Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 06:11

Part I

Étant jeune, j’étais souvent seul et livré à moi-même. J’habitais un petit village du Finistère et les jours où il n’y avait pas école, je me retrouvais à battre la campagne. Adolescent, j’avais commencé un CAP qui avait été interrompu suite à un accident. Sorti d’affaire, dans l’attente d’un second apprentissage je me trouvais désœuvré et retrouvais les chemins que je connaissais si bien.

J’avais un jeu que j’affectionnais que je nommais l’exposition. C’était un jeu d’exhibition simple et peu risqué. Je me faisais à moi-même des petits paris du genre « chiche que je reste une minute sur le carrefour avec le slip baissé ». Les routes de la régions étaient relativement peu fréquentées, ces paris ne présentaient pas de grands risques, mais étaient toutefois suffisant pour m’exciter.

Ce jour là, l’air était doux, ce devait être en octobre ou novembre. J’avais repéré un talus où l’herbe était coupée, un talus qui semblait accueillant pour un exposition. Il était situé à peu prés au milieu d’une ligne droite de près de deux kilomètres sur la route de Quimper. En voyant ce talus, je m’étais donné le défi de revenir à la nuit tombée et d’y exhiber mon cul pendant cinq minutes.

Me voici donc le soir sur la route en question. La nuit est claire, il n’y à pas une voiture, pas un chat, ça semble facile. Il me vient à l’esprit que, quitte à faire une exposition, autant la faire bien. Je rentre dans un petit bosquet d’arbres voisin de l’endroit que j‘avais repéré et je me débarrasse de mon jean et de mon slip que je laisse soigneusement au pied d’un tronc. Je reviens vers la route toujours déserte et rejoins en courant mon coin d’exposition. Je m’allonge sur l’herbe cuisses légèrement écartés de manière à ce que mon postérieur soit bien visible de la route. Cinq minutes, top chrono !

Je suis là depuis un peu plus d’une minute quand un bruit de moteur se fait entendre au loin. Mince ! Je décide de rester : un pari est un pari. Bientôt en me retournant, je peux apercevoir au loin le halo des phares de la voiture qui s’approche dans la série de tournants qui précèdent la ligne droite où je me trouve. Elle vient de l’arrière, le conducteur ne pourra pas ne pas voir mon postérieur. J’hésite mais je décide de tenir. Peut-être qu’il regardera ailleurs...

La voiture arrive dans la ligne droite et bientôt les premiers reflets des phares apparaissent autour de moi, puis le talus s’éclaire de plus en plus, la voiture semble rouler vite, ça me rassure et je me dis qu’elle ne s’arrêtera pas, le chauffeur ne me verra peut-être même pas. La voiture passe à ma hauteur très vite, je me dis que c’est gagné, mais à peine une seconde après, je vois les feux stop qui s’allument, la voiture freine et s’arrête à environ 100m devant moi... juste devant le petit bois où sont mes vêtements !

J’abandonne mon pari et me laisse glisser vers l’arrière du talus, coté champs, je longe vers le bois en courant baissé, la nuit, la hauteur du talus qui est de plus planté d'arbres doivent suffirent à me cacher de la route, je rentre entre les arbres du bosquet et, abrité par l’obscurité je vais jusqu'à mes vêtements. Je distingue la voiture sur la route. J’enfile mes vêtements à tâtons quand j’aperçois la silhouette de l’homme qui revient vers sa voiture.

Je me fais plus petit, il vient de la direction du talus où j’étais. Pendant que je courais côté champs, il devait aller vers l’endroit où il m’avait aperçu. Rhabillé, j’attends que l’homme parte. Je le vois qui regarde le bois. Puis voilà qu’il appelle une fois deux fois, sa voix se veut rassurante, il n’est pas en colère au contraire, mon exhibition semble l’avoir excité. Je distingue seulement sa silhouette au bord du bois, mais à la position de ses mains, je devine qu’il a dû sortir sa bite. Et là, malgré ma crainte et mes hésitations, je sors de ma cachette et me dirige vers lui.

C’est un homme d’âge mûr, qui pourrait largement être mon père. Contrairement à ce que j’avais cru, il n’est pas en train de se masturber, son pantalon est fermé. Il va me dire que je suis un très beau garçon, me tâter la bite et les fesses, je n’ose bouger. Il me demande de baisser mon jean pour lui montrer encore mes fesses, tel un automate, je m’exécute. Il me descend mon jean jusqu’aux chevilles et m’attire à lui, me caresse mes fesses d’une main, la joue de l’autre, il relève ma tête et m’embrasse. Je suis excité, il le remarque et me propose d’aller chez lui. Voyant que j’hésite, il me dit qu’il me ramènera chez moi, qu’il va me faire du bien etc... finalement j’acquiesce.

