Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 01:56

Je suis quelqu’un d’assez timide. Je suis attiré depuis longtemps par les relations gays sans jamais avoir osé passer à l’acte. Les jeux SM font aussi partie de mes fantasmes. Je ne suis attiré que par le corps de mecs, autant j’ai envie d’essayer de sucer un mec autant je n’envisage pas de les embrasser.

Je vais assez souvent sur des sites regroupant ces deux caractéristiques ou sur des chats dans des salons à connotations gays / SM. Mais je ne suis jamais allé plus loin. Lors de mes chats, j’ai vécu des scénarios SM mais je manquais de matériel. Un soir, prenant mon courage à deux mains, je décidais de me rendre dans un sex-shop. Rien que d’y penser, j’avais le cœur qui battait la chamade et une boule au creux du ventre. Je prévoyais d’acheter un plug et peut être un gode.

 

ACTE 1

Arrivé devant le magasin, j’avais les jambes molles. Il était 22h, environ. D’une main moite, je pressais le bouton d’ouverture de la porte, elle s’ouvrit.

Je rentrais. Le comptoir était occupé par un mec d’une trentaine d’année. Il me salua avec un grand sourire et je lui répondis de même. Je me baladais dans le magasin, m’attardant dans le rayon des vidéos gay/sm ou devant les vitrines de gadgets phalliques. Une bosse déformait mon jean, je me sentais à l’étroit dedans. Nous étions seuls dans le magasin. Au bout d’un moment, il s’approcha de moi, me demandant s’il pouvait m’aider. Je bafouillais un « oui, peut être, je cherche un plug »

- « venez, suivez-moi, je vais vous montrer ce que l’on a »

Je le suivis, gêné de ce que je lui avais dit et surtout de ce que j’allais lui dire, me doutant de ses prochaines questions. Arrivé devant la vitrine, il me demanda 

- « Quelle taille cherchez-vous ? »

- « euuhhhhh, un petit, je pense » en rougissant

- « C’est pour vous ? »

- « Oui…. » murmurais-je

- « Vous avez déjà essaye ce genre de jeux ? » .

J’avais l’impression qu’il jouait avec moi, qu’il remuait le couteau dans la plaie de ma gêne.

- « Non, jamais, mais je ….. », Je n’arrivais pas à aller plus loin..

- « C’est la première fois ? »

- « Oui…. ». Sa main se posa sur mes fesses et commença à me caresser. Mes jambes flageolaient. 

· « Ne t’inquiète pas, je vais te montrer comment il faut faire et quelle taille choisir ». . Je restais face à la glace, n’osant bouger, le laissant faire. Il ouvrit la vitrine et prit plusieurs plugs de tailles différentes et progressives ainsi qu’un tube de lubrifiant.

Tout en continuant de me caresser les fesses, il se remit derrière moi, posa les plugs sur un bac. Son autre main passa sur le devant de mon jean et commença à me masser le sexe, le faisant encore gonfler. Je ne savais plus trop ou j’étais, complètement soumis à ses caresses. Il dégrafa ma ceinture puis le bouton et enfin la fermeture éclair. Il fit glisser mon jean sur mes chevilles. Ses caresses se faisaient plus précises, non atténuée par le tissu du pantalon. Ses mains se glissèrent sous le boxer, directement sur la peau, ce fut comme une décharge électrique, je gémis doucement. Mon boxer rejoint bientôt le jean sur mes chevilles. Il appuya doucement sur mes épaules pour me faire pencher en avant et tendre mes fesses vers lui.

Ses mains couraient sur mes fesses, l’une s’insinua entre mes fesses jusqu'à ma pastille, elle la massa, appuyant dessus. Je sentis un produit froid puis le doigt rentra doucement sans difficulté et sans douleur, je frémis. Il commença à faire aller et venir dans mon cul, son autre main faisait la même chose sur mon sexe, prêt à éclater. 

- « Je vais essayer le premier plug, détends-toi. » me dit-il. 

