Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 07:34

Je connaissais David depuis la sixième. Je l'avais remarqué lorsqu'il était sorti avec une fille que je connaissais et j'ai pu lui parler et l'approcher un peu plus. Il était assez discret, sensible (on m'avait dit que des meufs l'avaient déjà fait pleurer en cassant avec lui) et surtout BEAU COMME UN DIEU! Il était légèrement mate, assez fin, des jambes parfaites, assez poilues, des sourires à vous faire tomber par terre, un charme extraordinaire, gentil, super beau visage mignon. Il était parfait ce mec et ça m'avait agacé quand je l'ai connu: il était bon en classe, hyper mignon, faisait du foot et de la musique (piano et batterie), parfait quoi.

Comme on n'avait pas pris les même langues vivantes, on ne pouvait pas être dans la même classe, sauf en Latin (c'est pour ça que j'ai continué). Je rentrais avec lui le jeudi et souvent le vendredi. On discutait et rentré chez moi, je fantasmais sur lui dans mon lit. J'aurais donné n'importe quoi pour lui rouler une bonne pelle, il avait une bouche tellement belle...

Un jour, exceptionnellement, on n'avait pas cours et on est donc sorti. J'ai discuté avec lui puis il m'a dit qu'il allait chez son copain. Celui-ci me dit que je pouvais venir aussi, donc je le suis. David me demande si il peut essayer mon vélo, je lui passe il fait un tour et vient se ranger à côté de nous pour discuter. Arrivé chez le copain, on devait être 6 et David était à quelques mètres avec le vélo à bout de bras. Il dit: "À trois je lâche!" Un copain commence à le chatouiller: il lâche. Je vais sur lui et commence à lui prendre les bras et à le mettre par terre pour m'amuser. David ne se défend jamais, il se laisse faire. Il est donc par terre, à mes pieds, putain ça me fait bander de le voir étendu à mes pieds comme ça, en plus il a un short et j'avais une vue plongeante sur son froc, je vois ses jambes presque jusqu'à son cul: SUBLIME!

Je le relève et on rentre. On va dans la chambre de mon copain pour jouer à la PlayStation. Il prend une manette et joue avec un autre copain, les autres vont faire du spiritisme... Je me mets à cheval sur David et commence à faire style que c'est mon cheval mais rien que le contact avec lui m'excite. Ensuite, ils reviennent tous et s'entassent tous sur le lit pour les voir jouer. Moi j'étais déjà sur le lit, je me suis mis dans un coin. David a laissé sa manette à quelqu'un d'autre qui voulait jouer et est venu s'installer.

Mais le lit est petit et on s'est vite retrouvé "entassés" et David dessous bien sûr. Il a commencé à se remuer et un copain l'a tenu pour qu'il ne bouge pas, pour se marrer. Il rigolait et disait: "Lâchez-moi!" mais on ne l'a pas lâché. Il y avait des bras et des jambes dans tous les sens, il ne pouvait plus bouger que ses jambes, vers lesquelles je me dirigeais.

Je commençais à lui tirer les poils des jambes et à lui enlever ses chaussettes (ça fait longtemps que je veux voir ses pieds). David me disait d'arrêter sur un ton de rigolade. Il est maintenant sur le ventre, sous un tas de monde qui ne m'ont pas vu parce qu'ils regardent les autres jouer à la Play. Je m'avance vers la tête de David et lui présente les chaussettes. "Tu vas bouffer maintenant," lui dis-je. Les autres rient et m'aident. David aussi riait, c'était juste pour déconner ils pensaient, pour moi c'était beaucoup plus sérieux. On a réussi à lui mettre les chaussettes dans la bouche et à lui faire un bâillon avec une écharpe. Il était trop craquant comme ça, à gémir. Les autres se marraient, on avait l'habitude de déconner alors ça n'a surpris personne.

Je me suis éclipsé et suis allé chercher dans mon sac une petite corde que j'ai toujours sur moi. Je suis revenu dans la chambre, j'ai glissé mes mains sous David de façon à ce que personne ne s'en rende compte. Il commença à bouger, je lui immobilisai les mains et les attachai avec la ficelle. Il avait toujours son bâillon parce qu'il avait les mains derrière les dos et il était sous plein de copains. Un gars se retourne pour voir pourquoi David gigote, alors je commence à glisser une main sous le t-shirt de mon beau bâillonné et le chatouille pour expliquer son gigotement. L'autre avait trouvé son explication, il se retourna.

