Mercredi 24 avril 3 24 /04 /Avr 07:17

L’homme se tenait prêt de la porte, le fixant avec une intensité dérangeante. Il était grand, la quarantaine, cheveux et barbe de trois jours sel et poivre. Une musculature impressionnante se dessinait à travers ses vêtements sobres. 

 

Mathias passait d’ami en ami, buvant quelques verres et discutant. L’homme continuait à le fixer. Il ne parlait à personne, mais semblait parfaitement à l’aise. Mathias se dit qu’il devait un ami de Jean, son colocataire. 

 

La soirée se termina quelques heures plus tard. Tous les invités sauf l’homme étaient partis. Son coloc s’était écroulé aux environs de minuit, complètement saoul. 

 

Mathias s’approcha de l’homme, ne sachant trop quoi dire. Il dépassait Mathias d’une tête et arborait toujours ce même regard intense. 

 

« Bonsoir, excusez moi mais je vais pas tarder à me coucher… Vous êtes un ami de Jean ? » 

 

Le vouvoiement était venu naturellement. 

 

L’homme rit :

 

« On peut dire ça… disons que nous avons un rapport assez intime» 

 

Jean avait une vie sexuelle mouvementée et Mathias avait parfois du mal à suivre. Ses propres aventures se résumaient à quelques soirées décevantes, surtout pour la fille. Il lui arrivait parfois d’entendre les ébats masculins de son coloc. Et, malgré le fait qu’il se disait fermement hétérosexuel, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une pointe d’excitation. 

 

Mathias observa l’homme de plus près. Il était nettement plus costaud que lui.

 

« Moi c’est Mathias. J’imagine que vous dormez avec Jean »

 

« Non je ne compte pas dormir avec un mec saoul»

 

« Bon je vais vous préparer le canapé»

 

« Je pense pas, non » 

 

Mathias ne savait pas trop quoi dire. Il avait conscience que l’homme le draguait. A vrai dire ça lui arrivait assez souvent. 

 

« Ecoutez, je ne suis pas gay»

 

« Moi non plus, je suis bi et franchement je m’en fous un peu de ton orientation » 

 

Mathias sentait la colère monter en lui mais également cette même excitation que lorsqu’il écoutait son coloc baiser.

 

« Bon je vais te préparer le canapé et me coucher, j’ai pas envie de discuter de ma sexualité » 

 

Il se retourna et se pencha pour déplier le meuble. La fessée fut soudaine et forte, résonnant dans le salon. Il se retourna précipitamment. 

 

« Ecoute bien. Je déteste me répéter. Je me fous de ton avis, on va faire ce dont j’ai envie. De plus, tu as arrêté de me vouvoyer, chose que je n’apprécie pas du tout. Alors tu vas être gentil et te déshabiller tout de suite, ok ?» 

 

Mathias se sentit rougir. Il sentait la colère mais surtout la peur monter en lui, chose qui ne fit qu’accentuer l’excitation. Il secoua la tête, les mots ne lui venant pas. 

 

Cette fois l’homme lui donna une grande claque sur la joue droite puis le retourna brusquement et le plaqua contre la table du salon, le cambrant en avant. Mathias tenta de se débattre mais l’homme avait nettement plus de forces que lui. Il lui donna une nouvelle fessée, puis une autre. Il se saisit de ses hanches et se plaça derrière lui, son bassin collé au sien. Il se frotta contre lui. Mathias sentait une bosse durcissant contre son coccyx.

 

« Ca ne sert à rien de te débattre. Tu vas faire ce que je te dis » 

 

Il relâcha Mathias et le tourna par les épaules vers lui. Sans prévenir, l’homme lui saisit l’entre jambe et serra. Mathias ne put empêcher un gémissement de douleur. Une larme lui coula le long de la joue. 

 

« Tu vas te déshabiller, ok ? » 

 

Mathias fit oui de la tête. L’homme relâcha sa prise. Le jeune se dépêcha de se déshabiller, enlevant son T-shirt et son jean. Lorsqu’il fut en boxer, l’homme le saisit par les hanches, se collant à lui, puis il glissa ses mains en dessous du 

tissu, contre ses fesses. Il sourit de nouveau, puis, d’un coup sec et fort, lui arracha le sous vêtement. Mathias se retrouva nu devant cet homme puissant, à sa merci.