Je le sentis pousser le plug entre mes fesses, le renflement passa le muscle et le reste fût aspiré. J’émis un grognement de plaisir.

A ce moment, la porte du magasin s’ouvrit, je retombais sur terre. J’étais les fesses à l’air avec un plug dans le cul au beau milieu du magasin. Je voulus me relever mais sa main appuya sur mon dos. 

- « Ne bouge pas, je reviens. » 

Découvrant un nouveau coté de ma personnalité, je ne bougeais pas. L’homme qui venait de rentrer passa à coté de moi, sa main glissa sur mes fesses. 

- « Tu as une attraction, ce soir ? » demanda t-il au vendeur

- « Je crois que oui, c’est sa première fois, mais il a l’air d’être prometteur. Il est puceau du cul, et il avait l’air intéressé par les films SM» 

je ne savais plus ou me mettre, il parlait de moi comme si je n’étais pas là, comme je n’étais qu’un meuble, une chose.

- « Quelle taille, le plug ? »

- « un petit, mais on va progresser rapidement, il aime ça »

- « Tu vas l’installer dans la salle de derrière ? »

- « Oui, je crois mais pas tout de suite. Je vais le continuer ici, d’abord". 

Il revint vers moi. Il appuya sur le plug comme pour l’enfoncer davantage. Puis il le retira. Il fût rapidement remplacé par un autre un peu plus gros. L’homme regardait, il sortit son sexe et se masturba lentement. Mon regard fût irrésistiblement attiré par le spectacle. Il s’en aperçut et s’approcha de moi. Son sexe était à la hauteur de ma bouche. Il enfila un préservatif. Il avança son sexe, j’ouvris la bouche, il s’installa dedans, mes lèvres se refermèrent sur sa queue. Le préservatif gâcha un peu mes premières sensations mais j’essayais de le sucer convenablement, comme j’aime qu’on me le fasse. Derrière, le vendeur jouait avec le plug, le faisant aller et venir. Mes gémissements étaient atténués par le bâillon de chair. J’étais aux anges, mes fantasmes devenaient réalité. Pourquoi n’étais-je pas venu plus tôt ? .

L’homme dans ma bouche accélérait le rythme, le vendeur remplaça le plug par un gode. Il me baisa avec, au rythme de l’autre homme. L’homme finit par jouir dans le préservatif.

- « Tu as trouvé un bon coup, il suce pas mal pour une première. . »

- « Viens avec moi ! » me dit le vendeur, il m’entraîna vers le fond du magasin. 

- « C’est le coin des accessoires SM, j’ai vu que ça t’intéressait tout à l’heure » j’avançais avec une démarche hésitante à cause du plug.

Dans la pièce, il y avait toutes sortes d’accessoires, des menottes, barres d’écartements, cagoules, harnais, ceinture de chasteté, des slings pendaient du plafond, des bancs d’immobilisation. Il m’emmena vers un banc en cuir noir, il était superbe avec des bracelets pouvant immobiliser les poignées et les chevilles. Il me plaça devant, de face. Il me fît écarter les jambes puis m’attacha mes chevilles en bas du banc puis il me fît pencher en avant, m’allongeant dessus. Avant d’attacher mes poignets, il me retira ce qui me restait de vêtements puis il m’immobilisa.

J’étais fou, Moi, nu et attaché dans un sex-shop. Mes fantasmes les plus fous étaient dépassés, et en plus je bandais comme un âne. 

Puis c’est mon sexe qui l’intéressa, il fixa un collier à la base derrière les couilles, collier qu’il fixa au banc. Je ne pouvais plus faire un mouvement, j’étais complètement à sa merci. Il me posa un parachute aux couilles qu’il lesta avec un poids puis il me dit

- « je te laisse, j’ai du boulot. Je reviens tout à l’heure. Ne t’inquiètes pas, tu ne resteras pas seul bien longtemps. »

Il partit sans se retourner. Je restais la seul, le cul rempli et offert, le sexe lié au banc et les couilles lestées. J’entendais des bruits dans les pièces a coté, parfois la porte du magasin s’ouvrait et se refermait, des gens discutaient. Puis quelqu’un entra dans la pièce, j’essayais de tourner la tête pour le voir mais il se mit dans mon angle mort. Je frémis, de honte, de peur et d’envie. J’allais découvrir la suite de ma soirée.

