Histoires

Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 06:11

Part I

Étant jeune, j’étais souvent seul et livré à moi-même. J’habitais un petit village du Finistère et les jours où il n’y avait pas école, je me retrouvais à battre la campagne. Adolescent, j’avais commencé un CAP qui avait été interrompu suite à un accident. Sorti d’affaire, dans l’attente d’un second apprentissage je me trouvais désœuvré et retrouvais les chemins que je connaissais si bien.

J’avais un jeu que j’affectionnais que je nommais l’exposition. C’était un jeu d’exhibition simple et peu risqué. Je me faisais à moi-même des petits paris du genre « chiche que je reste une minute sur le carrefour avec le slip baissé ». Les routes de la régions étaient relativement peu fréquentées, ces paris ne présentaient pas de grands risques, mais étaient toutefois suffisant pour m’exciter.

Ce jour là, l’air était doux, ce devait être en octobre ou novembre. J’avais repéré un talus où l’herbe était coupée, un talus qui semblait accueillant pour un exposition. Il était situé à peu prés au milieu d’une ligne droite de près de deux kilomètres sur la route de Quimper. En voyant ce talus, je m’étais donné le défi de revenir à la nuit tombée et d’y exhiber mon cul pendant cinq minutes.

Me voici donc le soir sur la route en question. La nuit est claire, il n’y à pas une voiture, pas un chat, ça semble facile. Il me vient à l’esprit que, quitte à faire une exposition, autant la faire bien. Je rentre dans un petit bosquet d’arbres voisin de l’endroit que j‘avais repéré et je me débarrasse de mon jean et de mon slip que je laisse soigneusement au pied d’un tronc. Je reviens vers la route toujours déserte et rejoins en courant mon coin d’exposition. Je m’allonge sur l’herbe cuisses légèrement écartés de manière à ce que mon postérieur soit bien visible de la route. Cinq minutes, top chrono !

Je suis là depuis un peu plus d’une minute quand un bruit de moteur se fait entendre au loin. Mince ! Je décide de rester : un pari est un pari. Bientôt en me retournant, je peux apercevoir au loin le halo des phares de la voiture qui s’approche dans la série de tournants qui précèdent la ligne droite où je me trouve. Elle vient de l’arrière, le conducteur ne pourra pas ne pas voir mon postérieur. J’hésite mais je décide de tenir. Peut-être qu’il regardera ailleurs...

La voiture arrive dans la ligne droite et bientôt les premiers reflets des phares apparaissent autour de moi, puis le talus s’éclaire de plus en plus, la voiture semble rouler vite, ça me rassure et je me dis qu’elle ne s’arrêtera pas, le chauffeur ne me verra peut-être même pas. La voiture passe à ma hauteur très vite, je me dis que c’est gagné, mais à peine une seconde après, je vois les feux stop qui s’allument, la voiture freine et s’arrête à environ 100m devant moi... juste devant le petit bois où sont mes vêtements !

J’abandonne mon pari et me laisse glisser vers l’arrière du talus, coté champs, je longe vers le bois en courant baissé, la nuit, la hauteur du talus qui est de plus planté d'arbres doivent suffirent à me cacher de la route, je rentre entre les arbres du bosquet et, abrité par l’obscurité je vais jusqu'à mes vêtements. Je distingue la voiture sur la route. J’enfile mes vêtements à tâtons quand j’aperçois la silhouette de l’homme qui revient vers sa voiture.

Je me fais plus petit, il vient de la direction du talus où j’étais. Pendant que je courais côté champs, il devait aller vers l’endroit où il m’avait aperçu. Rhabillé, j’attends que l’homme parte. Je le vois qui regarde le bois. Puis voilà qu’il appelle une fois deux fois, sa voix se veut rassurante, il n’est pas en colère au contraire, mon exhibition semble l’avoir excité. Je distingue seulement sa silhouette au bord du bois, mais à la position de ses mains, je devine qu’il a dû sortir sa bite. Et là, malgré ma crainte et mes hésitations, je sors de ma cachette et me dirige vers lui.

C’est un homme d’âge mûr, qui pourrait largement être mon père. Contrairement à ce que j’avais cru, il n’est pas en train de se masturber, son pantalon est fermé. Il va me dire que je suis un très beau garçon, me tâter la bite et les fesses, je n’ose bouger. Il me demande de baisser mon jean pour lui montrer encore mes fesses, tel un automate, je m’exécute. Il me descend mon jean jusqu’aux chevilles et m’attire à lui, me caresse mes fesses d’une main, la joue de l’autre, il relève ma tête et m’embrasse. Je suis excité, il le remarque et me propose d’aller chez lui. Voyant que j’hésite, il me dit qu’il me ramènera chez moi, qu’il va me faire du bien etc... finalement j’acquiesce.

À ma grande surprise, il va alors me soulever dans ses bras et me déposer sur le siège passager de la voiture avec mon pantalon aux chevilles. Il ferme ma portière et monte à son tour. Il m’explique que chaque fois que je viendrais dans sa voiture, il faudra que je sois comme ça, je suis surpris, je dis rien. Je me souviens c’était que c’était une Renault 15 et que je trouvais qu’il roulais vite. Pendant la route il m’interroge, qu’est-ce que je fais, où j’habite, à l’époque je vivais avec ma mère, je réponds docilement à ses questions.

On arrive chez lui, une maison dans les environs de Quimper, il me demande de laisser mon pantalon dans la voiture. Je m’exécute et c’est cul nu que je monte les marches du perron et entre dans la maison. Là il m’amène direct dans la chambre et me demande de me foutre complètement à poil. J’enlève mon Tshirt et mes tennis que je jette dans un coin. Je le revois me regardant le sourire aux lèvres, il était plus grand que moi bien plus costaud et devait avoir 45 ou 50 ans. Une fois que je suis nu, il va m’attirer et m’embrasser en me caressant comme il l’a déjà fait dans le bois.

Puis il me demande de le déshabiller. Ce que je fais. Lentement suivant son désir. Je n’ai jamais vu de bite, à part ma mienne bien sûr, mais celle la est d’une taille au-dessus. Il va me demander de le branler, elle est chaude et douce. Il me demande si j’ai déjà suçé, je lui réponds que non, il me dit que je vais apprendre et me demande de lui embrasser le gland. Alors que je le fais, il va me saisir par les cheveux et me contraindre à avaler sa bite, là il va me montrer comment téter la bite, en aspirer le gland, en bref j’ai mon premier cours de fellation appliquée.

Une fois que ça lui suffit, il va me demander de mettre à quatre pattes sur le lit car il est temps pour lui de s’occuper le mon cul. Il me fait prendre la position, tête sur le matelas, mains derrière la tête, genoux écartés et hanches cambrées. Là il va me doigter, c’est si bon que je vais me mettre à gémir. Il apprécie et m’encourage à continuer. Il va tant et si bien faire qu’après m’avoir lubrifié il va réussir à me sodomiser, en me faisant gémir de plaisir, il va jouir dans mon cul, puis me plaquer contre lui en me branlant jusqu'à ce que je jouisse à mon tour, c’était ma première éjaculation, ma première jouissance, une véritable extase. Je l’entoure de mes bras, il va m’embrasser, il est très gentil, viril, protecteur. Il a vu mon état, il sait qu’il peu me demander ce qu’il veut, que je suis conquis, que je suis à lui.

Il me demande de rester nu et nous sortons de la maison. Encore, il va me porter dans la voiture. Il est tard il me ramène chez moi, je reste nu tout le long de la route, heureusement il fait nuit. Il s’arrête à deux maison de chez moi, en plein bourg. Il me tend mes vêtement en me disant que je pourrai les mettre une fois sorti de la voiture, pas avant ! Puis il me dit qu’il viendra me chercher le samedi suivant, on était jeudi, ça faisait dans deux jours. Il viendra me chercher à 21h, j’avais intérêt d’être à l’heure sans quoi ma mère saurait tout. Bien sûr la menace est convaincante, mais inutile car je serais venu même sans ça.

Le samedi suivant à 21 heure je suis à l’endroit convenu. Oh oui, il est venu me prendre à l’heure, mais j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait, et de ce qui m’attendrait plusieurs samedis par la suite. 

 

Part II

Le samedi suivant, je suis à l’heure prévu au rendez-vous. La Renault 15 ne tarde pas à arriver. L’homme dont je ne connais toujours pas le nom arrête sa voiture devant moi. Il est 21h, il fait nuit, je me souviens bien de ce qu’il m’avait dit le jeudi avant. Je regarde autour de moi, la rue est déserte, je baisse mon pantalon, j’ouvre la portière et je monte dans la voiture. L’homme à un sourire amusé, nous partons et à peine sorti du bourg, il me demande d’enlever complètement mon pantalon et de me foutre à poil. Il a mis le chauffage dans la voiture et c’est sans peine que je m’exécute. Il va me demander de le sucer a travers son pantalon, ce que je fais du mieux que je peux, je sens son sexe qui grossit. Je vais devoir, sous ses ordres, le sortir du pantalon, le lécher puis le prendre en bouche; à chaque fois je m’exécute. Il se penche parfois et je sens sa main qui va effleurer mon cul, mon anus, ce qui va me faire gémir de ravissement.

Au bout d’une dizaine de minutes on arrive. Il va relever ma tête et m’embrasser en me tenant les mains contre mes joues, il va me demander de garder la bouche entrouverte, embrasser mes lèvres, les lécher, son visage est juste devant le mien.

— T'es une bonne salope ? puis d’une voix plus autoritaire: Réponds !

— Oui .

— T'aime les hommes ?

— Oui.

Il va encore embrasser mon visage puis:

— T'aimes être baisé ?

— Oui.

Puis il me demande d’attendre, le temps d'entrer la voiture dans son garage. Une fois fait et le portail du garage refermé, il ouvre la portière, me fait sortir nu de la voiture et reprend ses questions. Elles sont embarrassante mais je comprends qu’il me faut répondre oui.

— T'aimes obéir ?

— Oui.

— Tu vas être ma petite esclave sexuelle ?

— Oui.

Il m’indique l’escalier qui mène vers le rez-de-chaussée.

— Monte, la pute.

Je commence à monter, il m’emboîte le pas et je sens sa main qui touche mes fesses. Il me demande de m’arrêter au milieu de l’escalier, je sens qu’il écarte mes fesses et me lèche l’anus. C’est trop bon ! Puis il introduit un doigt dans mon anus mouillé et m’ordonne d’avancer. Je finis de monter l’escalier et je débouche dans sa cuisine. Il tient mon cul dans sa main et me fait avancer, je crois qu’il veux me guider jusqu'à la chambre mais non, il me fait faire le tour de la cuisine.

— T'aimes ça être mené par le cul ?

— Oui.

— Tu m’appartiens, tu va être ma femelle petite salope!

Me laissant là, il se retourne et ouvre un placard d’où il sort un sac plastique.

— J'ai pensé à toi.