À ma grande surprise, il va alors me soulever dans ses bras et me déposer sur le siège passager de la voiture avec mon pantalon aux chevilles. Il ferme ma portière et monte à son tour. Il m’explique que chaque fois que je viendrais dans sa voiture, il faudra que je sois comme ça, je suis surpris, je dis rien. Je me souviens c’était que c’était une Renault 15 et que je trouvais qu’il roulais vite. Pendant la route il m’interroge, qu’est-ce que je fais, où j’habite, à l’époque je vivais avec ma mère, je réponds docilement à ses questions.

On arrive chez lui, une maison dans les environs de Quimper, il me demande de laisser mon pantalon dans la voiture. Je m’exécute et c’est cul nu que je monte les marches du perron et entre dans la maison. Là il m’amène direct dans la chambre et me demande de me foutre complètement à poil. J’enlève mon Tshirt et mes tennis que je jette dans un coin. Je le revois me regardant le sourire aux lèvres, il était plus grand que moi bien plus costaud et devait avoir 45 ou 50 ans. Une fois que je suis nu, il va m’attirer et m’embrasser en me caressant comme il l’a déjà fait dans le bois.

Puis il me demande de le déshabiller. Ce que je fais. Lentement suivant son désir. Je n’ai jamais vu de bite, à part ma mienne bien sûr, mais celle la est d’une taille au-dessus. Il va me demander de le branler, elle est chaude et douce. Il me demande si j’ai déjà suçé, je lui réponds que non, il me dit que je vais apprendre et me demande de lui embrasser le gland. Alors que je le fais, il va me saisir par les cheveux et me contraindre à avaler sa bite, là il va me montrer comment téter la bite, en aspirer le gland, en bref j’ai mon premier cours de fellation appliquée.

Une fois que ça lui suffit, il va me demander de mettre à quatre pattes sur le lit car il est temps pour lui de s’occuper le mon cul. Il me fait prendre la position, tête sur le matelas, mains derrière la tête, genoux écartés et hanches cambrées. Là il va me doigter, c’est si bon que je vais me mettre à gémir. Il apprécie et m’encourage à continuer. Il va tant et si bien faire qu’après m’avoir lubrifié il va réussir à me sodomiser, en me faisant gémir de plaisir, il va jouir dans mon cul, puis me plaquer contre lui en me branlant jusqu'à ce que je jouisse à mon tour, c’était ma première éjaculation, ma première jouissance, une véritable extase. Je l’entoure de mes bras, il va m’embrasser, il est très gentil, viril, protecteur. Il a vu mon état, il sait qu’il peu me demander ce qu’il veut, que je suis conquis, que je suis à lui.

Il me demande de rester nu et nous sortons de la maison. Encore, il va me porter dans la voiture. Il est tard il me ramène chez moi, je reste nu tout le long de la route, heureusement il fait nuit. Il s’arrête à deux maison de chez moi, en plein bourg. Il me tend mes vêtement en me disant que je pourrai les mettre une fois sorti de la voiture, pas avant ! Puis il me dit qu’il viendra me chercher le samedi suivant, on était jeudi, ça faisait dans deux jours. Il viendra me chercher à 21h, j’avais intérêt d’être à l’heure sans quoi ma mère saurait tout. Bien sûr la menace est convaincante, mais inutile car je serais venu même sans ça.

Le samedi suivant à 21 heure je suis à l’endroit convenu. Oh oui, il est venu me prendre à l’heure, mais j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait, et de ce qui m’attendrait plusieurs samedis par la suite. 

 

Part II

Le samedi suivant, je suis à l’heure prévu au rendez-vous. La Renault 15 ne tarde pas à arriver. L’homme dont je ne connais toujours pas le nom arrête sa voiture devant moi. Il est 21h, il fait nuit, je me souviens bien de ce qu’il m’avait dit le jeudi avant. Je regarde autour de moi, la rue est déserte, je baisse mon pantalon, j’ouvre la portière et je monte dans la voiture. L’homme à un sourire amusé, nous partons et à peine sorti du bourg, il me demande d’enlever complètement mon pantalon et de me foutre à poil. Il a mis le chauffage dans la voiture et c’est sans peine que je m’exécute. Il va me demander de le sucer a travers son pantalon, ce que je fais du mieux que je peux, je sens son sexe qui grossit. Je vais devoir, sous ses ordres, le sortir du pantalon, le lécher puis le prendre en bouche; à chaque fois je m’exécute. Il se penche parfois et je sens sa main qui va effleurer mon cul, mon anus, ce qui va me faire gémir de ravissement.