« le patron m’a dit que tu étais à disposition, ce soir ! , tu as un beau cul!»

sa main glissait sur mes fesses, dans ma raie. Il appuya sur le plug pour l’enfoncer davantage, je gémis.

« tu as le cul sensible, tu ne vas pas être déçu. A cette heure là, il y a pas mal de monde ici. Tu te souviendras toujours de ton dépucelage. Et ton cul, aussi » 

Cette dernière phrase le fit rire.

Il passa devant sur mon coté et me mit un bandeau sur les yeux. 

« tu n’as pas besoin de savoir qui te passera dessus ! »

« il n’y aura pas plus de 2 mecs en même temps pour s’occuper de toi, ou plutôt pour que tu t’occupes d’eux. Bien sur, d’autres prendront leurs suites quand ils auront joui. Le magasin ferme à 4 heures donc tu seras libre à cette même heure. »

il repassa derrière moi et retira le plug. Je sentis un air frais a l’intérieur de mon cul, puis il graissa à nouveau ma raie et enfonça un nouvel objet. Il était plus long, plus gros. Ma bouche s’ouvrit et un râle en sortit. Ce devait un gode de bonne taille, cette fois.

« il rentre tout seul, tu es fait pour te faire enculer ! »

« bon, je te laisse, les clients vont bientôt arriver. »

« au fait pour chaque prestations de ta part, ils vont payer, alors donne leur en pour leur argent. A bientôt petite pute ! » et il sortit en riant.

« La pute, j’allais devenir une prostituée. » L’idée fulgura dans ma tête. 

« Moi, une pute ? », moi, qui il y a une heure encore, hésitait a franchir la porte de ce sex-shop. 

Jusqu’où allais-je les laissé aller, 

Est-ce que je peux encore arrêter les choses ?, Est-ce que j’ai vraiment envie de les arrêter ?.

quelqu’un arrive.

Sans un mot, sans un regard pour autre chose que mon cul, il retire le gode, enfile un préservatif et présente son sexe à l’entrée de mon cul. Je sens le gland contre ma rondelle. Ça y est, je vais connaître ma première sodomie. Il pousse doucement, ma préparation aida à la pénétration. Ma bouche s’ouvrit comme un effet miroir de mon cul. Je sentais chaque centimètre de son sexe me pénétrer, mon cul allait, me semblait-il, éclater. Je n’avais pas vraiment mal mais la sensation était nouvelle, angoissante. Je sentis les poils de son pubis sur mes fesses. Ça y est, il était au fond.

Il me laissa un peu de temps pour m’habituer à sa présence. Puis il commença ses va et vient. A ce moment, un autre homme entra. Mon cul étant pris, il se mit devant moi. Ma bouche s’ouvrit, son sexe entra. J’étais pris de partout en même temps. Quelle salope, je faisais ! Et le pire, c’est que j’aimais ça. Pour rien au monde, je n'aurais cédé ma place. Mon sexe était gonfle malgré les liens qui le tenaient sur le chevalet. Je sentais un liquide sourdre du méat. Je mouillais comme une salope. Un des hommes s’en aperçut. Il le montra à l’autre et se moquèrent de moi, me traitant de mots grossiers. Je rougis de honte. J’avais honte mais j’étais fier d’être là, fier de leur donner du plaisir, fier d’aimer mes fantasmes.

Le premier homme grogna en jouissant dans le préservatif. Il se retira et sortit avec juste une petite tape sur la fesse droite en guise de remerciement. Le deuxième se retira de ma bouche et vint prendre sa place. Sa queue était moins grosse mais plus longue, il n’eut pas de mal à me pénétrer. Il était à peine au fond de moi qu’un nouvel arrivant se présenta devant ma bouche. 