Il va sortir un porte-jarretelle noir qu’il va me demander de mettre. Je m’en saisis maladroitement si bien qu’il va me guider pour le mettre correctement en me disant que j’ai intérêt à apprendre vite, puis des bas noirs que j’enfile et que je fixe sans trop de difficultés. Puis il me fait asseoir sur la table et m’enfile des chaussures à talons hauts. Il me demande de me mettre debout. À ma grande surprise, les chaussures sont confortables. Il me demande de tourner sur moi-même et insiste pour que je cambre les fesses, ce que je m’applique à faire. Il semble satisfait. Il sort un corset rose qu’il va me serrer lui même autour de la taille. Pour finir, je devrai enfiler une jupe courte plissé à carreaux noirs et blancs. Il me demande de marcher autour de la table, ce que je m’applique à faire en cambrant les reins. Le résultat semble lui plaire, moi qui n’ai jamais porté de vêtements féminins, je ne me sens pas très à mon aise.

Il m’attire à lui et m’embrasse en me caressant les fesses sous la jupe quand le bruit d’une voiture qui s’arrête se fait entendre dehors. Il jette un oeil vers l’horloge pendue au mur de la cuisine. « Pile à l'heure ! » Il me prend fermement par le bras et m’emmène dans la salon, je suis surpris et troublé, il le remarque.

— T'inquiètes pas, je les connais bien, je vais te présenter, ils sont pas méchants. Sois bien obéissante, mouille tes lèvres, garde les entrouvertes et tu verras ça va te plaire !

À peine a-t-il fini de parler que ça sonne à la porte, il me laisse planté là et va ouvrir. J’entends des voix masculines, des rires, il accueille ses potes. La porte du salon se rouvre, il rentre suivi de ses copains qu’il invite à s’asseoir dans le canapé puis il se place derrière et contre moi et me prends les bras fermement au-dessus des coudes.

— Mes amis, je vous présente ma nouvelle pute. Pour l'instant ses ordres sont simples : nous faire bander et recueillir notre semence. Mais d'abord comment allons-nous l"appeler ? Il lui faut un beau nom de pute !

— Sonia, elle à une tête à s'appeler Sonia.

Celui qui à parlé est un grand noir, j’apprendrai plus tard qu’il est martiniquais, à côté de lui sur le canapé un gros homme aux cheveux dégarnis tire sur un cigare et enfume la pièce, il acquiesce de la tête à l’idée de son voisin. Tout deux semblent avoir, comme mon hôte qui me tient toujours les bras, entre 40 et 50 ans. Enfin je tourne le regard vers le troisième homme qui à opté pour un fauteuil, avec ses cheveux blanc en brosse, son allure mince et sec parait un peu plus âgé que les autres, la soixantaine dépassé. C’est lui qui prend la parole et confirme que je serai nommé Sonia. Là-dessus, mon mon maître m’attire vers la chambre. Il m’arrête à deux pas de la porte.

— Bon, écoute bien, je répeterai pas !

— Oui .

— Commence par mouiller tes lèvres, je t'ai dit de les laisser entrouverte, et elles doivent rester mouillées. Passe ta langue dessus !

Je m’exécute.

— Tu vas rester ici et attendre gentiment mes amis et tu feras tout ce qu’ils te demanderons tu as compris ?

— Oui.

— Quand un aura fini avec toi, tu te remettras ici en attendant le suivant compris ?

— Compris.

— Bien. Appuie toi mains contre le mur et cambre bien les fesses pour montrer que t’es offerte.

Je m’exécute.

— Quand ils entreront, tu leur diras : 'Je suis Sonia la salope d'Alain. Je suis toujours excité et je suis à votre disposition!"

J’ai répété et il a eu l’air satisfait, il m’a demandé de faire aussi bien qu’avec lui et il m’a laissé là. J'ai attendu, appuyé contre ce mur, tandis qu’ils discutaient dans le salon en sirotant leur verre. Je veillais à passer régulièrement ma langue sur mes lèvres que je gardais entrouvertes comme il m’était demandé. Enfin, au bout d’un temps qui me sembla long, un pas se fit entendre derrière moi. C’était le petit gros. Je l’accueillais avec la phrase convenu, soulagé de constater qu’il n’était pas venu avec son cigare. Il ouvrit la porte de la chambre et me fit entrer. Il tourna autour de moi comme on tourne autour d’un bétail avant de l’acheter.

— T'es une vrai salope, c"est incroyable ! Alors comme ça t'aimes t'exhiber sur la bord des routes ?

— Oui.

— Humm, t'as bien raison ! Tu vois, si tu ne le faisais pas, tu ne serais pas là ce soir et on n'aurait pas de putain à baiser !

Il s’arreta devant moi.

— Tu sais pourquoi je suis le premier ?

— Non.

— Simple ! On t'a tiré au sort et j'ai gagné.

Il passe derrière moi et soulève la jupe.

— Mais t'as pas de culotte cochonne ! Pourquoi t'as pas de culotte ?

Je peux pas lui dire que mon maître ne m’en a pas donné.

— Je sais pas.

— Vraiment ?

L’homme à sorti sa bite. Elle est de taille moyenne, il est en érection devant moi et se masturbe.

— Mais si tu sais. C'est pour te faire sauter plus vite petite truie ! Allez ! Suce-moi, cochonne !

Là-dessus, il m’attrape par les cheveux et tire vers le bas, je m’agenouille et reçois sa bite dans sa bouche, je n’ai pas à le sucer très longtemps, il appuie sur ma tête pour l’enfoncer à fond et je sens le foutre chaud jaillir au fond de ma bouche. Il m’ordonne d’avaler, ce que je fais.

— Pas à dire, t'es une sacrée cochonne toi, je reviendrai, on a tout notre temps. Je reviendrai la pute.

Là-dessus, il me met deux petites claques sur la joue et sort. Je me relève et reprends la posture convenue à l’entrée de la porte. Je suis un peu déçu de pas avoir été baisé. J’ai pas à attendre longtemps c’est le noir qui arrive, je sors ma phrase d’accueil, il ouvre la porte.

— Allez, en piste !

Il me met une claque violente sur les fesses. La brûlure soudaine m’arrache un cri.

— Je sais que t'es une pute, tu seras montée par des mâles seulement si tu le mérites.

Il m’attrape par les cheveux et m’attire vers le lit, il me fait allonger sur le dos, la tête au bord du lit. Il sort sa bite, me fait ouvrir la bouche et me l’introduit. Ma tête est coincée contre le bord du lit. Il me pince les tétons, ça fait mal, je tente de les protéger de mes mains, ce qui me vaut une engueulade.

— C’est quoi ça ? Les putes ça obéit ! La seule chose que t’as le droit de dire c’est oui et encore ! Enlève tes mains ou je te les attache. T’as compris ?

Avec sa bite coincée dans la bouche, je ne peux répondre, je tente d’acquiescer pour lui faire comprendre que j’ai compris.

— Lève tes jambes que je vois ton cul !

Je ne comprends pas bien ce qu’il veut, je ramène mes genoux vers ma poitrine, je sens qu’il m’attrape le pied gauche par le talon de la chaussure.

— L’autre, dépêche toi !

Il me bloque les deux jambes sous ses aisselles. La jupe est retombée, mon cul est à sa merci. Il va m’appliquer quelques claques, me malaxer les fesses puis les écarter avant de me cracher sur la raie, et de me doigter.

— C’est vraiment un cul de pouffiasse ! Un bon cul public ça hein, et t’aimes ça salope ! J’arrête, tu serais capable de jouir.

Il relâche mes jambes, c’est vrai que j’adorais ça. Dommage que ça dure pas. Pour finir il ressort sa bite et se masturbe dans ma bouche. Je dois avaler le sperme pour la seconde fois de la soirée. Il part, je reprends ma place et j’attends de nouveau. Après quelques minutes le troisième homme arrive, je prononce la phrase d’accueil.

— Tu devrais dire la putain, parce que c'est ce que tu es, une putain.

Je suis toujours appuyé contre le mur, il soulève ma jupe

— Et t'as même pas de culotte. C'est quoi ça de se promener sans culotte ?

Il glisse deux doigts dans ma bouche entrouverte et m’ordonne de sucer, de l’autre main il relève ma jupe et la coince dans la ceinture, sa main s’abat sur mes fesses et m’arrache un cri.

— Tais toi chienne et bouffe.

Il m’introduit un troisième doigt dans la bouche, attrape ma joue et tire vers le bas pour me faire pencher sur sa cuisse, il me bloque et de l’autre main il commence à me doigter.

— Mais t’es toute mouillée en plus ! C’est pas vrai mais t'es une vraie putain, c'est pour ça que tu te donnais en public sur la route hein ! Toi c’est en public qu’on te baise, allez sur la table à quatre pattes !

Sous le regard des trois autres hommes, il me ramène vers le salon et me fait monter sur la table de la salle à manger voisine. Jupe troussée, il me doigte et mord mon cul.

— T'es faite pour ça, te prendre des bites, des kilomètres de bites parce que t'es une pute !

Je vois mon maître qui se lève, il glisse quelques mots à l’homme et ils se dirigent vers la cuisine pour ce que j’imagine être une explication. Les deux autres font mine de m’ignorer et continuent de siroter leur whisky en discutant. Ne sachant que faire, je reste là, à quatre patte sur la table. Au bout d’un moment mon maître et "le vieux" réapparaissent dans le salon.

— Descends de là, enlève ta jupette et viens un peu nous voir ici à quatre pattes.

Je descends de la table, me mets à quatre pattes et je me dirige vers les hommes dans le salon. C’est le noir qui sort le premier sa bite en érection de son pantalon, je m’approche et commence à sucer tandis que je sens une main commence à me doigter le cul.

— Petite truie je vais te sauter comme tu aimes.

— Oui, mais la petite truie ne fait pas ce qu'on lui dit ! Je sais pas si elle mérite. Alors on t'as fait un petit contrat que tu vas signer tout de suite !

Mon maître pose alors une feuille manuscrite sur la table du salon. Je lâche la bite du noir et je lis rapidement : « Moi Sonia la salope déclare appartenir aux maîtres Alain, Jean, Bernard et Jonathan et vouloir de mon plein gré réaliser tous leurs caprices. » Je prends le stylo que me tend mon maître et je signe Sonia à l’emplacement désigné par mon maître dans le bas de le feuille.

Sitôt fait le noir me prend par les cheveux pour se faire sucer de plus belle tandis que le petit gros entreprend de me sodomiser pour mon plus grand plaisir. Je constate que mon maître à sorti son instamatique et commence à prendre des photos. Finalement le gros jouit dans mon cul puis le black va me demander de m’asseoir sur sa bite. Maître Alain continue de prendre des photos. Finalement, pour ce premier samedi, je me souviens qu’ensuite je suis resté un bon moment allongé sur le dos les jambes par-dessus les épaules tandis que les bites se succédaient dans mon cul et dans ma bouche. Je répondais oui à toutes les questions et exécutait leurs désirs aussi bien que je pouvais. Si je craignais qu’en leur déplaisant ils ne deviennent désagréables, voire violents à mon égard, d’un autre côté le fait de savoir que je les faisais bander était aussi très excitant et me plaisait beaucoup. Il faut dire ce qui est, ils ne s’étaient pas trompés: j’adorais ça.

