Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 08:41

Je sors le dernier de la classe. Quand j'arrive à la porte de la cour, quelques grands des classes terminales m'empêchent de sortir. Ils m'entraînent dans l'escalier qui conduit dans les caves et me font entrer dans la première pièce.

— À poil.

Comme ils ont l'air menaçants je dois m'exécuter.

— Plus vite, on n'a pas toute la journée.

Je continue. J'ai envie de pleurer mais je me retiens, je ne veux pas paraître une mauviette.

— Si tu fais du bruit ça va être ta fête.

Ils rigolent de moi au fur et à mesure de mon déshabillage. Mon torse est frêle, mes jambes trop fines et sans muscles, j'ai un cul de fille, mon sexe est microscopique, je n'ai même pas de poils, etc. Quand je suis nu, ils me font agenouiller. Ils font cercle autour de moi. Celui qui est en face, me dit de lui sortir le sexe. Comme j'hésite, je reçois une légère baffe.

— Pour avertissement...

Je lui ouvre la braguette, introduit la main, écarte le slip et sors son engin déjà en érection.

— Ça c'est un instrument, dit-il.

Je dois passer au suivant et faire ainsi le tour du cercle toujours à genoux et les dénuder tous. Ceux dont les bites sont déjà sorties se branlent lentement en me regardant extraire les engins des autres. Certains, non encore en pleine érection sont faciles à sortir, d'autres déjà très durs coincent. Il y en a de toutes sortes, des déjà décalottées, d'autres circoncise, certains dont le prépuce recouvre encore le gland. Tous restent pratiquement dans les mêmes proportions; un seul est très court mais très épais; un est très difficile à sortir car particulièrement long et mince, mais dur comme l'acier. Quand toutes les verges sont à l'air, ils se masturbent plus rapidement.

Les tiges me paraissent énormes comparées à la mienne ou à celles de mes copains. Les bouts rougeoyants apparaissent à chaque mouvement de poignet. Tout cela me fait quand même un certain effet. Mon sexe prend un peu d'ampleur.

— Hé vous avez vu? Il bande!

— Cela te plaît des belles bites, tiens prend la mienne et gâte-la.

Comme je ne réagis pas assez rapidement, il me prend par les cheveux et me tire vers lui. Je le prends en main et le branle. À la suite l'un de l'autre, ils viennent se placer devant moi et je dois les caresser pendant un certain temps avant que le suivant prenne la place. Des groupes se forment et ils se donnent du plaisir l'un à l'autre, mais quand c'est leur tour, ils ne manquent pas de profiter de mes services. L'un d'eux dit:

— À moi, vite...

Il vient rapidement en face de moi. Je l'ai à peine en main qu'il éjacule. Il dirige les jets sur ma poitrine. Chaque fois qu'il y en a un qui est près à jouir, il fait la même chose. Je dois parfois en finir deux à la fois, un avec chaque main. Quand ils sont satisfaits, ils sortent.

Le dernier parti, je reste un petit temps comme abasourdi. Je suis couvert de sperme sur tout le corps, l'un ou l'autre s'étant déplacé pendant l'éjaculation et ayant terminé en laçant les derniers jets sur mon dos. J'ai les larmes qui me viennent aux yeux, plus de rage que pour aucune autre raison. Je râle de m'être exécuté si facilement et surtout de ne pas avoir su en retirer du plaisir. Mon érection a complètement disparu.

 

Histoire paru sur gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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