« Combien de mecs allais-je éponger cette nuit ? » j’en ai pour encore plusieurs heures à être la et à ce rythme mon cul restera ouvert jusqu'à la fin de mes jours.

Je ne vous raconterais pas par le détail la suite de ma nuit, cela serait monotone, mais juste de la fin.

A un moment, plus personne ne vint. Ouf, je pouvais souffler, mon cul était en feu, ou plutôt mon anus était en feu.

Après un temps incertain, un homme entra. Il tourna autour de moi, m’examinant, un peu comme un maquignon. Il toucha mon sexe redevenu mou. C’était le premier à le toucher. En dessous, une flaque de sperme prouvait mon plaisir à avoir été la.

« je vois que tu as aimé !, tu n’as pas honte ? »

je ne sut que répondre. Un ange passa…

« tu mérites d’être puni ! »

Un frisson parcourut mon échine. Le premier coup claqua sur ma fesse droite, puis il alterna. Mon cul prit rapidement de la température, il me brûlait, j’avais oublié la brûlure de mon anus, toute mon attention était maintenant tournée vers mes fesses et le haut de mes cuisses. Je sanglotais, je le suppliais d’arrêter, je lui jurais de ne plus recommencer. Cela le fit rire : 

« ohh mais tu vas recommencer et souvent en plus. Tu es une chienne et tu aimes ça. Tu vas devenir Ma chienne. Tu acceptes ? »

Je répondis oui dans un geignement.

Un claquement plus fort que les autres atterrit en travers de mes fesses.

« Je veux une réponse claire, à haute et intelligible voie ! »

« Oui, je veux être Votre chienne. »

« Oui, qui ? »

« Oui, Maître, je veux être Votre chienne.

« C’est bien, je t’accepte comme chienne », il me détacha du chevalet.

« Tu peux partir, mais reviens ici demain à 23h. »

« Oui, Maître.

Je me rhabillais et sortais du sex-shop, l’air frais me remit les idées en place.

Allais-je revenir demain ? 

 

ACTE 2

Le retour à la maison fut difficile. Mon cul m’élançait, mes pensées se bousculaient dans ma tête.

Gérer les élancements de mon cul était assez facile ; une alternance de contractions et de détente du sphincter y arrivait aisément.

Pour mes pensées, c’était beaucoup plus compliqué. La honte, le plaisir, l’envie de recommencer, la peur de tomber dans un engrenage se mélangeaient.

En arrivant chez moi, je pris une douche. Le ruissellement de l’eau me lava le corps et un peu l’esprit.

Je me couchais vidé. Le souvenir de ma soirée suffit à me provoquer une érection. Je dus me masturber deux fois avant de pouvoir m’endormir. J’avalais bien sur mon sperme à chaque fois. Le réveil me tira du lit à 7h00. J’eus bien du mal à me lever. Au début, j’ai cru avoir rêvé. Mais une hyper sensibilité anale me détrompa.

Aussitôt, tout me revint, et avec mes souvenirs, deux questions.

La première : avais-je envie d’y retourner ?

Et si, oui ; devais je y retourner ?

La réponse à la première question était simple. A moins de vouloir me mentir à moi-même c’est OUI.

La réponse à la deuxième était beaucoup plus difficile.

J’essayais d’imaginer ce qui pouvait m’arriver si j’y retournais. Mon maitre avait l’air d’avoir une imagination débordante de perversité. Même si ce que j’avais vécu m’avait plu, j’avais peur qu’il ne m’emmène loin, plus loin, trop loin. A un point ou je ne contrôlerais plus rien.

Mais avais je contrôlé quelque chose hier soir ? 

Ma journée au boulot m’a permis d’arrêter de réfléchir à ces questions. Mais à la débauche (on y revient, le terme est bien choisi pour parler de mon activité nocturne.) des images de la nuit dernière revinrent en force, me déclenchant une érection. A ce moment, je sus ce que je devais faire.

 

À 23h moins 5mn, je sonnais à la porte du sex-shop. La porte s’ouvrit. Le mec à la caisse n’était pas le même qu’hier soir. Il avait une bonne soixantaine d’années, un peu bedonnant, dégarni. Il me sourit.