Des samedis, il y en aura d’autres, humiliants, excitants, la peur d’être dénoncé mêlée à l’excitation fera que je ne refuserai pas les rendez-vous fixés. L’histoire aurait pu durer encore longtemps, mais le destin s’en mêlera et quand je serai amené à quitter ce village, la main-mise que ces hommes avaient sur moi disparaîtra naturellement.

 

Part III

Cette fois là mon maître m’avait donné rendez vous un lundi à midi. Il m’avait dit qu’il ne viendrai pas me chercher chez moi mais de l’attendre sur la route, à l’endroit de notre première rencontre. L’heure était déjà passée, et je commençais à me demander s’il ne m’avait pas posé un lapin lorsque je vis la Renault 15 marron arriver. Je fus surpris de voir que maître Jonathan l’accompagnait.

Ce dernier descendit et me fit monter à l’arrière de la R15 deux portes. Maître Alain se contenta d’avancer la voiture et se gara sur le bord du petit bois. Si l’endroit paraissait discret la nuit, là en plein jour, pas possible de ne pas être vu de la route. Après quelques banalités d’usage dans le genre « ça va ? », « t'es bien chaude », Maître Alain se retourna et avisa mon jean que j’avais gardé et me rappela qu’en sa présence, où que ce soit, je devais me défroquer, à moins qu’il ne me dise le contraire.

Tandis que j’enlevais mes baskets, mon jean et mon slip il me rappela le contrat que j’avais signé. Je répondais par oui et à sa demande je formulais mon état de pute et mon appartenance totale aux désirs de mon maître. Ce qui me valut un « bon ! on verra ! » qui me déçut.

À ce moment Jonathan ouvrit la portière et me fit monter à l’avant, entre les deux sièges. Je m’asseyais tant bien que mal, une cuisse sur chaque siège, le cul dans le vide. Jonathan s’installa contre moi et ferma la portière.

— Occupe toi de nos bites !

Coincé entre les deux hommes, je n’avais pas beaucoup de liberté. Je tendis les mains vers les ceintures des pantalons et entrepris de les déboucler, la tâche n’était pas aisée. Maître Alain prit ma main, la bloqua sous sa cuisse et m’attrapa à la gorge.

— Il va falloir faire mieux que ça si tu veux mériter ton titre de salope !

Maître Jonathan avait sorti sa queue, je commençais à le branler. Je sentais la main de maître Alain serrer petit à petit mon cou. Il m’ordonna d’ouvrir la bouche et alors que je m’exécutais, il me cracha dans la gorge ! Je voulus dire non mais je n’en eus pas le temps, une claque appuyée tomba sur ma joue.

— Tais toi t’as rien à dire, t’es qu’une merde ! Ouvre la bouche je te dis !

Je sentais que Maître Jonathan avait attrapé mon poignet, et me le tournait paume vers le haut, il le tira entre ses jambes et, tout en le coinçant posa ses bourses sur ma main.

— Caresse et doucement et gare à toi si tu me fais mal.

J’étais coincé. Je caressais aussi bien que je pouvais les couilles du martiniquais en gardant la bouche ouverte, mon maître, qui tenait toujours mon cou cracha encore deux ou trois fois dans ma gorge puis sur mon visage. Je sentais le prise du cou qui se resserrait en permanence, je commençais à manquer d’air et la brûlure de la claque se faisait de plus en plus sentir ! Je pris conscience du changement radical d’ambiance par rapport aux deux fois précédentes. Je ressentis l’envie de pleurer et les larmes me montèrent aux yeux. Je vis mon maître sourire, ça semblait lui plaire. Il lâcha enfin mon cou et passa la main sur mon visage, mélangeant l’humidité de ses crachats et de mes larmes.

— Ouvre la bouche !

J’ouvrais.

— Plus grand !

Je m’efforçais d’ouvrir la bouche le plus grand possible, j’avais le regard brouillé par les larmes et la salive, je sentis des doigts entrer dans ma bouche et sur son ordre j’entreprenais de les sucer. À ce moment la portière s’ouvrit et Maître Alain me relâcha. Je me rendis compte qu’une autre voiture s’était garée devant nous. C’est celui qui se prénommait Jean, pour moi Maître Jean, qui venait d’arriver. Il se tenait à la portière. Je ne comprenais pas. Ainsi ils s’étaient donnés rendez-vous tous les quatre? Je me demandais s’ils comptaient me refaire le même plan que le samedi de la semaine avant. Jean paraissait content. Je me souviens de son exclamation :

— Ça a marché ! C’est bueno bueno ! Allez !

Je vis qu’il retournait vers sa voiture, mais la poigne d’Alain me reprit le cou et me repoussa la tête en arrière. Je ne voyais plus que le plafond de la R15.

— Maintenant tu vas te foutre à poil et t’as intérêt à faire ce que je te demande ! Quand tu seras à poil, j’aurai une bonne nouvelle pour toi.

J’enlevais ma veste, mon pull et ma chemise. Les voitures avaient redémarré, nous roulions sur les routes de campagne. Jean et Bernard nous suivaient. Alors que je venais de finir de me mettre à poil, nous nous arrêtâmes, le coin était isolé. Qu’est-ce qu’ils avaient en tête ? Quel était cette « bonne nouvelle » qu’ils devaient m’annoncer ? Jonathan me fit sortir de la voiture en me prenant par les cheveux et m’agenouilla sur l’herbe du bas côté, les quatre hommes m’entourèrent et mon maître m’ordonna d’ouvrir la bouche. Ils commencèrent à me cracher dans la bouche un par un, puis à me donner des claques de plus en plus fort, je voulus mettre la main sur mon visage, mais mon maître m’attrapa fortement par le nez, me fit ouvrir la bouche et y introduisit la main.

— Tes mains servent à branler des bites, c’est tout ce que je veux les voir faire, si elles font autre chose, je te le attache, compris ?

Le présence de sa main dans la bouche m’empêchait de parler, j’agitais la tête dans le sens d’un oui pour lui faire comprendre que je serais sage. Je m’étais remis à pleurer sous le brûlure des claques, et l’inquiétude qui ne me quittait pas. Alain enleva sa main de ma bouche et saisit mon cou des deux mains, il eut un mouvement rapide d’étranglement et de rotation qui me fit émettre un gargouillis et baisser la tête.

— Lève la tête et ouvre la bouche bon sang !

Je m’exécutais. Je me souviens qu’ils avaient sorti leur bites et que main levée, je devais en branler deux, j’ignore lesquels, j’avais fermé les yeux, avec les larmes et les crachats je ne distinguais rien de toute façon. Les bites passaient sur mon visage, je sentais leur odeur chaude, des glands me tapaient les lèvres, les yeux, les joues, parfois une bite ou un doigt entrait dans ma bouche, par réflexe je fermais les lèvres et me mettais à sucer, ce qui provoquait des approbations et des réflexions sur ma nature de salope et de chienne. Mais le pire, plusieurs fois des mains sont passées autour de mon cou, toujours ce mouvement de rotation si douloureux, je me demandais si j’allais encore être capable de parler, une appréhension supplémentaire me prit à la pensée qu’il y avait certainement des marques, et que j’aurais à m’en expliquer. Je gémissais et sanglotais en permanence.

— Quelle salope, j’en peux plus, je vais jouir.

C’était Bernard, la dernière fois à l’appartement il avait aussi été le premier à jouir. Mon maître lui demanda de me jouir dans les cheveux, je me sentis tiré en arrière par le cheveux et bientôt j’eus une sensation de sperme chaud sur mon front, une main récupéra l’humidité de mon visage et chiffonna mes cheveux.

— Il va en falloir bien plus pour faire un shampoing à cette petite merde. Tiens le par le cou et renverse lui bien le tête en arrière !

De nouveau des mains prirent mon cou et appuyèrent mon menton en arrière.

— Ouvre bien la bouche toi, et garde les mains en l’air, continue de bien branler les deux autres !

J’ouvris la bouche autant que je pus. C’est vrai que mes deux bras fatiguaient, je branlais du mieux que je pouvais les deux chibres que je pensais être aux maîtres Jonathan et Jean. Soudain je sentis un liquide chaud me couler sur le haut du front, sous l’approbation des autres hommes, quelques gouttes giclèrent sur mon visage et je reconnus une odeur âcre ! De le pisse ! Il me pissait sur les cheveux ! Je me remis à pleurer.

— Ha ! La petite salope qui pleure, attends je vais te passer tes larmes en te donnant ce pour quoi tu es venu ! Lève toi, pose ton torse contre le capot de la Renault !

Je m’exécutais. Le capot de la voiture était encore chaud, sensation agréable. Jonathan me fit écarter les cuisses et se cala contre moi. Je sentais son pénis en érection posé sur mes fesses. Il passa sa main entre mes cuisses.

— On va te graisser petite salope, faut que tu sois bonne !

Oubliés les inquiétudes, les pleurs, pour cet instant j’aurais tout donné. Il tira mes mains dans mon dos, me replia les avants bras l’un contre l’autre et commença à les attacher. Il utilisait une corde du type ce celles qu’on utilise sur les tires-rideaux, fine et solide, je la sentais glisser à chaque tour qu’il faisait. Ceci fait, il me retourna sur le dos et releva mes jambes, j’adorais cette position, dans un instant j’aurais sa bite en moi et après lui sans doute que les trois autre me prendront aussi ! Quel pied ! Ça valait bien les quelques souffrances que j’avais endurées.

Il releva mes jambes, replia mon mollets sur l’extérieur de mes cuisses et attacha aussi mes deux jambes ainsi repliées. Les trois autres regardaient calmement. Finalement il releva mes jambes et passa une dernières cordelette entre les liens des jambes et ceux des bras, ce qui me forçait à garder les jambes en l’air, on ne pouvait être plus offert ! J’étais aux anges ! J’allais pas tarder à déchanter.

— Bernard, passe moi l’huile moteur !

Je vis Bernard tendre à Jonathan le bidon d’huile, un bidon vert ! Castrol, je crois ! Je pensais que dans l’humiliation on fait pas mieux ! Jonathan fit directement couler l’huile entre mes fesses, puis il positionna son gland à l’entrée de mon cul ! il m’avait pas doigté, je n’étais pas ouvert, Jonathan vit surement la panique passer dans mes yeux.

— c’est comme ça qu’on traite les putes !

Et il poussa d’un seul coup sa bite dans mon cul, sous l’effet de l’huile aucune résistance ne me fut possible, je criais sous l’effet de la douleur, une brûlure insupportable et un mal de ventre me prit, il avait dû taper au fond, je ne sais où, je criais et je me remis à pleurer, tandis que les trois autres approuvaient en riant, j’aurais voulu les y voir ! Quand mon cri commença à redescendre, ce salaud de Jonathan se mit à me buriner, nouvelle douleur et hurlement, attaché comme j’étais je ne pouvais bouger. Jonathan changea de rythme, enfin la douleur se calma, je cessais de hurler mais je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer.

