Samedi 23 février 6 23 /02 /Fév 02:37

La question qui me taraude chaque jour de mon existence depuis ce jour est : Comment en suis je arrivé là ? Comment ai-je pu me retrouver dans une situation si basse et comment ma vie a basculé du jour au lendemain...

Tout a commencé avec Éric je pense. Et à cause de lui.

J'ai 16 ans, Éric en a 19. Je suis encore au lycée, en classe de première. Lui drague les minets dans mon genre à la sortie du lycée. Il a une bagnole, il est indépendant, il a un appartement à lui et je pense que ça doit l'exciter de baiser des petits minets dans mon style. Il m'a accosté un jour à la sortie, et j'ai tout de suite flashé sur ce mec. Il posait, assis sur le capot de sa voiture tuning avec des copains à lui. J'étais sous le charme de ce type, sans me rendre compte qu'il avait un sérieux problème pour venir draguer des ados à la sortie du lycée. Bref, au bout de quelques jours de cette parade de séduction (chaque soir je le retrouvais devant le collège), il m'a proposé de me ramener en voiture chez moi. J'ai bien évidement accepté, et au moment de se faire la bise, il m'a bien évidement roulé une pelle baveuse.

Sur le plan sexuel, ça a été assez vite, j'étais encore puceau avant de le rencontrer, mais je n'avais aucune envie qu’Éric aille voir ailleurs... Alors au bout de seulement sept jours, je lui ai donné mon pucelage, dans ma chambre, pendant que ma mère était au supermarché. Ce n'était pas très glorieux et plutôt douloureux. Je ne connaissais rien au sexe. On s'est alors mis à baiser assez souvent, il prenait tout le temps son pied, mais moi c'est comme si j'assistais au spectacle de l'extérieur ! J'éprouvais un certain désir, mais toujours écrasé par l'inconfort de la position dans laquelle on était (souvent dans sa 205 GTI ). Il m'avait plusieurs fois, plus ou moins ouvertement demandé de le sucer. Mais j'étais écœurée par l'idée même de rapprocher ma tête de son sexe. Alors je fuyais assez vite la situation en le branlant un peu et en m'empalant sur sa bite.

suce19Par contre, je me vantais bien sûr de mes exploits sexuels auprès de mes potes homos à l'école. M'inventant une vie sexuelle plus que satisfaisante et débridée, alors que je ne suis même pas sûr d'avoir un jour réellement pris mon pied avec Eric. Bref je mentais effrontément, et facilement, puisqu'ils étaient encore tous puceaux.

C'est cette attitude que j'avais vis-à-vis d'eux qui les a poussés à me mettre au défi. C'était au milieu du mois d'août, Eric travaillait avec son oncle sur la Côte d'Azur  et il m'appelait tous les jours. Killian m'avait invité à une fête, ce genre de fête ou n'importe quelle lycéen crève d'envie d'aller. J'ai menti à Eric, de peur de le rendre jaloux. Je lui ai dit que je passais le week- end chez ma grand-mère. Pour mes parents c'était une innocente soirée chez un ami... Bref, nous voilà avec ma bande de copains dans le salon de Killian, à parler une fois encore de mes expériences sexuelles, quand je remarque un type qui me mate, et qui visiblement entend tout de la conversation. J'étais un peu ivre alors je décidais d'aller faire un tout dans les chiottes pour ne pas lâcher une gerbe au milieu du salon. Je suis monté à la salle de bain du haut. Je rentre et je ferme la porte derrière moi, puis je m'installe sur le chiotte. A peine ai-je commencé à pisser que la porte s'ouvre doucement, et le type entre dans la salle de bain.

– Tu devrais tirer le loquet si tu ne veux pas faire des mauvaises rencontres...

J'étais tétanisé, il s'est approché de moi et à ouvert sa braguette, sortant sa très grosse queue. Comparée à celle d'Eric, celle-çi était au moins deux fois plus longue et épaisse...

– Vu ce dont tu parlais en bas, tu dois bien savoir sucer, non ?