Au bout d’une dizaine de minutes on arrive. Il va relever ma tête et m’embrasser en me tenant les mains contre mes joues, il va me demander de garder la bouche entrouverte, embrasser mes lèvres, les lécher, son visage est juste devant le mien.

— T'es une bonne salope ? puis d’une voix plus autoritaire: Réponds !

— Oui .

— T'aime les hommes ?

— Oui.

Il va encore embrasser mon visage puis:

— T'aimes être baisé ?

— Oui.

Puis il me demande d’attendre, le temps d'entrer la voiture dans son garage. Une fois fait et le portail du garage refermé, il ouvre la portière, me fait sortir nu de la voiture et reprend ses questions. Elles sont embarrassante mais je comprends qu’il me faut répondre oui.

— T'aimes obéir ?

— Oui.

— Tu vas être ma petite esclave sexuelle ?

— Oui.

Il m’indique l’escalier qui mène vers le rez-de-chaussée.

— Monte, la pute.

Je commence à monter, il m’emboîte le pas et je sens sa main qui touche mes fesses. Il me demande de m’arrêter au milieu de l’escalier, je sens qu’il écarte mes fesses et me lèche l’anus. C’est trop bon ! Puis il introduit un doigt dans mon anus mouillé et m’ordonne d’avancer. Je finis de monter l’escalier et je débouche dans sa cuisine. Il tient mon cul dans sa main et me fait avancer, je crois qu’il veux me guider jusqu'à la chambre mais non, il me fait faire le tour de la cuisine.

— T'aimes ça être mené par le cul ?

— Oui.

— Tu m’appartiens, tu va être ma femelle petite salope!

Me laissant là, il se retourne et ouvre un placard d’où il sort un sac plastique.

— J'ai pensé à toi.

Il va sortir un porte-jarretelle noir qu’il va me demander de mettre. Je m’en saisis maladroitement si bien qu’il va me guider pour le mettre correctement en me disant que j’ai intérêt à apprendre vite, puis des bas noirs que j’enfile et que je fixe sans trop de difficultés. Puis il me fait asseoir sur la table et m’enfile des chaussures à talons hauts. Il me demande de me mettre debout. À ma grande surprise, les chaussures sont confortables. Il me demande de tourner sur moi-même et insiste pour que je cambre les fesses, ce que je m’applique à faire. Il semble satisfait. Il sort un corset rose qu’il va me serrer lui même autour de la taille. Pour finir, je devrai enfiler une jupe courte plissé à carreaux noirs et blancs. Il me demande de marcher autour de la table, ce que je m’applique à faire en cambrant les reins. Le résultat semble lui plaire, moi qui n’ai jamais porté de vêtements féminins, je ne me sens pas très à mon aise.

Il m’attire à lui et m’embrasse en me caressant les fesses sous la jupe quand le bruit d’une voiture qui s’arrête se fait entendre dehors. Il jette un oeil vers l’horloge pendue au mur de la cuisine. « Pile à l'heure ! » Il me prend fermement par le bras et m’emmène dans la salon, je suis surpris et troublé, il le remarque.

— T'inquiètes pas, je les connais bien, je vais te présenter, ils sont pas méchants. Sois bien obéissante, mouille tes lèvres, garde les entrouvertes et tu verras ça va te plaire !

À peine a-t-il fini de parler que ça sonne à la porte, il me laisse planté là et va ouvrir. J’entends des voix masculines, des rires, il accueille ses potes. La porte du salon se rouvre, il rentre suivi de ses copains qu’il invite à s’asseoir dans le canapé puis il se place derrière et contre moi et me prends les bras fermement au-dessus des coudes.

— Mes amis, je vous présente ma nouvelle pute. Pour l'instant ses ordres sont simples : nous faire bander et recueillir notre semence. Mais d'abord comment allons-nous l"appeler ? Il lui faut un beau nom de pute !

— Sonia, elle à une tête à s'appeler Sonia.

Celui qui à parlé est un grand noir, j’apprendrai plus tard qu’il est martiniquais, à côté de lui sur le canapé un gros homme aux cheveux dégarnis tire sur un cigare et enfume la pièce, il acquiesce de la tête à l’idée de son voisin. Tout deux semblent avoir, comme mon hôte qui me tient toujours les bras, entre 40 et 50 ans. Enfin je tourne le regard vers le troisième homme qui à opté pour un fauteuil, avec ses cheveux blanc en brosse, son allure mince et sec parait un peu plus âgé que les autres, la soixantaine dépassé. C’est lui qui prend la parole et confirme que je serai nommé Sonia. Là-dessus, mon mon maître m’attire vers la chambre. Il m’arrête à deux pas de la porte.

— Bon, écoute bien, je répeterai pas !

— Oui .