— Alors tu vois c’est pas si terrible, dit Jonathan.

Il passa sa main sur mon visage, et introduisit deux doigts dans ma bouche, j’entrepris de suçer.

— Regardez ça, il pleure et il suce en pleurant ! Regardez ça cette pute !

Is s’approchèrent, les mains traînèrent sur mon visage, je suçais les doigts qui se présentaient. Je pleurais toujours. Maître Alain intervint.

— Bon ça suffit, j’ai parlé d’une bonne nouvelle, maintenant que t’es bien chienne, je crois que c’est le moment ! Arrête de pleurer et écoute bien ! Pendant que tu montais avec nous en voiture, Jean et Bernard sont allés voir ta mère, ils n’ont pas eu de mal à se faire passer pour des éducateurs ! Ils ont dit à ta mère que, te connaissant, ils pensaient que tu ne lui avais pas dit que tu étais en stage toute la semaine à Brest ! Ils n’ont eu aucun mal à la convaincre ! Et ça, ça signifie que t’es à nous pour la semaine.

Une semaine ? Ça faisait combien de temps que j’étais entre leur main, deux heures à peine et j’en pouvais déjà plus, alors une semaine mais non, c’est pas possible ! Ils m’entouraient, Jonathan s’était remis à me limer comme pour m’aider à absorber la nouvelle, il m’entouraient, me disant toute sorte d’insanités, me promettant mille verges, je ne les écoutais pas, je me remis à pleurer. Jonathan se retira. C’est Jean qui se posta à un mètre de mon cul et défit la ceinture de son pantalon. Il la plia en deux, ça ça allait être super douloureux !

— On aime les putes qui pleurent mais on aime aussi les putes qui se donnent ! Tu vas dire oui à tout ?

J’acquiesçais fébrilement de la tête, sans arrêter de pleurer.

— T’as intérêt parce que sinon !

Et il tapa dans sa main avec sa ceinture en guise d’avertissement. Je fus soulagé, apparemment pour cette fois j’avais échappé à la ceinture mais pour combien de temps ? Alain s’approcha, il tenait mon slip dans la main. Il le roula en boule.

— Tu sais ce que c’est ? J’espère pour toi qu’il est propre !

Il me le fourra dans la bouche et me baîllonna avec un foulard qu’il sortit de sa poche.

— Maintenant regarde ici !

Je relevais la tête comme je pouvais, et je vis qu’il avait le reste de mes vêtements. Il les fourra dans un sac qu’il balança dans le fossé !

— Tes vêtements t’en à plus besoin. Tiens regarde !

Il arrosa mes vêtements, probablement d’essence et y mit le feu. Toujours attaché sur le capot de la Renault, je n’arrêtais plus de pleurer. Il s’approcha de moi, je sentis un objet assez gros pousser dans mes fesses, à travers le baillon des gémissements se mêlèrent à mes sanglots. Il se pencha vers moi, tout prés de mon oreille.

— T’as intérêt à bien garder ça sinon gare ! C’est ta récompense ! T’es à moi, n’oublie pas. Et ça ne fait que commencer chéri !

Puis il se releva.

— Allez, foutez moi cette merde dans le coffre !

Je secouais la tête pour dire non, mais en vain, Jonathan et Bernard s’approchèrent et, me prenant par mes liens, me jetèrent sans ménagement dans le coffre de la deuxième voiture. Je pleurais, j’avais peur, je me souviens que je mâchais spasmodiquement mon slip dans ma bouche. Le coffre se referma sur le noir total. Ils mirent la musique de manière à étouffer le bruit que j’aurais pu faire ! C’était une cassette d’Eddy Mitchell, je sentis la voiture qui manœuvrait, sûrement pour faire demi tour, puis elle se mit à rouler. Je sentis l’objet tomber de mes fesses. Je serrais le slip de toutes mes forces entre mes dents et poussais un long cri inaudible de douleur, de peur, d’humiliation... de désir.

 

Eeric31 Texte paru sur gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 01:56

Je suis quelqu’un d’assez timide. Je suis attiré depuis longtemps par les relations gays sans jamais avoir osé passer à l’acte. Les jeux SM font aussi partie de mes fantasmes. Je ne suis attiré que par le corps de mecs, autant j’ai envie d’essayer de sucer un mec autant je n’envisage pas de les embrasser.

Je vais assez souvent sur des sites regroupant ces deux caractéristiques ou sur des chats dans des salons à connotations gays / SM. Mais je ne suis jamais allé plus loin. Lors de mes chats, j’ai vécu des scénarios SM mais je manquais de matériel. Un soir, prenant mon courage à deux mains, je décidais de me rendre dans un sex-shop. Rien que d’y penser, j’avais le cœur qui battait la chamade et une boule au creux du ventre. Je prévoyais d’acheter un plug et peut être un gode.

 

ACTE 1

Arrivé devant le magasin, j’avais les jambes molles. Il était 22h, environ. D’une main moite, je pressais le bouton d’ouverture de la porte, elle s’ouvrit.

Je rentrais. Le comptoir était occupé par un mec d’une trentaine d’année. Il me salua avec un grand sourire et je lui répondis de même. Je me baladais dans le magasin, m’attardant dans le rayon des vidéos gay/sm ou devant les vitrines de gadgets phalliques. Une bosse déformait mon jean, je me sentais à l’étroit dedans. Nous étions seuls dans le magasin. Au bout d’un moment, il s’approcha de moi, me demandant s’il pouvait m’aider. Je bafouillais un « oui, peut être, je cherche un plug »

- « venez, suivez-moi, je vais vous montrer ce que l’on a »

Je le suivis, gêné de ce que je lui avais dit et surtout de ce que j’allais lui dire, me doutant de ses prochaines questions. Arrivé devant la vitrine, il me demanda 

- « Quelle taille cherchez-vous ? »

- « euuhhhhh, un petit, je pense » en rougissant

- « C’est pour vous ? »

- « Oui…. » murmurais-je

- « Vous avez déjà essaye ce genre de jeux ? » .

J’avais l’impression qu’il jouait avec moi, qu’il remuait le couteau dans la plaie de ma gêne.

- « Non, jamais, mais je ….. », Je n’arrivais pas à aller plus loin..

- « C’est la première fois ? »

- « Oui…. ». Sa main se posa sur mes fesses et commença à me caresser. Mes jambes flageolaient. 

· « Ne t’inquiète pas, je vais te montrer comment il faut faire et quelle taille choisir ». . Je restais face à la glace, n’osant bouger, le laissant faire. Il ouvrit la vitrine et prit plusieurs plugs de tailles différentes et progressives ainsi qu’un tube de lubrifiant.

Tout en continuant de me caresser les fesses, il se remit derrière moi, posa les plugs sur un bac. Son autre main passa sur le devant de mon jean et commença à me masser le sexe, le faisant encore gonfler. Je ne savais plus trop ou j’étais, complètement soumis à ses caresses. Il dégrafa ma ceinture puis le bouton et enfin la fermeture éclair. Il fit glisser mon jean sur mes chevilles. Ses caresses se faisaient plus précises, non atténuée par le tissu du pantalon. Ses mains se glissèrent sous le boxer, directement sur la peau, ce fut comme une décharge électrique, je gémis doucement. Mon boxer rejoint bientôt le jean sur mes chevilles. Il appuya doucement sur mes épaules pour me faire pencher en avant et tendre mes fesses vers lui.

Ses mains couraient sur mes fesses, l’une s’insinua entre mes fesses jusqu'à ma pastille, elle la massa, appuyant dessus. Je sentis un produit froid puis le doigt rentra doucement sans difficulté et sans douleur, je frémis. Il commença à faire aller et venir dans mon cul, son autre main faisait la même chose sur mon sexe, prêt à éclater. 

- « Je vais essayer le premier plug, détends-toi. » me dit-il. 

Je le sentis pousser le plug entre mes fesses, le renflement passa le muscle et le reste fût aspiré. J’émis un grognement de plaisir.

A ce moment, la porte du magasin s’ouvrit, je retombais sur terre. J’étais les fesses à l’air avec un plug dans le cul au beau milieu du magasin. Je voulus me relever mais sa main appuya sur mon dos. 

- « Ne bouge pas, je reviens. » 

Découvrant un nouveau coté de ma personnalité, je ne bougeais pas. L’homme qui venait de rentrer passa à coté de moi, sa main glissa sur mes fesses. 

- « Tu as une attraction, ce soir ? » demanda t-il au vendeur

- « Je crois que oui, c’est sa première fois, mais il a l’air d’être prometteur. Il est puceau du cul, et il avait l’air intéressé par les films SM» 

je ne savais plus ou me mettre, il parlait de moi comme si je n’étais pas là, comme je n’étais qu’un meuble, une chose.

- « Quelle taille, le plug ? »

- « un petit, mais on va progresser rapidement, il aime ça »

- « Tu vas l’installer dans la salle de derrière ? »

- « Oui, je crois mais pas tout de suite. Je vais le continuer ici, d’abord". 

Il revint vers moi. Il appuya sur le plug comme pour l’enfoncer davantage. Puis il le retira. Il fût rapidement remplacé par un autre un peu plus gros. L’homme regardait, il sortit son sexe et se masturba lentement. Mon regard fût irrésistiblement attiré par le spectacle. Il s’en aperçut et s’approcha de moi. Son sexe était à la hauteur de ma bouche. Il enfila un préservatif. Il avança son sexe, j’ouvris la bouche, il s’installa dedans, mes lèvres se refermèrent sur sa queue. Le préservatif gâcha un peu mes premières sensations mais j’essayais de le sucer convenablement, comme j’aime qu’on me le fasse. Derrière, le vendeur jouait avec le plug, le faisant aller et venir. Mes gémissements étaient atténués par le bâillon de chair. J’étais aux anges, mes fantasmes devenaient réalité. Pourquoi n’étais-je pas venu plus tôt ? .

L’homme dans ma bouche accélérait le rythme, le vendeur remplaça le plug par un gode. Il me baisa avec, au rythme de l’autre homme. L’homme finit par jouir dans le préservatif.

- « Tu as trouvé un bon coup, il suce pas mal pour une première. . »

- « Viens avec moi ! » me dit le vendeur, il m’entraîna vers le fond du magasin. 

- « C’est le coin des accessoires SM, j’ai vu que ça t’intéressait tout à l’heure » j’avançais avec une démarche hésitante à cause du plug.

Dans la pièce, il y avait toutes sortes d’accessoires, des menottes, barres d’écartements, cagoules, harnais, ceinture de chasteté, des slings pendaient du plafond, des bancs d’immobilisation. Il m’emmena vers un banc en cuir noir, il était superbe avec des bracelets pouvant immobiliser les poignées et les chevilles. Il me plaça devant, de face. Il me fît écarter les jambes puis m’attacha mes chevilles en bas du banc puis il me fît pencher en avant, m’allongeant dessus. Avant d’attacher mes poignets, il me retira ce qui me restait de vêtements puis il m’immobilisa.