J'étais paralysé, je fixais sa bite des yeux sans bouger. Il appuya son gland sur mes lèvres, et j'ai ouvert la bouche.

– Suce-moi, active-toi un peu, sinon je te baise la bouche espèce de lopette allumeuse !

J'essaie de faire un ou deux mouvements afin de contrer sa queue, mais j'ai la bouche sèche, je suis complètement ailleurs. Et un peu bourré, il faut l'avouer...

– J'ai compris. En fait, tu te la pètes auprès de tes potes, mais tu ne connais rien au sexe c'est ça ? Et bien je vais te montrer comment on baise une pute par la bouche alors ! Mais je te préviens que tu vas te souvenir toute ta vie de cette pipe !

Et il m'a attrapé par les cheveux et a commencé à aller et venir dans ma bouche, de plus en plus vite et de plus en plus profond. A un point où à chaque coup j'avais un haut le cœur, une envie de vomir incroyable. Au bout de quelques minutes, il est ressorti et s'est branlé quelques secondes devant mon visage. Puis il a éjaculé. C'est à ce moment là que je suis revenu à moi. J'ai réalisé ce qui venait de se passer, je me suis rendu compte que tout ce temps je ne l'avais pas touché, ne serait ce que pour protester. Mes mains étaient crispées sur le rouleau de papier toilette. J'en arrachai un bout pour me nettoyer le visage dégoulinant, mais le type me prit le poignet.

– Donne-moi ça et dégage. J'ai envie de pisser ! A moins que ça t’intéresse ?

Il prit le papier et toujours en me tirant par le poignet, il me traîna jusqu'à la porte, l'ouvrit et me jeta dehors. Je remontai mon boxer et mon jean en vitesse, mais des gens autour avait remarqué ma nudité et fixaient mon visage dégoulinant de son sperme dégueulasse. Je commençai à m'essuyer avec les doigts, mais ça collait, j'en avais plein les cheveux.
suce20Pris de panique, je me suis précipité vers la chambre de Killian pour trouver de quoi me débarbouiller, et quand j'ouvris, je suis tombé sur mes amis.

– Ben t'étais où ? On t'a cherché partout ! Et t'as quoi sur la gueule ?

Là j'ai senti une main sur mon épaule. Le type que je venais de pomper par mégarde était juste derrière moi.

– A ton avis c'est quoi qu'elle puisse avoir sur la gueule après m'avoir sucé la queue ?

J'ai vu leurs visages se décomposer, un soupçon de dégoût apparaître. Alors je suis rentré dans mon rôle de roi du sexe. De tyran. De playboy.

– Ben quoi ! Ce n'est pas grave, c'est la vie, puis c'est super excitant de faire ça avec des inconnus. Vous devriez essayer !

Ils se détendirent un peu, j'ai alors poussé le type dehors et fermé la porte. Sarah m'a donné un mouchoir pour m'essuyer et m'a demandé ce que j'allais dire à Eric...

– Comme les autres fois, je ne lui dirai rien.

Comme s'il y avait eu des autres fois ! Sans me rendre compte, j'étais passée du statut de "roi du sexe" à "salope prête à baiser tout ce qui a une queue". J'ai eu du mal à détourner la conversation de moi et de ce qu'il s'était passé avec le type. Et mine de rien je ne suis pas ressorti de la chambre avant le lendemain, j'avais trop peur de retomber sur lui. Et qu'il me fasse des choses encore pire que ce qu'il m'a déjà imposé.

Éric ne l'a pas appri avant l'automne... On était déjà rentré en cours et il avait reprit son cinéma à la sortie du collège. Un soir, il faisait la gueule. Il m'a à peine dit bonjour et il m'a embarqué dans la voiture. Il m'a emmené dans un coin tranquille où on baisait souvent...

– J'ai eus la sœur de Killian au téléphone hier soir.

– Ah..

Je craignais évidemment le pire...

