètre allure quand j'ai rejoint le chemin! Je me suis assis dans l'herbe et je me suis mis à pleurer.

— Pauvre chéri! Tu es rentré chez toi dans cet état?

— Non! Un homme assez âgé faisait un footing. En me voyant, il s'est arrêté et m'a demandé s'il pouvait faire quelque chose pour moi. J'ai tout de suite pensé qu'il ne se serait pas intéressé à moi si j'avais été moche. Je lui ai avoué que j'avais été violé par deux salauds masqués. "Voilà le risque d'être aussi beau!" m'a-t-il dit en connaisseur. Pourtant je n'étais guère présentable mais comme j'étais à moitié nu, je ne pouvais pas laisser indifférent un amateur de jeunes garçons. Je n'avais rien qui puisse cacher mes couilles sous mon short et j'étais torse nu.

— Il t'a raccompagné chez toi?

— Non! Sa voiture était à deux pas. Il s'est inquiété pour mes parents. Quand je lui ai dit que je vivais seul, une lueur s'est allumée dans ses yeux et il m'a proposé de m'emmener chez lui et de "réparer les dégâts". J'ai accepté sans hésiter tant j'avais besoin de quelqu'un qui prenne soin de moi et qui me fasse oublier les assauts que j'avais subis. Un petit lavement sous la douche, un bon bain bien chaud m'ont permis de reprendre mes esprits tandis que mon hôte ne cessait de m'admirer. Il m'a ensuite enveloppé dans une grande serviette de bain, pris dans ses bras robustes et allongé sur un grand lit. "Il faut que je te soigne." En effet, mon ventre et ma bite étaient écorchés par les frottements contre l'écorce, mes fesses et mes reins étaient rouges et griffés. Mon sauveur a donc écarté la serviette et a ainsi découvert mon corps. Côté pile et côté face: tout a été passé en revue avec un coton imbibé d'un produit désinfectant; j'ai apprécié ces caresses et il n'a eu aucun mal à s'en apercevoir en voyant ma queue prendre des dimensions... honorables!

— Et alors?

— Alors il m'a donné un baiser discret sur le coin de la bouche puis, voyant que je n'opposais aucune résistance, il a approfondi son étreinte buccale. Sa langue a ensuite parcouru mon ventre, mon bas-ventre, mes couilles jusqu'à la naissance de mon cul. Elle s'est attardée sur ma bite de plus en plus raide. Il m'a sucé avec gourmandise; j'ai tout lâché dans sa bouche et il a avalé ma liqueur. J'étais bien dans ses bras! Je me suis endormi, je crois, pendant qu'il me léchait l'intérieur des cuisses.

— Alors, ce sauveur providentiel, c'était Gérard?

— Eh oui! J'ai dormi longtemps; heureusement je ne travaillais pas le lendemain! Gérard s'est chargé de me trouver un slip, un short et un maillot qu'il a tenu à me mettre lui-même. Il m'a gardé toute la journée. Je lui ai raconté ma vie, il a manifesté un grand intérêt à mon écoute tout en me caressant et m'a promis de me revoir... pour faire l'amour.

— Tu ne l'as pas vu à poil?

— Non, ce n'est que plus tard qu'il a bien voulu me laisser explorer son intimité. Il est d'ailleurs vachement bien foutu, le salaud... Pour un mec qui frise la soixantaine, il est performant!

— Moi aussi, je n'ai vu son sexe qu'à la troisième fois! Mais qu'est-ce qu'il m'a mis!

— C'est un excellent enculeur et il a beaucoup d'imagination!

— Sais-tu qu'il a fait un gâteau avec ma pisse, mon sperme et ma salive? En ajoutant du lait en poudre et du sucre, il a réussi un bel exploit culinaire!

— Il m'en a fait un aussi! En plus, je t'ai connu chez lui grâce aux magnifiques photos qu'il a faites de toi! C'est là que j'ai eu envie de te rencontrer! Je sentais que tu serais mon meilleur ami sexuel!

— C'est le cas! Grâce à toi, je vis des moments exceptionnels...