— Commence par mouiller tes lèvres, je t'ai dit de les laisser entrouverte, et elles doivent rester mouillées. Passe ta langue dessus !

Je m’exécute.

— Tu vas rester ici et attendre gentiment mes amis et tu feras tout ce qu’ils te demanderons tu as compris ?

— Oui.

— Quand un aura fini avec toi, tu te remettras ici en attendant le suivant compris ?

— Compris.

— Bien. Appuie toi mains contre le mur et cambre bien les fesses pour montrer que t’es offerte.

Je m’exécute.

— Quand ils entreront, tu leur diras : 'Je suis Sonia la salope d'Alain. Je suis toujours excité et je suis à votre disposition!"

J’ai répété et il a eu l’air satisfait, il m’a demandé de faire aussi bien qu’avec lui et il m’a laissé là. J'ai attendu, appuyé contre ce mur, tandis qu’ils discutaient dans le salon en sirotant leur verre. Je veillais à passer régulièrement ma langue sur mes lèvres que je gardais entrouvertes comme il m’était demandé. Enfin, au bout d’un temps qui me sembla long, un pas se fit entendre derrière moi. C’était le petit gros. Je l’accueillais avec la phrase convenu, soulagé de constater qu’il n’était pas venu avec son cigare. Il ouvrit la porte de la chambre et me fit entrer. Il tourna autour de moi comme on tourne autour d’un bétail avant de l’acheter.

— T'es une vrai salope, c"est incroyable ! Alors comme ça t'aimes t'exhiber sur la bord des routes ?

— Oui.

— Humm, t'as bien raison ! Tu vois, si tu ne le faisais pas, tu ne serais pas là ce soir et on n'aurait pas de putain à baiser !

Il s’arreta devant moi.

— Tu sais pourquoi je suis le premier ?

— Non.

— Simple ! On t'a tiré au sort et j'ai gagné.

Il passe derrière moi et soulève la jupe.

— Mais t'as pas de culotte cochonne ! Pourquoi t'as pas de culotte ?

Je peux pas lui dire que mon maître ne m’en a pas donné.

— Je sais pas.

— Vraiment ?

L’homme à sorti sa bite. Elle est de taille moyenne, il est en érection devant moi et se masturbe.

— Mais si tu sais. C'est pour te faire sauter plus vite petite truie ! Allez ! Suce-moi, cochonne !

Là-dessus, il m’attrape par les cheveux et tire vers le bas, je m’agenouille et reçois sa bite dans sa bouche, je n’ai pas à le sucer très longtemps, il appuie sur ma tête pour l’enfoncer à fond et je sens le foutre chaud jaillir au fond de ma bouche. Il m’ordonne d’avaler, ce que je fais.

— Pas à dire, t'es une sacrée cochonne toi, je reviendrai, on a tout notre temps. Je reviendrai la pute.

Là-dessus, il me met deux petites claques sur la joue et sort. Je me relève et reprends la posture convenue à l’entrée de la porte. Je suis un peu déçu de pas avoir été baisé. J’ai pas à attendre longtemps c’est le noir qui arrive, je sors ma phrase d’accueil, il ouvre la porte.

— Allez, en piste !

Il me met une claque violente sur les fesses. La brûlure soudaine m’arrache un cri.

— Je sais que t'es une pute, tu seras montée par des mâles seulement si tu le mérites.

Il m’attrape par les cheveux et m’attire vers le lit, il me fait allonger sur le dos, la tête au bord du lit. Il sort sa bite, me fait ouvrir la bouche et me l’introduit. Ma tête est coincée contre le bord du lit. Il me pince les tétons, ça fait mal, je tente de les protéger de mes mains, ce qui me vaut une engueulade.

— C’est quoi ça ? Les putes ça obéit ! La seule chose que t’as le droit de dire c’est oui et encore ! Enlève tes mains ou je te les attache. T’as compris ?

Avec sa bite coincée dans la bouche, je ne peux répondre, je tente d’acquiescer pour lui faire comprendre que j’ai compris.

— Lève tes jambes que je vois ton cul !

Je ne comprends pas bien ce qu’il veut, je ramène mes genoux vers ma poitrine, je sens qu’il m’attrape le pied gauche par le talon de la chaussure.

— L’autre, dépêche toi !

Il me bloque les deux jambes sous ses aisselles. La jupe est retombée, mon cul est à sa merci. Il va m’appliquer quelques claques, me malaxer les fesses puis les écarter avant de me cracher sur la raie, et de me doigter.

— C’est vraiment un cul de pouffiasse ! Un bon cul public ça hein, et t’aimes ça salope ! J’arrête, tu serais capable de jouir.