« - bonsoir, c’est toi la chienne ? »

Je rougis. Je ne m’attendais pas à ce genre d’accueil. Mais bon, je devais accepter mon nouveau statut.

« - oui, je pense que c’est moi. »

« - ton maitre était sur que tu reviendrais. Tu es une grosse salope en devenir. Il suffit de te former à ça, tu as le sexe dans la peau. Il t’a préparé des surprises. »

Ces propos n’était pas fait pour me rassurer. J’avais envie de prendre mes jambes à mon cul, mais c’est lui qui commandait l’ouverture de la porte.

Quelques secondes plus tard, mon maitre entra. Il eut l’air satisfait, pas que je sois ici devant lui l’air inquiet mais plutôt que son jugement de ma personne se soit avéré.

« - je savais que tu ne me décevrais pas. Maintenant que tu as gouté à la bite, tu ne vas plus pouvoir t’en passer. Et je vais t’en donner jusqu'à plus soif. Tu vas devenir un garage à bites, une pompe à foutre, une pute prête à tout pour sa dose de sperme et pour un coup de bite. »

Cette tirade m’avait déclenché une érection. Heureusement qu’il ne pouvait voir à travers mes vêtements.

« - allez la pute, à poil. Il est temps de te mettre au boulot. Il y a du monde qui attend. »

Je paniquais, si il me voyait bander à ses propos, il allait être conforté dans son idée que je suis déjà accroc à la bite. Mais je ne voyais pas comment éviter, ni retarder ma mise à nu.

C’est la mort dans l’âme que j’obéissais. Il ne fut pas long à voir mon érection.

« - eh bien, ma salope… le simple fait de te promettre de la bite te fait bander… qu’est ce que ca va être quand tu vas voir ta surprise. »

Une fois nu, le vendeur ramassa mes affaires et les rangea derrière le comptoir.

Mon maitre me dit d’attendre la, au milieu du magasin et de mettre les mains sur la tête.

Il disparut dans le coin des accessoires SM. 

À peine, avait-il disparu que j’entendis la porte s’ouvrir derrière moi. Pour me protéger, je ne trouvais rien d’autre à faire que de fermer les yeux.

« - ah, la chienne est arrivé… quel joli cul ! On va bien s’amuser. » 

Je l’entendis approcher et je sentis sa main glisser sur mes reins, un frisson me remonta le long de la colonne vertébrale, puis descendre sur ma fesse droite, passer sous la fesse et remonter dans ma raie. Un de ses doigts joua avec ma rondelle avant de d’essayer de rentrer. Mais j’étais sec et crispé. Il n’y parvint pas. 

« - elle est serrée et sèche, cette chienne. Il va falloir l’ouvrir, qu’elle soit disponible à tout moments sans avoir besoin de gel. »

De frustration, il me mit une grande claque sur la fesse. Je devais avoir la marque bien visible. Je sentais ma fesse brulante. Et ce n’était que le début de la soirée. Quelle idée avais je eu de revenir ???

« mais qu’allait-il faire dans cette galère ? » comme disait l’avare…

cet intermède avait au moins eu l’avantage de me faire perdre mon érection.

Mon maitre revint. Il avait un petit panier à la main. Il se mit derrière moi, je ne pouvais voir le contenu du panier.

Je ne bougeais pas. Il commença par me mettre un bandeau sur les yeux. Quelque part, cela me rassura. Maintenant quoi que je fasse, ce n’était pas de ma faute. J’étais un peu moins responsable. Et puis, ce n’est pas l’homme qui m’intéresse mais sa bite dans ma bouche, mon ou mes mains. Mais j’aime aussi voir les queues qui m’agressent. Je ne sais plus ou j’en suis, ni ce que je veux. Je voudrais tout et son contraire.

Je l’entends passer devant moi. Sa main prend mon sexe maintenant flasque. Je le sens insérer mon sexe dans un tube assez étroit, un anneau passe derrière mes testicules. Mon sexe bute au fond du tube. Le maître force pour rapprocher le tube de l’anneau puis j’entends le claquement sec d’un cadenas. 