— Un viol a été le déclencheur d'un grand bonheur!

— Heureusement que tes agresseurs ne t'ont pas plombé!

— J'ai eu beaucoup de chance!

 

Texte paru dans gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Jeudi 26 juillet 4 26 /07 /Juil 09:18

La voix était virile, les mots étaient justes et précis. Il parlait doucement. J’essayais d’imaginer son corps comme il s’était décrit à peine quelques minutes auparavant sur le Minitel: quarante-deux ans, grand et brun, velu, avec un sexe dur et gonflé dépassant de son string en cuir.

J’étais allongé nu sur mon lit. Le monde gay me faisait peur, et à dix-huit ans j’étais toujours vierge. J’ai toujours fantasmé sur ma soumission face à des hommes bien membrés, d’aussi loin que je me souvienne.

Quand je m’étais connecté, j’avais choisi un pseudo qui précisait que je voulais baiser par téléphone. Très vite je suis entré en contact avec lui. C’était le bon! Ma main trembla en prenant l’écouteur. J’ai eu très chaud et ma bouche est devenue sèche. Je me suis mis à transpirer, mais ma queue bien dure entre mes doigts trahissait mon désir. Il s’est montré très cru avec moi.

— Alors, on a le feu au cul?

J’avais beau être seul chez moi, je parlais à voix basse comme si j’avais peur d’être surpris.

— Plus fort, j’aime pas me répéter!

Il avait un accent étranger. J’ai dû me décrire physiquement, sans rien omettre, surtout les couilles, la queue, le trou du cul sans poils. Il voulait que je me branle en même temps, en prenant des “poses”. J’ai dû me mettre à quatre pattes par terre, ouvrir mes fesses avec mes mains, me triturer l’anus. Je fis tout ce qu’il demandait, c’était le jeu, non?

— Je ne suis qu'un trou à bites... un sac à foutre... une pipeuse qui aime le sperme!

Pour m’humilier encore plus, il continua à me parler au féminin:

— Dis-moi que tu n’es qu’une gonzesse, que t’as rien dans tes slips pisseux!

J’étais autant excité par ce qu’il me disait que par les intonations de sa voix. Je me suis travaillé les couilles, j’ai pincé mes mamelons, je me suis claqué le postérieur en tenant tout près le téléphone. Il restait calme, mais j’étais certain que la situation l’excitait autant que moi.

— Plus fort, sale chienne, je veux que tu aies mal, que tu souffres! Continue! Plus fort!

Déjà je me retenais pour ne pas jouir entre mes doigts. Il a su faire durer le plaisir jusqu'au bout. Je n’avais pas le droit de lui poser des questions, ni de savoir ce qu'il était un train de faire, mais je l’imaginais très bien avec sa grosse tige dans la main. J’ai planté un doigt dans mon trou du cul et je l’ai fait aller et venir. Je l’ai sorti pour le lécher, puis je l’ai replanté entre mes fesses en y mettant un second. Je suivais toutes ses directives, toujours en répondant à ses propres questions.

— Il est comment, ton trou du cul, il s’ouvre bien?

Il a exigé que j’aille chercher un miroir pour le placer entre mes cuisses. J'ai encore léché mes doigts et je les ai regardés disparaître dans mon anus. Je n’en pouvais plus. Je me suis mis à le supplier comme si c’était sa bite qui s’enfonçait on moi.

— Oui, encule-moi... défonce-moi... fais-moi mal!

— Ferme-la ou je raccroche! C’est moi qui commande, ici! Toi, t’es qu’une chienne qui obéit. Compris?

Sur mes draps, je me tortillais, l'orgasme montait, j’avais un mal fou à ne pas jouir. Il était midi moins le quart, et ma mère rentrait toujours à midi. L'angoisse d'être surpris à poil, la queue raide en train de regarder dans le petit miroir mes doigts m'enculer m'a excité encore plus. J’aurais pu raccrocher, c’est moi qui l’avais appelé et pas le contraire. Mais dans l’état où il m’avait mis, je n’avais plus qu’une idée fixe: aller jusqu’au bout de l’expérience. J’étais plus qu’un objet, un jouet sexuel. Sa voix dure ne me laissa pas de répit.