J’étais fou, Moi, nu et attaché dans un sex-shop. Mes fantasmes les plus fous étaient dépassés, et en plus je bandais comme un âne. 

Puis c’est mon sexe qui l’intéressa, il fixa un collier à la base derrière les couilles, collier qu’il fixa au banc. Je ne pouvais plus faire un mouvement, j’étais complètement à sa merci. Il me posa un parachute aux couilles qu’il lesta avec un poids puis il me dit

- « je te laisse, j’ai du boulot. Je reviens tout à l’heure. Ne t’inquiètes pas, tu ne resteras pas seul bien longtemps. »

Il partit sans se retourner. Je restais la seul, le cul rempli et offert, le sexe lié au banc et les couilles lestées. J’entendais des bruits dans les pièces a coté, parfois la porte du magasin s’ouvrait et se refermait, des gens discutaient. Puis quelqu’un entra dans la pièce, j’essayais de tourner la tête pour le voir mais il se mit dans mon angle mort. Je frémis, de honte, de peur et d’envie. J’allais découvrir la suite de ma soirée.

« le patron m’a dit que tu étais à disposition, ce soir ! , tu as un beau cul!»

sa main glissait sur mes fesses, dans ma raie. Il appuya sur le plug pour l’enfoncer davantage, je gémis.

« tu as le cul sensible, tu ne vas pas être déçu. A cette heure là, il y a pas mal de monde ici. Tu te souviendras toujours de ton dépucelage. Et ton cul, aussi » 

Cette dernière phrase le fit rire.

Il passa devant sur mon coté et me mit un bandeau sur les yeux. 

« tu n’as pas besoin de savoir qui te passera dessus ! »

« il n’y aura pas plus de 2 mecs en même temps pour s’occuper de toi, ou plutôt pour que tu t’occupes d’eux. Bien sur, d’autres prendront leurs suites quand ils auront joui. Le magasin ferme à 4 heures donc tu seras libre à cette même heure. »

il repassa derrière moi et retira le plug. Je sentis un air frais a l’intérieur de mon cul, puis il graissa à nouveau ma raie et enfonça un nouvel objet. Il était plus long, plus gros. Ma bouche s’ouvrit et un râle en sortit. Ce devait un gode de bonne taille, cette fois.

« il rentre tout seul, tu es fait pour te faire enculer ! »

« bon, je te laisse, les clients vont bientôt arriver. »

« au fait pour chaque prestations de ta part, ils vont payer, alors donne leur en pour leur argent. A bientôt petite pute ! » et il sortit en riant.

« La pute, j’allais devenir une prostituée. » L’idée fulgura dans ma tête. 

« Moi, une pute ? », moi, qui il y a une heure encore, hésitait a franchir la porte de ce sex-shop. 

Jusqu’où allais-je les laissé aller, 

Est-ce que je peux encore arrêter les choses ?, Est-ce que j’ai vraiment envie de les arrêter ?.

quelqu’un arrive.

Sans un mot, sans un regard pour autre chose que mon cul, il retire le gode, enfile un préservatif et présente son sexe à l’entrée de mon cul. Je sens le gland contre ma rondelle. Ça y est, je vais connaître ma première sodomie. Il pousse doucement, ma préparation aida à la pénétration. Ma bouche s’ouvrit comme un effet miroir de mon cul. Je sentais chaque centimètre de son sexe me pénétrer, mon cul allait, me semblait-il, éclater. Je n’avais pas vraiment mal mais la sensation était nouvelle, angoissante. Je sentis les poils de son pubis sur mes fesses. Ça y est, il était au fond.

Il me laissa un peu de temps pour m’habituer à sa présence. Puis il commença ses va et vient. A ce moment, un autre homme entra. Mon cul étant pris, il se mit devant moi. Ma bouche s’ouvrit, son sexe entra. J’étais pris de partout en même temps. Quelle salope, je faisais ! Et le pire, c’est que j’aimais ça. Pour rien au monde, je n'aurais cédé ma place. Mon sexe était gonfle malgré les liens qui le tenaient sur le chevalet. Je sentais un liquide sourdre du méat. Je mouillais comme une salope. Un des hommes s’en aperçut. Il le montra à l’autre et se moquèrent de moi, me traitant de mots grossiers. Je rougis de honte. J’avais honte mais j’étais fier d’être là, fier de leur donner du plaisir, fier d’aimer mes fantasmes.

Le premier homme grogna en jouissant dans le préservatif. Il se retira et sortit avec juste une petite tape sur la fesse droite en guise de remerciement. Le deuxième se retira de ma bouche et vint prendre sa place. Sa queue était moins grosse mais plus longue, il n’eut pas de mal à me pénétrer. Il était à peine au fond de moi qu’un nouvel arrivant se présenta devant ma bouche. 

« Combien de mecs allais-je éponger cette nuit ? » j’en ai pour encore plusieurs heures à être la et à ce rythme mon cul restera ouvert jusqu'à la fin de mes jours.

Je ne vous raconterais pas par le détail la suite de ma nuit, cela serait monotone, mais juste de la fin.

A un moment, plus personne ne vint. Ouf, je pouvais souffler, mon cul était en feu, ou plutôt mon anus était en feu.

Après un temps incertain, un homme entra. Il tourna autour de moi, m’examinant, un peu comme un maquignon. Il toucha mon sexe redevenu mou. C’était le premier à le toucher. En dessous, une flaque de sperme prouvait mon plaisir à avoir été la.

« je vois que tu as aimé !, tu n’as pas honte ? »

je ne sut que répondre. Un ange passa…

« tu mérites d’être puni ! »

Un frisson parcourut mon échine. Le premier coup claqua sur ma fesse droite, puis il alterna. Mon cul prit rapidement de la température, il me brûlait, j’avais oublié la brûlure de mon anus, toute mon attention était maintenant tournée vers mes fesses et le haut de mes cuisses. Je sanglotais, je le suppliais d’arrêter, je lui jurais de ne plus recommencer. Cela le fit rire : 

« ohh mais tu vas recommencer et souvent en plus. Tu es une chienne et tu aimes ça. Tu vas devenir Ma chienne. Tu acceptes ? »

Je répondis oui dans un geignement.

Un claquement plus fort que les autres atterrit en travers de mes fesses.

« Je veux une réponse claire, à haute et intelligible voie ! »

« Oui, je veux être Votre chienne. »

« Oui, qui ? »

« Oui, Maître, je veux être Votre chienne.

« C’est bien, je t’accepte comme chienne », il me détacha du chevalet.

« Tu peux partir, mais reviens ici demain à 23h. »

« Oui, Maître.

Je me rhabillais et sortais du sex-shop, l’air frais me remit les idées en place.

Allais-je revenir demain ? 

 

ACTE 2

Le retour à la maison fut difficile. Mon cul m’élançait, mes pensées se bousculaient dans ma tête.

Gérer les élancements de mon cul était assez facile ; une alternance de contractions et de détente du sphincter y arrivait aisément.

Pour mes pensées, c’était beaucoup plus compliqué. La honte, le plaisir, l’envie de recommencer, la peur de tomber dans un engrenage se mélangeaient.

En arrivant chez moi, je pris une douche. Le ruissellement de l’eau me lava le corps et un peu l’esprit.

Je me couchais vidé. Le souvenir de ma soirée suffit à me provoquer une érection. Je dus me masturber deux fois avant de pouvoir m’endormir. J’avalais bien sur mon sperme à chaque fois. Le réveil me tira du lit à 7h00. J’eus bien du mal à me lever. Au début, j’ai cru avoir rêvé. Mais une hyper sensibilité anale me détrompa.

Aussitôt, tout me revint, et avec mes souvenirs, deux questions.

La première : avais-je envie d’y retourner ?

Et si, oui ; devais je y retourner ?

La réponse à la première question était simple. A moins de vouloir me mentir à moi-même c’est OUI.

La réponse à la deuxième était beaucoup plus difficile.

J’essayais d’imaginer ce qui pouvait m’arriver si j’y retournais. Mon maitre avait l’air d’avoir une imagination débordante de perversité. Même si ce que j’avais vécu m’avait plu, j’avais peur qu’il ne m’emmène loin, plus loin, trop loin. A un point ou je ne contrôlerais plus rien.

Mais avais je contrôlé quelque chose hier soir ? 

Ma journée au boulot m’a permis d’arrêter de réfléchir à ces questions. Mais à la débauche (on y revient, le terme est bien choisi pour parler de mon activité nocturne.) des images de la nuit dernière revinrent en force, me déclenchant une érection. A ce moment, je sus ce que je devais faire.

 

À 23h moins 5mn, je sonnais à la porte du sex-shop. La porte s’ouvrit. Le mec à la caisse n’était pas le même qu’hier soir. Il avait une bonne soixantaine d’années, un peu bedonnant, dégarni. Il me sourit.

« - bonsoir, c’est toi la chienne ? »

Je rougis. Je ne m’attendais pas à ce genre d’accueil. Mais bon, je devais accepter mon nouveau statut.

« - oui, je pense que c’est moi. »

« - ton maitre était sur que tu reviendrais. Tu es une grosse salope en devenir. Il suffit de te former à ça, tu as le sexe dans la peau. Il t’a préparé des surprises. »

Ces propos n’était pas fait pour me rassurer. J’avais envie de prendre mes jambes à mon cul, mais c’est lui qui commandait l’ouverture de la porte.

Quelques secondes plus tard, mon maitre entra. Il eut l’air satisfait, pas que je sois ici devant lui l’air inquiet mais plutôt que son jugement de ma personne se soit avéré.

« - je savais que tu ne me décevrais pas. Maintenant que tu as gouté à la bite, tu ne vas plus pouvoir t’en passer. Et je vais t’en donner jusqu'à plus soif. Tu vas devenir un garage à bites, une pompe à foutre, une pute prête à tout pour sa dose de sperme et pour un coup de bite. »

Cette tirade m’avait déclenché une érection. Heureusement qu’il ne pouvait voir à travers mes vêtements.

« - allez la pute, à poil. Il est temps de te mettre au boulot. Il y a du monde qui attend. »

Je paniquais, si il me voyait bander à ses propos, il allait être conforté dans son idée que je suis déjà accroc à la bite. Mais je ne voyais pas comment éviter, ni retarder ma mise à nu.

C’est la mort dans l’âme que j’obéissais. Il ne fut pas long à voir mon érection.

« - eh bien, ma salope… le simple fait de te promettre de la bite te fait bander… qu’est ce que ca va être quand tu vas voir ta surprise. »

Une fois nu, le vendeur ramassa mes affaires et les rangea derrière le comptoir.

Mon maitre me dit d’attendre la, au milieu du magasin et de mettre les mains sur la tête.

Il disparut dans le coin des accessoires SM. 

À peine, avait-il disparu que j’entendis la porte s’ouvrir derrière moi. Pour me protéger, je ne trouvais rien d’autre à faire que de fermer les yeux.