« - et voila ! Ta queue ne servira plus avant un bon moment. Tu as compris ce que je viens de faire ? »

J’hésitais. 

« - bon, alors, je vais te le dire. Je viens de te mettre une cage de chasteté. Bien sur, elle est cadenassée. Et c’est moi qui ai la clé. Il faudra payer de ta personne pour que je l’ouvre ».

Il me fit tendre les bras vers lui et il me fixa un bracelet en cuir à chaque poignet, puis c’est mon cou qui fut agrémenté d’un collier. Il y fixa une laisse.

« - allez, salope, le boulot t’attends ! »

Il me tira par la laisse. Je le suivais d’un pas hésitant.

« -allez, rentres la dedans ! Tu vas être bien. Mets-toi à genoux ! »

J’entrai à tâtons. La pièce, si l’on peut dire une pièce, était très petite. C’était plutôt un petit placard. Je pouvais toucher les murs sans bouger. Elle devait faire 1m par 1m. La porte en formait l’un des murs.

Je m’agenouillais. Une sorte de coussin se trouva sous mes genoux, rendant ma position un peu pus confortable.

Il défit ma laisse mais y rattacha une autre chaine. Je me reculais un peu mais sans succès. Ma nouvelle chaine était fixée au mur situé en face de moi.

« - voila, tu vas passer la soirée ici. Je suis sur que tu vas apprécier, salope comme tu es. Tu ne le vois pas mais en face de toi il y a un trou dans le mur, pareil à ta gauche et à ta droite. Des queues vont se présenter à toi. Tu auras juste à les faire gicler. Bien sur elles gicleront sur toi. Je vais d’ailleurs raccourcir ta chaine. »

Il me tira en avant. Mon visage touchait presque le mur.

Une queue vint se frotter sur mon visage. 

« - elles sont impatientes, dis donc… »

Déjà bien dans la mentalité d’une salope, j’ouvris la bouche.

« - je savais que tu aimais bouffer de la bite mais la, tu es une goinfre. Ne t’inquiètes pas, tu en auras autant que tu en voudras et peut être même plus. Je te laisse. Bon appétit et bonne douche. Quand je reviendrais, je veux te trouver ruisselante de sperme. Preuve du nombre de mecs et du plaisir que tu leur as donné ! »

J’entendis la porte se fermer. En tâtonnant, je cherchais les trous latéraux. Ils étaient déjà occupés par deux bites bien raides. Je les pris en main et commença à les branler doucement. Bien sur j’avais la bite en face de moi au fond de la bouche. Je m’étais d’ailleurs penché en avant pour la prendre plus profond. Le mec me baisait la bouche. Sa queue devait être longue car malgré la cloison, elle me butait dans le fond de la gorge, me tirant des haut-le-cœur. Le mec s’en foutait et je ne pouvais pas me reculer à cause de la chaine.

J’avais du mal à branler les deux bites en me faisant baiser la bouche. J’essayais de me concentrer sur ce que faisaient mes mains, ma bouche, elle étant plutôt passive.

Je dus me débrouiller assez bien car la bite de gauche cracha son venin la première. Je sentis le sperme me tomber sur le poignet et l’avant bras. Ma douche commençait. J’essayais de bien essorer cette bite, que tout son jus finisse sur moi.

Elle se retira rapidement, aussitôt remplacée par une autre.

Elle ne devait pas être très propre car elle sentait fort la sueur et la pisse. Je la branlais lentement en faisant des mouvements amples.

Celle de ma bouche commença à vibrer et à enfler un peu plus ; annonce d’une explosion proche. Le mec se recula un peu et me balança son jus en plein visage. Il m’atteint en plein front puis de plus en plus au fil des giclées. La dernière atterrit sur ma poitrine.