— Sors tes doigts et plante-toi un gode dans le cul!

— Un gode, mais je n’en ai pas...

Il s’est mis en colère.

— Une pétasse comme toi! Pas de gode à se foutre dans le cul? Tu te fous de ma gueule? Va chercher fissa de quoi te défoncer! Démerde-toi!

J’ai foncé dans la cuisine. J’ai ouvert le frigo et j’ai trouvé un concombre dans le bac à légumes. Vite revenu, il a fallu que je me l’enfonce pratiquement à sec. J’avais beau pousser, ça avait du mal à rentrer. En plus, ça me faisait vachement mal.

— Alors? Ça rentre? Dépêche-toi, sale pute! Tu vas bien t’élargir le trou jusqu’à ce que ton concombre te lime à l’aise!

Mon cul a fini par se dilater et le concombre est entré jusqu’à la moitié de sa longueur. C’était la première fois que je me mettais un truc de cette taille. C’était impressionnant à voir dans le miroir.

— Ça y est! Il est entré! C’est bon!

— Baise-toi, encule-toi! Je veux t’entendre hurler comme une chienne en chaleur...

Alors, il m’a écouté gémir et râler sans m’interrompre. Après quelques minutes, ça a commencé à me chauffer sérieusement. J’ai continué encore plus fort, mon excitation était à son maximum. Ça glissait de mieux en mieux, et j’avais les yeux fixés sur le miroir entre mes jambes. Je me suis mis à me goder très vite en me tordant comme un malade. Je n'ai rien pu contrôler: mon sperme a giclé sur mon ventre et sur mon torse. J’ai déchargé sans m’être touché, sans me branler, comme si je jouissais pour la première fois. Je me suis retrouvé avec des crampes, la gorge sèche, crevé.

— Alors, chienne? Qu'est-ce que tu attends pour sortir ton légume et le lécher avec ta langue?

Il était midi moins cinq. Ma mère n’allait pas tarder. J’ai retiré le concombre, non sans difficultés. Ça m’a fait mal. D’un coup il est tombé, et ma rondelle s’est rétractée. J’ai fini par le lécher comme il l’avait demandé, l’œil fixé sur le réveil.

— Bon, OK ma pute! Si tu veux me rappeler, t’as intérêt à avoir un gode avec toi, un vibrant. Si j'entends pas le moteur, je raccroche et t’iras te faire enculer ailleurs!

J’avais à peine reposé l’écouteur du sans-fil qu’une clé tournait dans la serrure de la porte d’entrée. Ma mère! J’ai vite planqué le concombre et le miroir sous le lit, et j’ai filé dans la salle de bains. Je me suis branlé encore une fois sous la douche. J’ai entendu ma mère râler derrière la porte:

— Midi, et tu sors à peine du lit! Quelle honte!

Honteux, je l’ai été en sortant de la salle de bains. Pourtant je savais que je rappellerais le mec du Minitel. Deux jours après, j’ai osé aller dans un sex-shop. J’ai choisi un gode en latex vibrant. Le vendeur a ricané en me voyant rouge comme un gland de bite.

Depuis, j’ai déjà rappelé plusieurs fois...

 

texte paru sous gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : GAY en Vidéos .Photos. Dessins
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 07:34

Je connaissais David depuis la sixième. Je l'avais remarqué lorsqu'il était sorti avec une fille que je connaissais et j'ai pu lui parler et l'approcher un peu plus. Il était assez discret, sensible (on m'avait dit que des meufs l'avaient déjà fait pleurer en cassant avec lui) et surtout BEAU COMME UN DIEU! Il était légèrement mate, assez fin, des jambes parfaites, assez poilues, des sourires à vous faire tomber par terre, un charme extraordinaire, gentil, super beau visage mignon. Il était parfait ce mec et ça m'avait agacé quand je l'ai connu: il était bon en classe, hyper mignon, faisait du foot et de la musique (piano et batterie), parfait quoi.