Il relâche mes jambes, c’est vrai que j’adorais ça. Dommage que ça dure pas. Pour finir il ressort sa bite et se masturbe dans ma bouche. Je dois avaler le sperme pour la seconde fois de la soirée. Il part, je reprends ma place et j’attends de nouveau. Après quelques minutes le troisième homme arrive, je prononce la phrase d’accueil.

— Tu devrais dire la putain, parce que c'est ce que tu es, une putain.

Je suis toujours appuyé contre le mur, il soulève ma jupe

— Et t'as même pas de culotte. C'est quoi ça de se promener sans culotte ?

Il glisse deux doigts dans ma bouche entrouverte et m’ordonne de sucer, de l’autre main il relève ma jupe et la coince dans la ceinture, sa main s’abat sur mes fesses et m’arrache un cri.

— Tais toi chienne et bouffe.

Il m’introduit un troisième doigt dans la bouche, attrape ma joue et tire vers le bas pour me faire pencher sur sa cuisse, il me bloque et de l’autre main il commence à me doigter.

— Mais t’es toute mouillée en plus ! C’est pas vrai mais t'es une vraie putain, c'est pour ça que tu te donnais en public sur la route hein ! Toi c’est en public qu’on te baise, allez sur la table à quatre pattes !

Sous le regard des trois autres hommes, il me ramène vers le salon et me fait monter sur la table de la salle à manger voisine. Jupe troussée, il me doigte et mord mon cul.

— T'es faite pour ça, te prendre des bites, des kilomètres de bites parce que t'es une pute !

Je vois mon maître qui se lève, il glisse quelques mots à l’homme et ils se dirigent vers la cuisine pour ce que j’imagine être une explication. Les deux autres font mine de m’ignorer et continuent de siroter leur whisky en discutant. Ne sachant que faire, je reste là, à quatre patte sur la table. Au bout d’un moment mon maître et "le vieux" réapparaissent dans le salon.

— Descends de là, enlève ta jupette et viens un peu nous voir ici à quatre pattes.

Je descends de la table, me mets à quatre pattes et je me dirige vers les hommes dans le salon. C’est le noir qui sort le premier sa bite en érection de son pantalon, je m’approche et commence à sucer tandis que je sens une main commence à me doigter le cul.

— Petite truie je vais te sauter comme tu aimes.

— Oui, mais la petite truie ne fait pas ce qu'on lui dit ! Je sais pas si elle mérite. Alors on t'as fait un petit contrat que tu vas signer tout de suite !

Mon maître pose alors une feuille manuscrite sur la table du salon. Je lâche la bite du noir et je lis rapidement : « Moi Sonia la salope déclare appartenir aux maîtres Alain, Jean, Bernard et Jonathan et vouloir de mon plein gré réaliser tous leurs caprices. » Je prends le stylo que me tend mon maître et je signe Sonia à l’emplacement désigné par mon maître dans le bas de le feuille.

Sitôt fait le noir me prend par les cheveux pour se faire sucer de plus belle tandis que le petit gros entreprend de me sodomiser pour mon plus grand plaisir. Je constate que mon maître à sorti son instamatique et commence à prendre des photos. Finalement le gros jouit dans mon cul puis le black va me demander de m’asseoir sur sa bite. Maître Alain continue de prendre des photos. Finalement, pour ce premier samedi, je me souviens qu’ensuite je suis resté un bon moment allongé sur le dos les jambes par-dessus les épaules tandis que les bites se succédaient dans mon cul et dans ma bouche. Je répondais oui à toutes les questions et exécutait leurs désirs aussi bien que je pouvais. Si je craignais qu’en leur déplaisant ils ne deviennent désagréables, voire violents à mon égard, d’un autre côté le fait de savoir que je les faisais bander était aussi très excitant et me plaisait beaucoup. Il faut dire ce qui est, ils ne s’étaient pas trompés: j’adorais ça.

Des samedis, il y en aura d’autres, humiliants, excitants, la peur d’être dénoncé mêlée à l’excitation fera que je ne refuserai pas les rendez-vous fixés. L’histoire aurait pu durer encore longtemps, mais le destin s’en mêlera et quand je serai amené à quitter ce village, la main-mise que ces hommes avaient sur moi disparaîtra naturellement.

 

Part III

Cette fois là mon maître m’avait donné rendez vous un lundi à midi. Il m’avait dit qu’il ne viendrai pas me chercher chez moi mais de l’attendre sur la route, à l’endroit de notre première rencontre. L’heure était déjà passée, et je commençais à me demander s’il ne m’avait pas posé un lapin lorsque je vis la Renault 15 marron arriver. Je fus surpris de voir que maître Jonathan l’accompagnait.