 

« Fais un tour sur toi même » 

 

Mathias obéit. 

 

« Tu es imberbe, dis moi. Tu te rases ? » 

 

Mathias répondit, la voix faible, les yeux baissés : 

 

« Oui, mais je n’ai jamais eu de poils au niveau du torse ou des fesses » 

 

Il se sentit rougir encore, sa joue toujours chaude après la claque. 

 

« Tu as un petit sexe on dirait, tant mieux. Maintenant défait mon pantalon » 

 

Mathias ne s’en sentait pas capable. Il secoua de nouveau la tête et reçu une nouvelle claque, plus forte que la dernière. Soumis, il se mit à défaire la ceinture de l’homme, les larmes aux yeux, la main tremblante. Une fois le pantalon relâché, l’homme fit pression sur ses épaules, le forçant à se mettre à genoux. Le pantalon tomba à ses pieds. Il portait un boxer noir. Une barre dure et longue se peaufinait dans le tissu. Mathias ne put s’empêcher de fixer la suggestion nette du sexe de l’homme devant lui.

 

« Tu l’aimes ? Tant mieux. Touche-la. » 

 

Fasciné, sa peur presque oublié, Mathias posa sa main sur la bosse épaisse. Il sentait la dureté et la chaleur du pénis de l’homme à travers le tissu. 

 

« Baisse le boxer » 

 

Mathias leva sa tête vers l’homme.

 

« Tu veux encore une claque ?» 

 

Mathias s’empressa d’obéir. Le sexe de l’homme se trouvait maintenant à quelques millimètres de son visage. Il était droit et dur, dépassant largement les vingt centimètres, et d’une épaisseur tout aussi impressionnante. Il était couronné d’un gland massif mais élégant. L’homme le regardait, un grand sourire aux lèvres. 

 

« Maintenant, les mains dans le dos et ouvre ta bouche » 

 

Mathias ne pouvait s’empêcher d’exécuter, sachant ce qui allait suivre, son cœur battant à grande vitesse. Il se trouvait à présent nu devant l’homme, à genoux, les mains dans le dos et la bouche grande ouverte, les yeux levés vers son nouveau maître. L’homme lui sourit, le saisit par la tête et l’approcha de sa queue raide. Le gland frotta contres les lèvres de Mathias, le forçant à ouvrir la bouche totalement. 

 

L’homme continuait de guider sa tête. La queue était enfoncée, toute dure, de quelques centimètres dans sa bouche à présent. Elle avait un goût amer mais, à la surprise de Mathias, agréable. L’homme commença à donner de petits coups de reins, s’enfonçant de plus en plus dans la bouche de Mathias. Celui-ci n’arrivait pas à croire la situation. 

Il gardait ses mains derrière son dos, se laissant limer la bouche. Peu à peu l’excitation prit le dessus sur la peur et la colère. Il se sentit durcir progressivement. 

 

« Tu t’es calmé ? » 

 

L’homme le regardait, de nouveau sérieux. Comme réponse, Mathias saisit timidement la verge de l’homme avec une main, et de l’autre, se mit à caresser les boules rasées de celui-ci. Il n’attendit pas de coups de reins mais se mit directement à sucer de sa propre initiative, donnant parfois de petits coups de langues sur le sexe ou encore s’attardant à téter le gland enflé. L’homme sourit de nouveau.

 

« Je savais que tu étais une petite salope»

 

Mathias suça l’homme pendant ce qui semblait être une éternité, prenant plaisir à sentir ce membre dur et luisant au fond de sa gorge et ce malgré la douleur légère qui lui venait à la mâchoire, sa bouche se faufilant autour de l’engin. L’homme finit par retirer son sexe d’entre les lèvres de son jeune soumis. Il releva Mathias, puis le retourna et le cambra de nouveau sur la table. Cette fois Mathias n’avait aucune envie de se débattre, même si il se sentait nerveux à l’idée de prendre une telle taille en lui. 