Comme on n'avait pas pris les même langues vivantes, on ne pouvait pas être dans la même classe, sauf en Latin (c'est pour ça que j'ai continué). Je rentrais avec lui le jeudi et souvent le vendredi. On discutait et rentré chez moi, je fantasmais sur lui dans mon lit. J'aurais donné n'importe quoi pour lui rouler une bonne pelle, il avait une bouche tellement belle...

Un jour, exceptionnellement, on n'avait pas cours et on est donc sorti. J'ai discuté avec lui puis il m'a dit qu'il allait chez son copain. Celui-ci me dit que je pouvais venir aussi, donc je le suis. David me demande si il peut essayer mon vélo, je lui passe il fait un tour et vient se ranger à côté de nous pour discuter. Arrivé chez le copain, on devait être 6 et David était à quelques mètres avec le vélo à bout de bras. Il dit: "À trois je lâche!" Un copain commence à le chatouiller: il lâche. Je vais sur lui et commence à lui prendre les bras et à le mettre par terre pour m'amuser. David ne se défend jamais, il se laisse faire. Il est donc par terre, à mes pieds, putain ça me fait bander de le voir étendu à mes pieds comme ça, en plus il a un short et j'avais une vue plongeante sur son froc, je vois ses jambes presque jusqu'à son cul: SUBLIME!

Je le relève et on rentre. On va dans la chambre de mon copain pour jouer à la PlayStation. Il prend une manette et joue avec un autre copain, les autres vont faire du spiritisme... Je me mets à cheval sur David et commence à faire style que c'est mon cheval mais rien que le contact avec lui m'excite. Ensuite, ils reviennent tous et s'entassent tous sur le lit pour les voir jouer. Moi j'étais déjà sur le lit, je me suis mis dans un coin. David a laissé sa manette à quelqu'un d'autre qui voulait jouer et est venu s'installer.

Mais le lit est petit et on s'est vite retrouvé "entassés" et David dessous bien sûr. Il a commencé à se remuer et un copain l'a tenu pour qu'il ne bouge pas, pour se marrer. Il rigolait et disait: "Lâchez-moi!" mais on ne l'a pas lâché. Il y avait des bras et des jambes dans tous les sens, il ne pouvait plus bouger que ses jambes, vers lesquelles je me dirigeais.

Je commençais à lui tirer les poils des jambes et à lui enlever ses chaussettes (ça fait longtemps que je veux voir ses pieds). David me disait d'arrêter sur un ton de rigolade. Il est maintenant sur le ventre, sous un tas de monde qui ne m'ont pas vu parce qu'ils regardent les autres jouer à la Play. Je m'avance vers la tête de David et lui présente les chaussettes. "Tu vas bouffer maintenant," lui dis-je. Les autres rient et m'aident. David aussi riait, c'était juste pour déconner ils pensaient, pour moi c'était beaucoup plus sérieux. On a réussi à lui mettre les chaussettes dans la bouche et à lui faire un bâillon avec une écharpe. Il était trop craquant comme ça, à gémir. Les autres se marraient, on avait l'habitude de déconner alors ça n'a surpris personne.

Je me suis éclipsé et suis allé chercher dans mon sac une petite corde que j'ai toujours sur moi. Je suis revenu dans la chambre, j'ai glissé mes mains sous David de façon à ce que personne ne s'en rende compte. Il commença à bouger, je lui immobilisai les mains et les attachai avec la ficelle. Il avait toujours son bâillon parce qu'il avait les mains derrière les dos et il était sous plein de copains. Un gars se retourne pour voir pourquoi David gigote, alors je commence à glisser une main sous le t-shirt de mon beau bâillonné et le chatouille pour expliquer son gigotement. L'autre avait trouvé son explication, il se retourna.