Ce dernier descendit et me fit monter à l’arrière de la R15 deux portes. Maître Alain se contenta d’avancer la voiture et se gara sur le bord du petit bois. Si l’endroit paraissait discret la nuit, là en plein jour, pas possible de ne pas être vu de la route. Après quelques banalités d’usage dans le genre « ça va ? », « t'es bien chaude », Maître Alain se retourna et avisa mon jean que j’avais gardé et me rappela qu’en sa présence, où que ce soit, je devais me défroquer, à moins qu’il ne me dise le contraire.

Tandis que j’enlevais mes baskets, mon jean et mon slip il me rappela le contrat que j’avais signé. Je répondais par oui et à sa demande je formulais mon état de pute et mon appartenance totale aux désirs de mon maître. Ce qui me valut un « bon ! on verra ! » qui me déçut.

À ce moment Jonathan ouvrit la portière et me fit monter à l’avant, entre les deux sièges. Je m’asseyais tant bien que mal, une cuisse sur chaque siège, le cul dans le vide. Jonathan s’installa contre moi et ferma la portière.

— Occupe toi de nos bites !

Coincé entre les deux hommes, je n’avais pas beaucoup de liberté. Je tendis les mains vers les ceintures des pantalons et entrepris de les déboucler, la tâche n’était pas aisée. Maître Alain prit ma main, la bloqua sous sa cuisse et m’attrapa à la gorge.

— Il va falloir faire mieux que ça si tu veux mériter ton titre de salope !

Maître Jonathan avait sorti sa queue, je commençais à le branler. Je sentais la main de maître Alain serrer petit à petit mon cou. Il m’ordonna d’ouvrir la bouche et alors que je m’exécutais, il me cracha dans la gorge ! Je voulus dire non mais je n’en eus pas le temps, une claque appuyée tomba sur ma joue.

— Tais toi t’as rien à dire, t’es qu’une merde ! Ouvre la bouche je te dis !

Je sentais que Maître Jonathan avait attrapé mon poignet, et me le tournait paume vers le haut, il le tira entre ses jambes et, tout en le coinçant posa ses bourses sur ma main.

— Caresse et doucement et gare à toi si tu me fais mal.

J’étais coincé. Je caressais aussi bien que je pouvais les couilles du martiniquais en gardant la bouche ouverte, mon maître, qui tenait toujours mon cou cracha encore deux ou trois fois dans ma gorge puis sur mon visage. Je sentais le prise du cou qui se resserrait en permanence, je commençais à manquer d’air et la brûlure de la claque se faisait de plus en plus sentir ! Je pris conscience du changement radical d’ambiance par rapport aux deux fois précédentes. Je ressentis l’envie de pleurer et les larmes me montèrent aux yeux. Je vis mon maître sourire, ça semblait lui plaire. Il lâcha enfin mon cou et passa la main sur mon visage, mélangeant l’humidité de ses crachats et de mes larmes.

— Ouvre la bouche !

J’ouvrais.

— Plus grand !

Je m’efforçais d’ouvrir la bouche le plus grand possible, j’avais le regard brouillé par les larmes et la salive, je sentis des doigts entrer dans ma bouche et sur son ordre j’entreprenais de les sucer. À ce moment la portière s’ouvrit et Maître Alain me relâcha. Je me rendis compte qu’une autre voiture s’était garée devant nous. C’est celui qui se prénommait Jean, pour moi Maître Jean, qui venait d’arriver. Il se tenait à la portière. Je ne comprenais pas. Ainsi ils s’étaient donnés rendez-vous tous les quatre? Je me demandais s’ils comptaient me refaire le même plan que le samedi de la semaine avant. Jean paraissait content. Je me souviens de son exclamation :

— Ça a marché ! C’est bueno bueno ! Allez !

Je vis qu’il retournait vers sa voiture, mais la poigne d’Alain me reprit le cou et me repoussa la tête en arrière. Je ne voyais plus que le plafond de la R15.

— Maintenant tu vas te foutre à poil et t’as intérêt à faire ce que je te demande ! Quand tu seras à poil, j’aurai une bonne nouvelle pour toi.

J’enlevais ma veste, mon pull et ma chemise. Les voitures avaient redémarré, nous roulions sur les routes de campagne. Jean et Bernard nous suivaient. Alors que je venais de finir de me mettre à poil, nous nous arrêtâmes, le coin était isolé. Qu’est-ce qu’ils avaient en tête ? Quel était cette « bonne nouvelle » qu’ils devaient m’annoncer ? Jonathan me fit sortir de la voiture en me prenant par les cheveux et m’agenouilla sur l’herbe du bas côté, les quatre hommes m’entourèrent et mon maître m’ordonna d’ouvrir la bouche. Ils commencèrent à me cracher dans la bouche un par un, puis à me donner des claques de plus en plus fort, je voulus mettre la main sur mon visage, mais mon maître m’attrapa fortement par le nez, me fit ouvrir la bouche et y introduisit la main.