« - ah, la chienne est arrivé… quel joli cul ! On va bien s’amuser. » 

Je l’entendis approcher et je sentis sa main glisser sur mes reins, un frisson me remonta le long de la colonne vertébrale, puis descendre sur ma fesse droite, passer sous la fesse et remonter dans ma raie. Un de ses doigts joua avec ma rondelle avant de d’essayer de rentrer. Mais j’étais sec et crispé. Il n’y parvint pas. 

« - elle est serrée et sèche, cette chienne. Il va falloir l’ouvrir, qu’elle soit disponible à tout moments sans avoir besoin de gel. »

De frustration, il me mit une grande claque sur la fesse. Je devais avoir la marque bien visible. Je sentais ma fesse brulante. Et ce n’était que le début de la soirée. Quelle idée avais je eu de revenir ???

« mais qu’allait-il faire dans cette galère ? » comme disait l’avare…

cet intermède avait au moins eu l’avantage de me faire perdre mon érection.

Mon maitre revint. Il avait un petit panier à la main. Il se mit derrière moi, je ne pouvais voir le contenu du panier.

Je ne bougeais pas. Il commença par me mettre un bandeau sur les yeux. Quelque part, cela me rassura. Maintenant quoi que je fasse, ce n’était pas de ma faute. J’étais un peu moins responsable. Et puis, ce n’est pas l’homme qui m’intéresse mais sa bite dans ma bouche, mon ou mes mains. Mais j’aime aussi voir les queues qui m’agressent. Je ne sais plus ou j’en suis, ni ce que je veux. Je voudrais tout et son contraire.

Je l’entends passer devant moi. Sa main prend mon sexe maintenant flasque. Je le sens insérer mon sexe dans un tube assez étroit, un anneau passe derrière mes testicules. Mon sexe bute au fond du tube. Le maître force pour rapprocher le tube de l’anneau puis j’entends le claquement sec d’un cadenas. 

« - et voila ! Ta queue ne servira plus avant un bon moment. Tu as compris ce que je viens de faire ? »

J’hésitais. 

« - bon, alors, je vais te le dire. Je viens de te mettre une cage de chasteté. Bien sur, elle est cadenassée. Et c’est moi qui ai la clé. Il faudra payer de ta personne pour que je l’ouvre ».

Il me fit tendre les bras vers lui et il me fixa un bracelet en cuir à chaque poignet, puis c’est mon cou qui fut agrémenté d’un collier. Il y fixa une laisse.

« - allez, salope, le boulot t’attends ! »

Il me tira par la laisse. Je le suivais d’un pas hésitant.

« -allez, rentres la dedans ! Tu vas être bien. Mets-toi à genoux ! »

J’entrai à tâtons. La pièce, si l’on peut dire une pièce, était très petite. C’était plutôt un petit placard. Je pouvais toucher les murs sans bouger. Elle devait faire 1m par 1m. La porte en formait l’un des murs.

Je m’agenouillais. Une sorte de coussin se trouva sous mes genoux, rendant ma position un peu pus confortable.

Il défit ma laisse mais y rattacha une autre chaine. Je me reculais un peu mais sans succès. Ma nouvelle chaine était fixée au mur situé en face de moi.

« - voila, tu vas passer la soirée ici. Je suis sur que tu vas apprécier, salope comme tu es. Tu ne le vois pas mais en face de toi il y a un trou dans le mur, pareil à ta gauche et à ta droite. Des queues vont se présenter à toi. Tu auras juste à les faire gicler. Bien sur elles gicleront sur toi. Je vais d’ailleurs raccourcir ta chaine. »

Il me tira en avant. Mon visage touchait presque le mur.

Une queue vint se frotter sur mon visage. 

« - elles sont impatientes, dis donc… »

Déjà bien dans la mentalité d’une salope, j’ouvris la bouche.

« - je savais que tu aimais bouffer de la bite mais la, tu es une goinfre. Ne t’inquiètes pas, tu en auras autant que tu en voudras et peut être même plus. Je te laisse. Bon appétit et bonne douche. Quand je reviendrais, je veux te trouver ruisselante de sperme. Preuve du nombre de mecs et du plaisir que tu leur as donné ! »

J’entendis la porte se fermer. En tâtonnant, je cherchais les trous latéraux. Ils étaient déjà occupés par deux bites bien raides. Je les pris en main et commença à les branler doucement. Bien sur j’avais la bite en face de moi au fond de la bouche. Je m’étais d’ailleurs penché en avant pour la prendre plus profond. Le mec me baisait la bouche. Sa queue devait être longue car malgré la cloison, elle me butait dans le fond de la gorge, me tirant des haut-le-cœur. Le mec s’en foutait et je ne pouvais pas me reculer à cause de la chaine.

J’avais du mal à branler les deux bites en me faisant baiser la bouche. J’essayais de me concentrer sur ce que faisaient mes mains, ma bouche, elle étant plutôt passive.

Je dus me débrouiller assez bien car la bite de gauche cracha son venin la première. Je sentis le sperme me tomber sur le poignet et l’avant bras. Ma douche commençait. J’essayais de bien essorer cette bite, que tout son jus finisse sur moi.

Elle se retira rapidement, aussitôt remplacée par une autre.

Elle ne devait pas être très propre car elle sentait fort la sueur et la pisse. Je la branlais lentement en faisant des mouvements amples.

Celle de ma bouche commença à vibrer et à enfler un peu plus ; annonce d’une explosion proche. Le mec se recula un peu et me balança son jus en plein visage. Il m’atteint en plein front puis de plus en plus au fil des giclées. La dernière atterrit sur ma poitrine.

La queue à ma droite se retira sans avoir joui. Je crois qu’elle prit la place laisser libre dans ma bouche tant celle qui se présenta était trempée. En quelques va et viens, elle explosa, me couvrant à son tour d’un sperme chaud et abondant. Si elles sont toutes aussi prodigues, je vais finir recouverte, ruisselante comme le voulait mon maitre. Et comme moi, j’ai envie de l’être. J’ai beaucoup fantasmé sur les vidéos ou images de bukkake. Ma queue essayait de gonfler, de bander sans résultat, la cage l’en empêchant. Mon plaisir était seulement cérébral. J’espère que mon maitre fera des photos pendant et après la séance.

Les queues se succédèrent toute la soirée. Rare furent les moments ou un trou n’était pas occupés. Jamais ma bouche ne fut délaissée plus de quelques secondes. Le temps pour une queue d’être remplacée par une autre. Je ruisselais de sperme. L’odeur dans cet espace réduit devait être impressionnante, moi je ne m’en rendais pas compte, tellement mes sens étaient imprégnés de sperme, si j’ose dire. Mes mâchoires commençaient à devenir douloureuses. Et les queues continuaient à se succéder. Je n’en pouvais plus de les accueillir dans ma bouche. Je ne sais pas combien j’en ai sucé. Mais même si j’ai envie d’en avoir encore, ma bouche se rebelle. Elle devient de plus en plus passive. J’ai l’impression d’avoir les lèvres enflées, des lèvres de suceuses (ce qui est bien le cas…) 

la queue qui vient de se retirer n’est pas remplacer. Je souffle. Un flash passe à travers le bandeau. On me prend en photo par le trou situé en face de moi. J’entends la porte s’ouvrir.

« -tu es dégueulasse, salope. Tu ne peux pas rentrer chez toi comme ca. Enlèves le coussin sous tes genoux. Tiens-toi droite, les bras le long du corps ! »

J’obtempérais et attendis.

Un premier jet de liquide m’atteint sur le coté droit, suivi immédiatement d’un autre du coté gauche. Mon visage et mon dos ne tardèrent pas à subir le même sort. A l’odeur, je compris que quatre mecs étaient en train de me pisser dessus. J’aperçus encore quelques éclairs de flash. Comme pour m’offrir leurs queues à sucer, ils se relayèrent. J’étais vraiment trempé.

Au bout d’un temps que je n’ai pu estimer, les flots s’arrêtèrent. Mon maitre m’ordonna d’enlever mon bandeau. Mes yeux eurent du mal à s’habituer à la lumière.

« - détaches la chaine de ton collier, salope ! »

il me jeta une serviette.

« essuies toi et rhabilles toi. Ta soirée est finie. Tu gardes les bracelets, le collier et la cage, bien sur. 

Donnes moi ton numéro de portable que je puisse te convoquer !»

« - c’est le 06.xx.xx.xx.xx. »

« Parfait. Je vais me faire des couilles en or en te faisant vider des couilles. Tu es une bonne salope, un aspirateur à foutre, je vais te faire devenir un trou à bites, un centre d’accueil pour mecs en manque ! »

« - tu sais combien de bites ont visités ta boucher, salope ? Plus de 60 ! La prochaine fois, je ferais peut être la même chose avec ton cul. Tu imagines sa taille après 60 enculades ??? »

Aussi inquiétant que cela puisse être, l’idée me créait mes picotements dans la queue et le scrotum. 60 queues à la chaine dans un cul, je doute qu’il résiste. 

« Allez, on ferme. Rentres chez toi. Je t’appellerais bientôt. »

Je sortis du sex-shop. A cette heure, je ne risquais pas de rencontrer grand monde. Puant comme je devais l’être, c’était aussi bien. 

Arrivé chez moi, je jetais mes affaires dans la machine à laver et me précipitais sous la douche. Je me lavais les cheveux et le corps plusieurs fois et malgré cela, je trouvais que je puais encore. J’étais crevé alors je me couchais comme ça.

Mes dernières pensées furent : « qu’allait inventer mon maitre pour notre prochaine rencontre ???? ». Puis je plongeais dans un sommeil profond.

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Dimanche 2 septembre 7 02 /09 /Sep 18:27

Suite à une prise de contact sur un site de rencontre, je suis invité chez un mec pour servir de support de gages.

J'aime m’exhiber devant des mecs. Jusqu'à présent, je le fais que devant ma cam mais je souhaite réaliser un fantasme.

A l'heure du rendez-vous, je sonne chez mon hôte, je ne dois pas parler et le suivre dans le salon ou se trouve déjà trois autre personnes.

Mon hôte me dit de rester debout, droit au milieu de la pièce, les mecs se lèvent et viennent tourner autour de moi, ils se font des commentaires sur mon look, ma gueule, je ne suis qu'un objet devant eux.

Après avoir été accepté, ils se dirige vers une table dans l'angle de la pièce ou un jeu de société a été préparé. Ils sont autour et l'un d'eux commence à distribuer des cartes. Je dois rester debout les bras le long du corps.

 

Un premier joueur prend une carte et lis la question,les autre doivent trouver la réponse et le premier à trouver la réponse gagne le droit de s'occuper de moi...

La première réponse fuse, le gagnant se lève et vient vers moi, il enlève mon pull puis retourne à table et lis une question, facile, la réponse est immédiate et ma chemise est enlevée par le vainqueur.

Ainsi de suite, ils se lèvent un par un après avoir gagné et m'allège de mes vêtements. Après la chemise, les baskets, les chaussettes, la ceinture et le pantalon.