La queue à ma droite se retira sans avoir joui. Je crois qu’elle prit la place laisser libre dans ma bouche tant celle qui se présenta était trempée. En quelques va et viens, elle explosa, me couvrant à son tour d’un sperme chaud et abondant. Si elles sont toutes aussi prodigues, je vais finir recouverte, ruisselante comme le voulait mon maitre. Et comme moi, j’ai envie de l’être. J’ai beaucoup fantasmé sur les vidéos ou images de bukkake. Ma queue essayait de gonfler, de bander sans résultat, la cage l’en empêchant. Mon plaisir était seulement cérébral. J’espère que mon maitre fera des photos pendant et après la séance.

Les queues se succédèrent toute la soirée. Rare furent les moments ou un trou n’était pas occupés. Jamais ma bouche ne fut délaissée plus de quelques secondes. Le temps pour une queue d’être remplacée par une autre. Je ruisselais de sperme. L’odeur dans cet espace réduit devait être impressionnante, moi je ne m’en rendais pas compte, tellement mes sens étaient imprégnés de sperme, si j’ose dire. Mes mâchoires commençaient à devenir douloureuses. Et les queues continuaient à se succéder. Je n’en pouvais plus de les accueillir dans ma bouche. Je ne sais pas combien j’en ai sucé. Mais même si j’ai envie d’en avoir encore, ma bouche se rebelle. Elle devient de plus en plus passive. J’ai l’impression d’avoir les lèvres enflées, des lèvres de suceuses (ce qui est bien le cas…) 

la queue qui vient de se retirer n’est pas remplacer. Je souffle. Un flash passe à travers le bandeau. On me prend en photo par le trou situé en face de moi. J’entends la porte s’ouvrir.

« -tu es dégueulasse, salope. Tu ne peux pas rentrer chez toi comme ca. Enlèves le coussin sous tes genoux. Tiens-toi droite, les bras le long du corps ! »

J’obtempérais et attendis.

Un premier jet de liquide m’atteint sur le coté droit, suivi immédiatement d’un autre du coté gauche. Mon visage et mon dos ne tardèrent pas à subir le même sort. A l’odeur, je compris que quatre mecs étaient en train de me pisser dessus. J’aperçus encore quelques éclairs de flash. Comme pour m’offrir leurs queues à sucer, ils se relayèrent. J’étais vraiment trempé.

Au bout d’un temps que je n’ai pu estimer, les flots s’arrêtèrent. Mon maitre m’ordonna d’enlever mon bandeau. Mes yeux eurent du mal à s’habituer à la lumière.

« - détaches la chaine de ton collier, salope ! »

il me jeta une serviette.

« essuies toi et rhabilles toi. Ta soirée est finie. Tu gardes les bracelets, le collier et la cage, bien sur. 

Donnes moi ton numéro de portable que je puisse te convoquer !»

« - c’est le 06.xx.xx.xx.xx. »

« Parfait. Je vais me faire des couilles en or en te faisant vider des couilles. Tu es une bonne salope, un aspirateur à foutre, je vais te faire devenir un trou à bites, un centre d’accueil pour mecs en manque ! »

« - tu sais combien de bites ont visités ta boucher, salope ? Plus de 60 ! La prochaine fois, je ferais peut être la même chose avec ton cul. Tu imagines sa taille après 60 enculades ??? »

Aussi inquiétant que cela puisse être, l’idée me créait mes picotements dans la queue et le scrotum. 60 queues à la chaine dans un cul, je doute qu’il résiste. 

« Allez, on ferme. Rentres chez toi. Je t’appellerais bientôt. »

Je sortis du sex-shop. A cette heure, je ne risquais pas de rencontrer grand monde. Puant comme je devais l’être, c’était aussi bien. 

Arrivé chez moi, je jetais mes affaires dans la machine à laver et me précipitais sous la douche. Je me lavais les cheveux et le corps plusieurs fois et malgré cela, je trouvais que je puais encore. J’étais crevé alors je me couchais comme ça.

Mes dernières pensées furent : « qu’allait inventer mon maitre pour notre prochaine rencontre ???? ». Puis je plongeais dans un sommeil profond.

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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