— Tes mains servent à branler des bites, c’est tout ce que je veux les voir faire, si elles font autre chose, je te le attache, compris ?

Le présence de sa main dans la bouche m’empêchait de parler, j’agitais la tête dans le sens d’un oui pour lui faire comprendre que je serais sage. Je m’étais remis à pleurer sous le brûlure des claques, et l’inquiétude qui ne me quittait pas. Alain enleva sa main de ma bouche et saisit mon cou des deux mains, il eut un mouvement rapide d’étranglement et de rotation qui me fit émettre un gargouillis et baisser la tête.

— Lève la tête et ouvre la bouche bon sang !

Je m’exécutais. Je me souviens qu’ils avaient sorti leur bites et que main levée, je devais en branler deux, j’ignore lesquels, j’avais fermé les yeux, avec les larmes et les crachats je ne distinguais rien de toute façon. Les bites passaient sur mon visage, je sentais leur odeur chaude, des glands me tapaient les lèvres, les yeux, les joues, parfois une bite ou un doigt entrait dans ma bouche, par réflexe je fermais les lèvres et me mettais à sucer, ce qui provoquait des approbations et des réflexions sur ma nature de salope et de chienne. Mais le pire, plusieurs fois des mains sont passées autour de mon cou, toujours ce mouvement de rotation si douloureux, je me demandais si j’allais encore être capable de parler, une appréhension supplémentaire me prit à la pensée qu’il y avait certainement des marques, et que j’aurais à m’en expliquer. Je gémissais et sanglotais en permanence.

— Quelle salope, j’en peux plus, je vais jouir.

C’était Bernard, la dernière fois à l’appartement il avait aussi été le premier à jouir. Mon maître lui demanda de me jouir dans les cheveux, je me sentis tiré en arrière par le cheveux et bientôt j’eus une sensation de sperme chaud sur mon front, une main récupéra l’humidité de mon visage et chiffonna mes cheveux.

— Il va en falloir bien plus pour faire un shampoing à cette petite merde. Tiens le par le cou et renverse lui bien le tête en arrière !

De nouveau des mains prirent mon cou et appuyèrent mon menton en arrière.

— Ouvre bien la bouche toi, et garde les mains en l’air, continue de bien branler les deux autres !

J’ouvris la bouche autant que je pus. C’est vrai que mes deux bras fatiguaient, je branlais du mieux que je pouvais les deux chibres que je pensais être aux maîtres Jonathan et Jean. Soudain je sentis un liquide chaud me couler sur le haut du front, sous l’approbation des autres hommes, quelques gouttes giclèrent sur mon visage et je reconnus une odeur âcre ! De le pisse ! Il me pissait sur les cheveux ! Je me remis à pleurer.

— Ha ! La petite salope qui pleure, attends je vais te passer tes larmes en te donnant ce pour quoi tu es venu ! Lève toi, pose ton torse contre le capot de la Renault !

Je m’exécutais. Le capot de la voiture était encore chaud, sensation agréable. Jonathan me fit écarter les cuisses et se cala contre moi. Je sentais son pénis en érection posé sur mes fesses. Il passa sa main entre mes cuisses.

— On va te graisser petite salope, faut que tu sois bonne !

Oubliés les inquiétudes, les pleurs, pour cet instant j’aurais tout donné. Il tira mes mains dans mon dos, me replia les avants bras l’un contre l’autre et commença à les attacher. Il utilisait une corde du type ce celles qu’on utilise sur les tires-rideaux, fine et solide, je la sentais glisser à chaque tour qu’il faisait. Ceci fait, il me retourna sur le dos et releva mes jambes, j’adorais cette position, dans un instant j’aurais sa bite en moi et après lui sans doute que les trois autre me prendront aussi ! Quel pied ! Ça valait bien les quelques souffrances que j’avais endurées.

Il releva mes jambes, replia mon mollets sur l’extérieur de mes cuisses et attacha aussi mes deux jambes ainsi repliées. Les trois autres regardaient calmement. Finalement il releva mes jambes et passa une dernières cordelette entre les liens des jambes et ceux des bras, ce qui me forçait à garder les jambes en l’air, on ne pouvait être plus offert ! J’étais aux anges ! J’allais pas tarder à déchanter.

— Bernard, passe moi l’huile moteur !

Je vis Bernard tendre à Jonathan le bidon d’huile, un bidon vert ! Castrol, je crois ! Je pensais que dans l’humiliation on fait pas mieux ! Jonathan fit directement couler l’huile entre mes fesses, puis il positionna son gland à l’entrée de mon cul ! il m’avait pas doigté, je n’étais pas ouvert, Jonathan vit surement la panique passer dans mes yeux.