Je pris David, l'emmenai sans que personne ne voit qu'il était attaché. On va dans la salle de bain, je lui passe les mains devant et les lui mets au-dessus de la tête, attachées à une barre au dessus. Il a une chemise, il est trop beau les bras en l'air comme ça! Il doit se demander qu'est-ce que je fais, il essaye désespérément de parler sous son bâillon, ce qui rend le tout en plus bandant! Trop tard pour reculer, je m'avance vers lui, il me regarde d'un air troublé, je lui déboutonne doucement la chemise en caressant son torse bombé sous l'effet de sa respiration intensive. Je la mets par terre, il est très surpris et gigote fortement. C’est si bon de le sentir soumis et impuissant, ça le rend beau, vous ne pouvez pas imaginer! Ses beaux yeux marron foncé évitent de croiser mon regard, ses chaussettes l'empêchent de parler.

Je me mets face à lui, lui caresse son torse imberbe et ses joues, puis je parcours son dos et descends doucement. Je le sens protester mais il ne peut rien faire. J'arrive à la naissance des ses fesses sublimes. Je glisse ma main doucement et lui carres son cul à rebrousse poil. Il a la peau douce, très douce. Il a fermé les yeux, résigné, fronce les sourcils et se laisse violer.

Je lui baisse doucement le pantalon, le caleçon et je vois sortir une magnifique bite qui bande! "Ça te plaît hein, que je te touche!" Je lui enlève son bâillon et lui dis: "Si tu cries, je te le remets." Je lui enlève les chaussettes et il dit: "Détache-moi! S'il te plaît, arrête, je t'en suppl..." Il n'eut pas le temps de finir, je venais de lui lécher le bout de sa verge et il s'était arrêté net. Je commence à lui lécher entièrement la bite. Il eut un petit rechignement de plaisir, je continuais. Je lui enfournais sa bite dans ma bouche. Elle faisait bien 14cm, pour un gars de 14 ans, c'est pas mal! Je tournai ma langue tout autour du gland de mon prisonnier qui poussait des gémissements de plaisir de plus en plus fort. Sa bite était bonne, elle avait une odeur de mâle, j'avais envie de la sucer toute ma vie. Il faisait des mouvements de bassin de plus en plus fort et il me dit: "Je vais jouir!" J'arrêtai illico la sucion et le regardai droit dans les yeux. Il me dit: "Je t'en supplie, continue, c'est trop bon, je suis resté en plan juste au moment où j'allais jouir, c'est sadique!" C'est bien ce que je voulais!

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Je recommençais à jouer avec son gland et cela lui procurait beaucoup de plaisir. Il avait la bouche ouverte, respirait très vite, et râlait de plaisir. Je lui carrais les fesses puis allais vers son petit trou du cul et introduisis un doigt, puis deux. Il gueula de plaisir et je sentis sa bite gonfler. J'enlevais ma bouche et mis une chaussette sur sa bite et il jouit en poussant un long râle. Je lui roulais une pelle sublime... Je sentais nos langues se mêler ainsi que notre salive, il avait une bouche exquise et je sentis sa salive abonder quand je lui enfonçai un troisième doigt. Ensuite, je passai derrière lui et commençai à positionner ma bite pour l'enculer. Mais il cria:

— Non, pas ça, ça va me faire trop mal non, je t'en supplie!

— Je crois que t'es pas en bonne posture pour discuter mon vieux...

Et je lui enfournais la chaussette pleine de sperme dans la bouche et lui remis l'écharpe en guise de bâillon. Il n'a pas aimé ça et s'est secoué en gesticulant. Je lui ai fait: "Shuuuuut..." dans l'oreille en le caressant le long des bras et les cheveux. Je me plaçai derrière lui et positionnai ma bite. Je l'enfonçai doucement mais fermement. Son cul était bien serré, ce qui augmentait le plaisir pour moi et la douleur pour lui. Il hurla dans son bâillon et tenta de se détacher mais rien n'y fit, il était mon esclave, mon jouet sexuel et il n'avait d'autre solution que de se faire violer. Ses liens le retenaient fermement, il était totalement soumis. J'arrivai à la fin de ma bite, mes couilles et mes poils touchaient son cul qui serrait très fort autour de ma bite, j'étais encastré dans son corps et j'adorais ça! Je commençai un va-et-vient de plus en plus rapide et il avait l'air de prendre goût à ça.

L'après-midi fut long et ce fut le meilleur de ma vie! Je ne sais pas si David peut en dire autant, mais qui sait...

 

Texte paru dans Gai-eros

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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