Je pris David, l'emmenai sans que personne ne voit qu'il était attaché. On va dans la salle de bain, je lui passe les mains devant et les lui mets au-dessus de la tête, attachées à une barre au dessus. Il a une chemise, il est trop beau les bras en l'air comme ça! Il doit se demander qu'est-ce que je fais, il essaye désespérément de parler sous son bâillon, ce qui rend le tout en plus bandant! Trop tard pour reculer, je m'avance vers lui, il me regarde d'un air troublé, je lui déboutonne doucement la chemise en caressant son torse bombé sous l'effet de sa respiration intensive. Je la mets par terre, il est très surpris et gigote fortement. C’est si bon de le sentir soumis et impuissant, ça le rend beau, vous ne pouvez pas imaginer! Ses beaux yeux marron foncé évitent de croiser mon regard, ses chaussettes l'empêchent de parler.

Je me mets face à lui, lui caresse son torse imberbe et ses joues, puis je parcours son dos et descends doucement. Je le sens protester mais il ne peut rien faire. J'arrive à la naissance des ses fesses sublimes. Je glisse ma main doucement et lui carres son cul à rebrousse poil. Il a la peau douce, très douce. Il a fermé les yeux, résigné, fronce les sourcils et se laisse violer.

Je lui baisse doucement le pantalon, le caleçon et je vois sortir une magnifique bite qui bande! "Ça te plaît hein, que je te touche!" Je lui enlève son bâillon et lui dis: "Si tu cries, je te le remets." Je lui enlève les chaussettes et il dit: "Détache-moi! S'il te plaît, arrête, je t'en suppl..." Il n'eut pas le temps de finir, je venais de lui lécher le bout de sa verge et il s'était arrêté net. Je commence à lui lécher entièrement la bite. Il eut un petit rechignement de plaisir, je continuais. Je lui enfournais sa bite dans ma bouche. Elle faisait bien 14cm, pour un gars de 14 ans, c'est pas mal! Je tournai ma langue tout autour du gland de mon prisonnier qui poussait des gémissements de plaisir de plus en plus fort. Sa bite était bonne, elle avait une odeur de mâle, j'avais envie de la sucer toute ma vie. Il faisait des mouvements de bassin de plus en plus fort et il me dit: "Je vais jouir!" J'arrêtai illico la sucion et le regardai droit dans les yeux. Il me dit: "Je t'en supplie, continue, c'est trop bon, je suis resté en plan juste au moment où j'allais jouir, c'est sadique!" C'est bien ce que je voulais!

09.jpg

Je recommençais à jouer avec son gland et cela lui procurait beaucoup de plaisir. Il avait la bouche ouverte, respirait très vite, et râlait de plaisir. Je lui carrais les fesses puis allais vers son petit trou du cul et introduisis un doigt, puis deux. Il gueula de plaisir et je sentis sa bite gonfler. J'enlevais ma bouche et mis une chaussette sur sa bite et il jouit en poussant un long râle. Je lui roulais une pelle sublime... Je sentais nos langues se mêler ainsi que notre salive, il avait une bouche exquise et je sentis sa salive abonder quand je lui enfonçai un troisième doigt. Ensuite, je passai derrière lui et commençai à positionner ma bite pour l'enculer. Mais il cria:

— Non, pas ça, ça va me faire trop mal non, je t'en supplie!

— Je crois que t'es pas en bonne posture pour discuter mon vieux...

Et je lui enfournais la chaussette pleine de sperme dans la bouche et lui remis l'écharpe en guise de bâillon. Il n'a pas aimé ça et s'est secoué en gesticulant. Je lui ai fait: "Shuuuuut..." dans l'oreille en le caressant le long des bras et les cheveux. Je me plaçai derrière lui et positionnai ma bite. Je l'enfonçai doucement mais fermement. Son cul était bien serré, ce qui augmentait le plaisir pour moi et la douleur pour lui. Il hurla dans son bâillon et tenta de se détacher mais rien n'y fit, il était mon esclave, mon jouet sexuel et il n'avait d'autre solution que de se faire violer. Ses liens le retenaient fermement, il était totalement soumis. J'arrivai à la fin de ma bite, mes couilles et mes poils touchaient son cul qui serrait très fort autour de ma bite, j'étais encastré dans son corps et j'adorais ça! Je commençai un va-et-vient de plus en plus rapide et il avait l'air de prendre goût à ça.

L'après-midi fut long et ce fut le meilleur de ma vie! Je ne sais pas si David peut en dire autant, mais qui sait...