Je suis en slip au milieu de la pièce, de la table, les joueur fond des commentaires sur mon corps et sur la bosse qui déforme mon sous-vêtement.Si ma bite à une taille normale, plutôt appétissante, mes boules sont par contre très petites et ne remplissent pas le slip, ce qu'ils ne manquent pas de remarquer en rigolant.

 

Le jeu continu, la question suivante trouve une réponse et le gagnant vient vers moi, au lieu e me baisser le slip, il tire dessus de toutes ses forces et le déchire. Je suis surpris par ce geste et, instinctivement je met mes mains devant mon sexe.

Immédiatement, la réaction du joueur est net, il me prend les mains, soulève mes bras sur la tête et avec les lambeaux de mon slip, il attache mes poignets derrière la tête. Je suis donc nu, au milieu de la pièce, les bras en l'air, les rires fusent, la situation leur plait, les commentaires vont bon train, mon hôte annonce que les choses intéressantes vont pouvoir commencer.

Le jeu reprend, une question, une réponse, le gagnant me fait signe de le rejoindre, je me place à coté de lui, il me tâte, me fait tourner sur moi, caresse mes fesses, les écartent pour mater ma rondelle, je dois me pencher en avant pour mieux l'offrir. Puis il me revoit au milieu de la pièce avec une claque aux cul. Les autre rient beaucoup de la tête que la surprise me donne.

A la question suivante je doit, une fois mes mains déliées, me mettre un tablier de soubrette posé sur une chaise, aller à la cuisine et ramener un plateau sur lequel est déposé des boissons, faire le tour de la table et servir mes maîtres. Je m'exécute et sens leurs mains baladeuses pendant que je rempli ma tâche.

Une fois le service fini, j'enlève le tablier et reprends ma place au milieu de la pièce.

 

Un question suivante est posée, le vainqueur se lève et me dirige vers la table à manger, il m'allonge sur le dos puis m'attache les mains et les pieds.

Pendant ce temps, mon hôte prépare la suite du jeu, il revient avec le matériel nécessaire pour continuer mon "dépoilage",  Je vais vite comprendre...

En effet, après la réponse à la question suivante, ils se lèvent tous et le gagnant prend une spatule dans un récipient, c'est de la cire chaude. Il pose sur ma jambe un couche et une bande, la cire me chauffe. Les gars rigole et une violente douleur me traverse lors qu'il tire sur la bande. Il montre au autre mes poils restés sur l'objet de torture.

au fur et à mesure que le jeu continue, mes jambes sont imberbes, mes cris les font rire, ma peau devient écarlate, je n'es pas le temps de me remettre de cette épilation que le suivant étale la bande suivante.

 

Après les jambes, mes maîtres s'attaquent aux bras, la douleur est encore plus vive et me fais me trémousser sur la table malgré les liens ce qui les fit bien rire.

Puis vient le tour de mon torse, de haut en bas, il ne me reste plus que le pubis encore poilu. Un de mes tortionnaire prend une paire de ciseau et commence à débroussailler ma toison, je ne bouge plus car j'ai peur qu'il m'entaille la bite.

La douleur que j'ai ressentie jusqu'à présent n'est rien comparé à l'épilage de mes couilles, petites à l'origine, elles se rétracte encore sous la douleur, mes bourreaux sont plier en deux de me voir me contorsionner.

 

Mon hôte propose une pose, il sort une bouteille de talc, et les huit mains me caressent doucement le corps endolori par le traitement précédent, la douceur me détend et je sens mon sexe durcir sous les caresses. Mes joueur font exprès de ne pas approcher de mon sexe, je bande très fort.

Je suis détaché, autorisé à descendre de la table, je dois placer mes jambes le long des pieds de la table et ils sont immédiatement liés, derrière moi des mains me force à me plier sur la table de tel façon que mon cul est bien offert à leur yeux curieux. Des liens aux poignets sont attachés à l'autre bout de la table et m'empêchent de me relever.

Et commence le supplice de l'épilation du cul, de l'arrière de mes jambes.

 

Une fois le travail fini, je suis debout au milieu de la pièce sans plus un poil, il sont devant moi, me mate, l'un d'eux trouve que mes cheveux viennent gâcher le tableau et il est décidé qu'ils allait remédier à ce problème, je suis mis à genoux, un de mes tortionnaire se colle à moi, j'ai le renflement de sa braguette collé à ma bouche, je vois bien que le traitement qu'ils m'inflige ne ne le laisse pas de glace...

 

Il prend la tondeuse que notre hôte lui propose et commence à me tondre la tête comme un mouton. Je ne vois rien mais je les entends rire.

Un fois la tâche réalisée, un autre prend sa place et me badigeonne le crane de mousse à raser. Je vois apparaître le rasoir et le lent va et vient sur mon crane.

Je suis définitivement nu comme un ver.

Mon hôte propose des rafraîchissements, je dois donc remettre le tablier blanc et recommencer le service.

 

Cette fois ci, il est plus long, à chaque fois que je me place auprès d'un convive pour le servir, celui-ci me retient et me palpe le cul, la bite et les couilles, un doigt fureteur se glisse dans ma raie et me titille la rondelle.

 

Une fois le service fait, je dois me placer sous la table, aller vers chaque convive, ouvrir sa braguette prendre son sexe dans la bouche.

 

Dès les boissons avalées, je sort de la table, je suis replacé au milieu de la pièce à genoux. Un à un ils viennent devant moi et commence à se soulager la vessie, je reçois des litres de pisse sur le corps.

Mon hôte m'apporte une serpillière et un seau, je dois laver le carrelage.

Ensuite, il me donne un chiffon pour nettoyer la baie vitrée, je me tortille devant en observant la vue de centaines de fenêtres en face de moi ce qui me fait immédiatement bander et rigoler mes joueurs.

Pendant ce temps, ils se sont levé et se sont mis à se caresser, s'embrasser tout en se déshabillant.

Ils sont maintenant nu eux aussi, je suis refixé sur la table, le cul bien offert, tour à tour, ils viennent devant moi et me prennent le cul sans douceur, je gémis sous ce traitement.

 

Une fois soulagé, ils se rhabillent et se mettent en rang d'ognions devant moi, mon hôte exige que je me branle devant eux.

 

Une fois joui, je doit nettoyer le foutre.

 Mon hôte me tend mes fringues une à une, les chaussettes, la chemise, le pantalon (le slip étant importable) , la ceinture et le pull.

 

Une fois habillé, il me dit droit dans les yeux : "Dégage d'ici, lopette !!! trou à foutre."

Je prends le couloir et sort de l'appartement sans me retourner.

Dehors, la brise légère sur mon crane rasé me fait frissonner. Je souri et retourne vers le métro content de la réalisation de ce fantasme.

 

Histoire paru chez Cyril, écrite par Adam

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Samedi 25 août 6 25 /08 /Août 07:38

J'étais donc à l'armée au début de mon service militaire. Je venais d'avoir 20 ans et j'étais puceau et encore bien innocent. On me disait assez mignon et j'avais notamment de belles fesses bien cambrées.

Avec mes camarades, tous beaux et sympathiques, nous partagions une chambrée de six. Certains parlaient de leurs expériences sexuelles avec les filles et moi, je me taisais discrètement.

Ce soir là, après l'appel, les mecs de la chambrée (quelques petites bouteilles aidants) me semblaient plus excités que d'habitude. La conversation était au cul. Et Bertrand qui avait probablement des doutes sur moi essayait de me questionner sur mes "expériences" à ce sujet, mais en vain. Et tout d'un coup, Bertrand s'écria: "Et si on bizutait ce petit puceau de Bonny?"

Et avant que j'aie eu le temps de réagir, 4 des mecs de la chambrée me saisirent. Sur le moment je ne me débattais pas, espérant une plaisanterie. "Descendons à la salle de gym," dit Bertrand. À 6, ils n'eurent aucun mal à me transporter à l'étage du dessous.

"Foutez-le à poil," commanda encore Bertrand. Et en quelques instants, mon survêtement, mes chaussettes et mon slip volèrent à travers la pièce. "Attachons-le au portique," dit Vincent, un beau blond pour qui je craquais secrètement. "Et rasons-lui les poils du cul," dit Franck. "Comme cela ce sera à nouveau un petit garçon, un petit puceau," dit Gérard.

Ils m'avaient attaché aux poignets et aux chevilles de telle façon que je me trouve les bras et surtout les jambes bien écartés. Frank revint avec paire de ciseaux, rasoir et mousse. Je me disais que si cela s'arrêtait là, ce ne serait pas désagréable ne tenant pas particulièrement à ces quelques poils et puis les mecs n'étaient pas méchants et semblaient plutôt avoir envie de rigoler.

"Vincent, c'est toi le coiffeur dans le civil alors vas-y," s'écria Frank. Vincent prit les ciseaux et s'attaqua à ma petite toison brune. Les poils tombaient par touffes par terre, puis il attrapa ma bite la souleva pour couper les poils sur les couilles. C'était la première fois qu'un mec me touchait à cet endroit et j'essayais de ne pas montrer mon émotion. Puis Vincent prit la bombe de mousse et commença à me l'appliquer partout y compris dans la raie des fesses. Il en profita alors pour me glisser un doigt dans le trou du cul. Les autres ne pouvaient pas le voir et bien que j'aie apprécié la manoeuvre, je le traitais de salaud. Mais il ne dit rien et se contenta de me regarder dans les yeux avec son petit sourire enjôleur.

Puis Vincent prit le rasoir. "Ne bouge pas sinon je te coupe," me dit-il, "et de toute façon dans 5 minutes tu n'auras plus un poil même si tu bouges." De sa main droite, il me rasa le bas-ventre et les boules, me soulevant mon système 3 pièces de sa main gauche. Je me retenais de ne pas bander.

Quelques minutes après, il s'attaqua à la raie des fesses. Il demanda de l'aide aux autres afin qu'ils m'écartent bien les jambes et les fesses. "Ho, qu'il est mignon ce petit trou," s'exclama-t-il après m'avoir complètement rasé. Il me remit un doigt dedans en disant aux autres: "J'en connais une qui serait bien là dedans." Mais les autres qui regardaient la scène depuis le début commençaient à en avoir assez.

D'ailleurs Gérard proposa aux autres d'aller prendre un pot en ville. "Détachez-moi," leur demandai-je. "Certainement pas," dit Frank. "On va te laisser là et prévenir les légionnaires qui sont à l'étage au-dessus qu'il y a un mec attaché et à poil dans la salle de gym et qu'il a envie de se faire enculer, et comme ça, tu ne seras presque plus puceau," ajouta-t-il. Et il me fit rattacher pas les autres au portique dans une autre position: sur un tapis de sol, à genoux en levrette, les jambes bien écartées. J'étais à la merci du premier mec venu et je commençais à avoir la trouille.

Ils partirent en riant, fermant la lumière et me laissant dans la pénombre. Cinq minutes s'écoulèrent quand j'entendis la porte s'ouvrir et se refermer à clef. Il n'y avait qu'une personne mais je ne pouvais la distinguer. Le mec s'approcha et je ne le voyais toujours pas. Il me caressa longtemps partout, le dos, les bras, les jambes, le ventre et pour finir et encore plus longuement les fesses et mon petit trou et enfin ma bite et mes couilles. Puis il recula et j'entendis un froissement d'étoffes: il se déshabillait.