— c’est comme ça qu’on traite les putes !

Et il poussa d’un seul coup sa bite dans mon cul, sous l’effet de l’huile aucune résistance ne me fut possible, je criais sous l’effet de la douleur, une brûlure insupportable et un mal de ventre me prit, il avait dû taper au fond, je ne sais où, je criais et je me remis à pleurer, tandis que les trois autres approuvaient en riant, j’aurais voulu les y voir ! Quand mon cri commença à redescendre, ce salaud de Jonathan se mit à me buriner, nouvelle douleur et hurlement, attaché comme j’étais je ne pouvais bouger. Jonathan changea de rythme, enfin la douleur se calma, je cessais de hurler mais je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer.

— Alors tu vois c’est pas si terrible, dit Jonathan.

Il passa sa main sur mon visage, et introduisit deux doigts dans ma bouche, j’entrepris de suçer.

— Regardez ça, il pleure et il suce en pleurant ! Regardez ça cette pute !

Is s’approchèrent, les mains traînèrent sur mon visage, je suçais les doigts qui se présentaient. Je pleurais toujours. Maître Alain intervint.

— Bon ça suffit, j’ai parlé d’une bonne nouvelle, maintenant que t’es bien chienne, je crois que c’est le moment ! Arrête de pleurer et écoute bien ! Pendant que tu montais avec nous en voiture, Jean et Bernard sont allés voir ta mère, ils n’ont pas eu de mal à se faire passer pour des éducateurs ! Ils ont dit à ta mère que, te connaissant, ils pensaient que tu ne lui avais pas dit que tu étais en stage toute la semaine à Brest ! Ils n’ont eu aucun mal à la convaincre ! Et ça, ça signifie que t’es à nous pour la semaine.

Une semaine ? Ça faisait combien de temps que j’étais entre leur main, deux heures à peine et j’en pouvais déjà plus, alors une semaine mais non, c’est pas possible ! Ils m’entouraient, Jonathan s’était remis à me limer comme pour m’aider à absorber la nouvelle, il m’entouraient, me disant toute sorte d’insanités, me promettant mille verges, je ne les écoutais pas, je me remis à pleurer. Jonathan se retira. C’est Jean qui se posta à un mètre de mon cul et défit la ceinture de son pantalon. Il la plia en deux, ça ça allait être super douloureux !

— On aime les putes qui pleurent mais on aime aussi les putes qui se donnent ! Tu vas dire oui à tout ?

J’acquiesçais fébrilement de la tête, sans arrêter de pleurer.

— T’as intérêt parce que sinon !

Et il tapa dans sa main avec sa ceinture en guise d’avertissement. Je fus soulagé, apparemment pour cette fois j’avais échappé à la ceinture mais pour combien de temps ? Alain s’approcha, il tenait mon slip dans la main. Il le roula en boule.

— Tu sais ce que c’est ? J’espère pour toi qu’il est propre !

Il me le fourra dans la bouche et me baîllonna avec un foulard qu’il sortit de sa poche.

— Maintenant regarde ici !

Je relevais la tête comme je pouvais, et je vis qu’il avait le reste de mes vêtements. Il les fourra dans un sac qu’il balança dans le fossé !

— Tes vêtements t’en à plus besoin. Tiens regarde !

Il arrosa mes vêtements, probablement d’essence et y mit le feu. Toujours attaché sur le capot de la Renault, je n’arrêtais plus de pleurer. Il s’approcha de moi, je sentis un objet assez gros pousser dans mes fesses, à travers le baillon des gémissements se mêlèrent à mes sanglots. Il se pencha vers moi, tout prés de mon oreille.

— T’as intérêt à bien garder ça sinon gare ! C’est ta récompense ! T’es à moi, n’oublie pas. Et ça ne fait que commencer chéri !

Puis il se releva.

— Allez, foutez moi cette merde dans le coffre !

Je secouais la tête pour dire non, mais en vain, Jonathan et Bernard s’approchèrent et, me prenant par mes liens, me jetèrent sans ménagement dans le coffre de la deuxième voiture. Je pleurais, j’avais peur, je me souviens que je mâchais spasmodiquement mon slip dans ma bouche. Le coffre se referma sur le noir total. Ils mirent la musique de manière à étouffer le bruit que j’aurais pu faire ! C’était une cassette d’Eddy Mitchell, je sentis la voiture qui manœuvrait, sûrement pour faire demi tour, puis elle se mit à rouler. Je sentis l’objet tomber de mes fesses. Je serrais le slip de toutes mes forces entre mes dents et poussais un long cri inaudible de douleur, de peur, d’humiliation... de désir.

 

Eeric31 Texte paru sur gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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