 

Texte paru dans Gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 07:10

À 40 ans, je dresse depuis quelques temps maintenant, Jordan, un blondinet peu poilu de 18 ans. Nous nous sommes rencontrés un soir au bistrot du village. Nous étions les deux derniers clients et j'ai engagé la discussion en lui payant un verre. Je savais qu'il ne travaillait pas et au bout d'un moment, je lui ai proposé d'effectuer contre rémunération de petits travaux pour moi. Il accepta et ses premières tâches furent :

  • laver ma voiture
  • tondre mon gazon
  • repeindre mes volets, etc...

Après quelques temps, Jordan me fit comprendre qu'il aimerait bien gagner plus de sous. Je lui proposai de devenir mon escort boy. Il réfléchit un instant et malgré qu'il sortait avec Amandine, 17 ans, il accepta en se jurant de séparer ses deux liaisons. Et c'est ainsi qu'il allait devenir mon esclave.

Le premier soir, je le fis mettre à poil. Il avait un corps musclé avec une belle bite bien proportionnée et une paire de couilles énormes. Je pris sa queue entre mes mains et en lui écrasant ses couilles, je le masturbais énergiquement; il éjacula assez rapidement. Depuis ce jour, il m'accompagne quand je le lui ordonne, il doit être à mon service quand j'en éprouve le besoin. Parallèlement, il vit toujours son histoire d'amour avec sa copine.

Jusqu'au jour où je fus avec Jordan et sa copine invité pour l'anniversaire de la mère de mon petit giton. Il y avait donc là sa mère, son beau-père, sa copine, sa soeur, son beau-frère, la belle-mère de sa soeur et une voisine. La soirée était déjà bien avancée quand je décidai de passer à l'action.

— Jordan, viens ici.

Il s'approche de moi en m'implorant du regard.

— Il est temps, je crois, que tu expliques à tout le monde le sens de notre relation...

Il était rouge de honte et ne savait plus où regarder.

— Allez, vas-y, explique leur !

Il commença à balbutier et non sans mal, expliqua sa situation.

Le silence régna dans la salle, sa copine avait les yeux en pleurs. Pour leur prouver qu'il disait vrai, je lui ordonnai de se mettre en slip, il s'exécuta sans broncher et se retrouva donc en sous-vêtement devant la moitié de sa famille et de sa copine, avec laquelle il avait maintes fois fait l'amour. Je l'attirais vers moi, baissai brutalement son slip et lui claquai ses fesses; il bandait comme un taureau. Je le fis s'installer en travers de mes genoux et lui administrais devant tout le monde une fessée magistrale en lui demandant de compter chaque tape à haute voix. En se relevant, il était toujours rouge de honte mais n'en bandait pas moins. Sa copine ne savait plus que faire.

Ensuite je fis monter ma petite salope sur la table à quatre pattes, je lui lubrifiais abondamment son trou de balle et annonçai à l'assemblée que j'allais dépuceler le cul de mon esclave en lui faisant un fist fucking. C'en était trop pour Amandine qui s'enfuyait en criant. Je commençais ma pénétration avec un, puis deux, puis l'ensemble de ma main dans le cul de ma salope en astiquant de plus en plus vite. Jordan criait, pleurait, haletait, il était en transe et bandait comme un taureau. Je pris sa queue entre mes doigts et tout en limant son trou avec mon bras, je le masturbais énergiquement avec l'autre main. Tout d'un coup, Jordan lâcha un grognement profond et son corps se raidit et en même temps, il lâcha sa purée sur la table. Il transpirait comme un cochon. Je lui ordonnais de lécher son foutre, ce qu'il fit en s'appliquant comme une petite chienne.

Depuis ce jour, Amandine a quitté son copain et je ne compte plus les dérouillées qu'il s'est pris devant sa famille. En effet, sa maman ne rate pas une occasion pour dénoncer les fautes de son fils et à chaque fois, il est fessé entièrement nu devant elle et à chaque fois, il bande comme le salop qu'il est !

 

Histoire paru sur Gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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