 

L’homme se plaça derrière lui, passa une main entre ses cuisses, sur son trou imberbe. Puis il positionna sa verge dure entre ses fesses. Mathias la sentait se frotter contre sa peau. Il bandait totalement à présent, mais contrairement à ses expériences hétérosexuelles, ne se sentait pas gêné vis à vis de son sexe long de seulement douze centimètres. L’homme apprêta son gland, toujours luisant de salive, contre son trou. Mathias tendit une main derrière lui, tentant de ralentir l’homme 

 

« Attendez »

 

L’homme se saisit de sa main et la plaqua sur la table. 

 

« J’attends rien»

 

Avec fermeté, il s’enfonça en Mathias. Celui-ci ouvrit grand les yeux et émit un gémissement, sentant la queue de l’homme le remplir peu à peu. 

 

L’homme le saisit par les hanches et commença de nouveau à donner des coups de reins. Dans un premier temps, la pénétration lui fit mal mais il se détendu rapidement. Un plaisir comme il n’en avait encore jamais connu remontait d’en dessous de son sexe jusqu’à son ventre. L’homme le limait puissamment, chaque va-et-vient le plaquant 

contre la table, le faisant gémir de plaisir. Quant à l’homme, il émettait un grognement à chaque coup de reins. 

 

Soudainement, il se retira du soumis, le retourna et le plaqua en arrière, sur le dos, contre la table. Il lui écarta les jambes, révélant son trou dilaté et son petit sexe raide. Il se plaça de nouveau entre ses cuisses et fit entrer son sexe d’un coup ferme dans la chatte de Mathias. Celui-ci écarta encore une fois les yeux de surprise et d’extase. 

 

Tandis que l’homme s’affairait à lui donner de bons coups de reins secs, il dit à Mathias : 

 

« Tu peux te branler salope, moi j’en ai encore pour un moment»

 

Mathias se saisit de son sexe, ridicule comparé à celui qui le pénétrait. A peine avait il commencé à s’astiquer qu’il sentit le plaisir monter. Les jambes en l’air et écartées, après un coup particulièrement fort de la part de l’homme, le soumis se laissa jouir, gémissant longuement. 

 

L’homme cependant était loin d’être satisfait. Il lima Mathias pendant encore de longues minutes. Puis, finalement, alors que Mathias se sentait prêt à jouir une deuxième fois, l’homme se retira. Il donna une petite tape sur les boules du soumis. La combinaison de la douleur et du plaisir latent donna des frissons à celui-ci. 

 

« Allez, j’ai pas que ça à foutre, avale moi ce que j’ai à te donner »

 

Mathias se dépêcha de s’allonger sur la table et prit de nouveau en bouche le magnifique sexe de l’homme. Il lui malaxa également les couilles, le branlant avec une main pendant que sa bouche s’affairait sur le gland et une partie de la verge. L’homme jouit, son corps secoué d’un grand frisson, exhalant un soupir de satisfaction. 

 

Le soumis sentit sa bouche s’emplir du foutre chaud et épais. Il tenta de se retirer mais l’homme lui maintenait la tête. Il gicla en quatre grands à-coups, chacun porteur d’une charge de semence copieuse. Mathias fit du mieux qu’il pouvait pour tout avaler, mais malgré lui, une partie s’échappa de sa bouche, coulant de sa lèvre sur la verge de l’homme, puis gouttant sur la table. 

 

Pour terminer, l’homme se retira et administra une baffe monumentale au jeune. 

 

« Laisses tomber les femmes petit, c’est pour les vrais hommes ça. Je reviendrai te voir. Je te présenterai même peut-être quelques amis, aussi avides que moi de jeunes lopes dans ton genre » 

 

Sur ce, il se rhabilla et partit, laissant Mathias seul sur la table du salon, dans le foutre et la sueur de son nouveau maître. 

 

Il avait hâte de le revoir.

 

Texte écrit par Minpass paru sur le site HDS

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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