Sans prononcer une parole, il se coucha délicatement sur moi son corps épousant ma position. Il était chaud et doux, je sentais sa grosse queue bandante sur la raie de mes fesses. Il était plus grand que moi et je sentais son souffle sur la nuque. Il me tourna la tête, je sentis ses lèvres sur ma bouche et il m'embrassa. Je dois dire passionnément puisque je me laissais faire. Peut-être même commençais-je à participer...

Il passa ses lèvres et sa langue sur mon dos et descendit lentement jusqu'aux fesses qu'il embrassa et mordilla. Puis de ses 2 mains chaudes il m'écarta les fesses et me lécha le trou du cul, j'en frémissais de plaisir. Il entra sa langue au maximum et me bouffa littéralement le cul. Inutile de vous dire que j'avais une trique d'enfer. Puis il passa la tête sous mon ventre attrapa ma bite et la mit dans sa bouche. Il me pompait doucement en me caressant le trou du cul. Puis il accéléra le mouvement en me rentrant un doigt dans le fion. Je ne pouvais plus me retenir et m'écriai: "Je vais jouir!" Il ne quitta pas ma bite et pompa de plus belle, son index gauche dans mon cul et sa main droite qui me branlait. Ce fut l'explosion dans sa bouche et à ma grande surprise il ne se retira pas et avala tout mon foutre. Il continua encore quelques instants de me lécher et de me caresser.

Puis il se releva, se mit devant moi et toujours sans un mot, posa sa bite sur mes lèvres. Je ne voyais toujours pas sa tête, mais je voyais bien sa belle tige. Je ne pouvais plus refuser et ouvris la bouche pour le sucer. Il sentait bon et cela était agréable. Mais rapidement, il se retira sans doute insatisfait d'une pipe sans les mains. Puis il vint se positionner derrière moi. Je sentais sa bite raide et encore baveuse se balader dans ma raie des fesses. Bien qu'aillant un peu peur de ce bel engin et à l'idée que j'allais y passer, je lui dis: "Baise-moi, encule moi... s'il te plaît."

Je sentis alors son gland qu'il positionna sur mon trou du cul. Puis il appuya d'un coup sec et entra brutalement. Il m'avait tellement léché et préparé que je n'avais pas mal. Je me sentais seulement coupé en deux par ce gros bâton. Il prit le mouvement de va-et-vient, ressortant presque parfois pour mieux rentrer brutalement à fond. Il haletait et poussait de petits grognements. Sentant une douce torpeur dans mon cul, je gémissais de plaisir. Il accéléra encore le mouvement et se bloqua au fond de mon cul. Je l'entendis jouir et je sentis même son sperme chaud qui coulait dans mon ventre.

Et voilà, j'étais baisé, j'étais un "enculé". Mais que c'était bon. Il se retira doucement et s'allongea sur moi en m'embrassant. C'est là que je l'ai reconnu. C'était Vincent. Je lui dis: "Ça va Vincent? Je t'ai reconnu tu sais." "Oui mon petit Bonny," me dit-il. "Mais je croyais que tu m'avais reconnu tout de suite..."

Il me détacha doucement en m'embrassant. Je restais à terre et il se coucha à côté de moi sur le matelas de gym. Il me dit que j'étais son "petit mec" et me dit encore qu'il me baiserait tous les jours. J'en profitais pour découvrir le reste de son corps et nous fîmes encore un petit câlin avant de remonter discrètement dans la chambre.

Et pour les lendemains, c'est une autre histoire...

 

Texte paru sur gaieros, ecrit par Michel

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 09:12

De passage à Vienne où je venais voir un copain, nous avons visité sa ville; naturellement, nous sommes passés dans les coins chauds. Comme il voulait me faire un cadeau, il m’a emmené dans un sex-shop qu’il connaissait. C’était uniquement pour homme.

Il m’a demandé de choisir une petite culotte sexy et un peu fendue. Lui connaissait le patron, il lui demanda si je pouvais essayer en cabine, pas de problème; je vais me faire accompagner en cabine. Il appelle un vendeur qui m’emmène dans la cabine. Pendant ce temps, mon copain choisissait du matériel pour une petite fête.

La cabine était grande avec un divan. Le vendeur entra avec moi dans la cabine, je lui dis que cela pouvait aller mais il est resté et comme c’était un solide gars bien bâti à la peau très noire, je n’ai rien dit. J’enlève mes vêtements, me voilà nu. Le noir me regardait avec insistance, j'ai vu la bosse dans son short augmenter de volume; il devait avoir une sacrée queue! J’enfile une petite culotte. Comme elle était un peu serrée, il vient m’aider à la remonter. Je sens ses mains puissantes sur mes fesses, je commence à bander. Ma queue est près de sa bouche, il se met à me sucer. Je suis si excité que je jouis dans sa bouche.

Il me dit: "Sors et va montrer à ton copain!" Me voila dans le magasin, à poil, avec une petite culotte fendue sur les fesses. Comme il y avait pas mal de monde, j’étais bien regardé. Mon copain me dit:

— Tu aimes?

— Oui, je réponds.

— Tu veux en essayer d’autres et quelques accessoires?

— Pas de problèmes.

— Ali te les passera.

Nous voilà repartis dans la cabine. Ali avait dans les mains une guêpière, des bas et des boîtes.

Je mets la guêpière, les bas et en m’habillant, je sens son sexe dur contre moi. Il me dit: "Tiens, suce!" et là, il sort une grosse matraque noire de 25cm de long et très épaisse. Je ne peux la prendre en bouche alors je le tète; il aime, il en profite pour me doigter le cul qui est déjà bien mouillé, puis il me retourne à quatre pattes sur le divan, me crache dans le cul qu’il a ouvert et pose la bite sur mon trou et s’enfonce d’un coup à fond. Je crie si fort que le rideau de la cabine s’ouvre et mon copain me dit: "Sois gentil, ne crie pas. Tu verras, il est très bon..." et il s’en va en laissant le rideau ouvert. Tout le magasin défile devant moi pour voir Ali en train de me défoncer comme une pute. Il décharge enfin, mon cul est resté ouvert à sa sortie. Là, un gars vient et lèche le sperme qui sort de mon cul; j’adore! Puis Ali m’enfile un plug énorme de 10cm de large et me dit: "Tu le gardes jusqu'à ce soir." J’ai un peu de mal à marcher. Me voici dans le magasin en guêpière avec un plug énorme dans le cul et tout le monde qui me tripote. Mon ami me demande à l’oreille:

— Tu es content?

— Super, je peux m’habiller?

— Non, dit-il.

On change de magasin, je passe dans un couloir, il y a du monde; un gars avec des chiens et d’autres qui nous suivent.

— Nous voici dans un bordel!" me dit-il. "C’est là que les maîtres emmène leur pute ou petit ami pour les donner en spectacle - et en pature je dirais - aux clients. Aujourd’hui, ils sont tous là pour toi. Ali t'a preparé donc tu ne refuses rien;

— Ok, dis-je.

Ali revient, il m’emmène sur une croix en X et m’attache puis la croix se couche et me plie en deux, les fesses dégagées, et le bal commence. Des queues dans la bouche qui déchargent des flots de sperme, le plug a été enlevé par Ali qui m’a enfilé encore mais là, sans mal tellement j’étais ouvert. D’autres viennent pour faire pareil. Un gars me dit:

— Tu aimes? Donne-toi bien, je te filme pour ton copain.

Puis on me détache et je sens une truffe de chien qui lèche mon cul. C’était ceux de l’homme. C’est très bon cette langue râpeuse qui entre dans mon cul; quel bonheur! Nous marchons encore dans une autre pièce. Là il y a un tréteau avec des attaches. En bas, Ali m’installe à plat-ventre, plié en deux. Il me dit: "Tu vas te régaler." Je sens une odeur forte d’animal. Il enfourne sa matraque dans ma bouche, il me pisse dedans puis il m’arrose dans une douche dorée très chaude.

Là, je sens encore la truffe d’un chien me lecher le cul. Enfin je ne sais plus ce que je suis tellement je jouis. Puis le chien montre sur moi, guidé par son maître et il m’encule comme sa chienne et après, le deuxième chien vient et il m’encule aussi. Son sexe et très dur et gros et au moment de jouir, il donne un dernier coup de rein et sa boule me fend le cul et il reste collé à moi au moins une demie heure. Puis il décule, le sperme coule de mon cul. Tout le monde applaudit autour de moi. Quelques-uns viennent et se branlent sur moi, beaucoup pissent dans mon cul beant.

Puis, toujours attaché, j’entends un bruit de sabot et je vois arriver un cheval, un magnifique étalon. Il s’arrête devant moi. Ali le caresse sous le ventre, je vois sa queue énorme s’allonger et Ali me dit: "Regarde ton nouvel amant!" Il carresse sa queue. "N’aies pas peur, je vais te préparer..." Puis il passe la queue du cheval sur ma bouche. "Tète!" me dit-il. "Tu verras, c’est très doux." Je passe ma langue sur la queue, elle sent fort mais c’est très doux. Ali me détache une main et dit: "Vas-y, tu le branles et tu tètes." Je m’exécute et le cheval apprécie. Il est un peu nerveux puis sa queue se tend et il m’inonde de sperme. J’en ai partout! Pendantce temps, Ali lui, m’enculait à fond.

Il m’a enduit le cul de graisse épaisse puis il est venu chercher l’animal. J’étais à la bonne hauteur. J’ai senti le bout dur de sa queue sur mon trou. Je pensais à m’ouvrir. Je pousse sur mon cul, ce qui fait sortir mes lèvres et la queue est en contact avec moi. Ali me dit: "Tu es prêt? Ok vas-y!" L’animal s’enfonce d’un coup dans mon ventre. Il est entré au moins 20cm! Ali me demande si ça va, je jouis déjà, il le voit! Il pousse un peu l’animal qui entre encore dix à quinze centimètres. Je suis fendu en deux! Puis il s’active à la vitesse supersonique, je sens son gland se gonfler et il lâche un flot de sperme dans mon cul. Quand il se retire, un jeyser de sperme sort de mes fesses alors là, c’est la ruée! Tout le monde veut goûter le sperme du cheval sortant de mon cul. Certains en ont profité pour vider leur vessie, mon cul était tellement ouvert qu'ils pouvaient se mettre à un mètre, le jet entrait dans mon trou!

Mon copain est venu me chercher. "Alors, tu es content? Au fait, nous sommes invités dans un haras dans trois jours et comme tu aimes les étalons, j’ai dit oui." Il me sort un plug énorme comme la queue du cheval. Il me dit: "Penche-toi, c’est un cadeau du patron de la boîte!" et il m’enfile le gode de 25cm sur 10 et j’ai dû rentrer avec chez lui; pas facile mais tellement bon!

 

Article paru sur gai-eros, ecrit par Luc4

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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