– Elle m'a raconté que tu étais à une fête chez elle, tu ne m'en avais pas parlé. C'était il y a déjà quelques mois.

– Non c'est vrai. J'avais peur que tu sois jaloux. Même si il n'y avait aucune raison.

– Et jaloux de quoi ?

– ...

– Que tu t'es vanté d'avoir sucé comme un connard un type dans les chiottes ? Voire plus, il parait que t'avais le cul à l'air en sortant !

– Ça ne s'est pas du tout passé comme ça, il m'a forcé ! Il est arrivé dans les chiottes et m'a fait gober sa queue avant de juter sur moi. J'ai jamais été autant humilié de ma vie. Je ne voulais pas t'en parler, tu ne m'aurais pas cru...

– Ben voyons. Moi ça fait depuis qu'on est ensemble que tu refuse de me sucer et là, tu le fais à un type que tu ne connais pas ! Et en plus d'après ce qu'elle m'a dit, tu fais ça souvent ! T'a quoi à répondre à ça ?

Je me ramassais mes mois de mensonges dans la figure d'un coup...

 

Colères

 

vomi.jpg– Je regrette ! Je suis désolé ! Je ne referai jamais ça avec un autre. Pardonne-moi, s'il te plaît ! Je t'en supplie...

Il détourna la tête et fixa le paysage à travers sa fenêtre. On resta plusieurs minutes comme ça. Puis prenant mon courage à deux mains, j'ouvris sa braguette et sorti sa bite. Après une seconde d'hésitation, je me suis penché en avant et je l'ai mise dans ma bouche. Elle était encore molle, mais elle durcit très vite. Je le suçais du mieux que je pus. Il mit sa main sur ma nuque et me donna le rythme. Puis il recula son siège.

– Pour te faire pardonner, va falloir faire mieux que ça !

Je compris le message et j'ai retirai alors mon pantalon et mon boxer puis je l'ai enjambé. Il esquiva mes baisers et fourra énergiquement sa bite dans mon cul.

– Allez, bouge maintenant. Montre-moi que tu es à moi !

Il me mit alors son index dans la bouche.

– Montre-moi comment tu suces.

Je suçais son doigt comme je pensais que devrait le faire Brent Corrigan lorsqu'il se fait troncher par Brent Everett. Puis il le retira et l'enfouit dans mon cul. J'étouffais un cri de surprise, mais je continuai à aller et venir sur sa queue. Cette baise était la pire de toute ma vie. Encore pire que le viol de ma bouche par ce connard chez Killian. Je me sentais redevable envers Éric. Je le laissais faire tout ce qu'il voulait et je voyais le mépris grandir dans ses yeux. Je tentais de l'embrasser à nouveau, mais il détourna la tête. Je le câlinais mais il repoussait mes gestes.

– Comment tu veux que je t'embrasse ? Tu as bouffé le sperme d'un autre type et tu viens de me sucer. Tu me dégoûte. Tourne toi, mets toi dos à moi, appuie toi sur le volant. Voilà, et écarte les fesses. Je vais t'enculer encore plus fort ! Et dire que je ne suis jamais allé voir ailleurs, que je te pensais fidèle. Quel con je suis.

Je fis ce qu'il me demanda. Et à peine le dos tourné, je laissais aller mes larmes. Il remit sa bite dans mon cul et tira sur les hanches pour me faire descendre au plus profond. Ça me brûlait dans cette sodomie durait, je me sentais écartelé. Il planta encore son majeur dans ma bouche.

– Alors comme ça t'est bien rempli ? Tu ne vas pas aller voir ailleurs si je te remplis comme ça ? Allez, bouge ton cul ! Je veux que tu me fasses juter espèce de grosse truie.

Et il retira son doigt de ma bouche... Il réintroduit alors un puis deux doigts dans mon cul, sa queue restant toujours à l'intérieur. Il sortit alors sa queue de mon cul, et décida d'introduire trois puis quatre doigts dans mon cul. La douleur me coupait les jambes, mais je me retins de hurler jusqu'au moment ou il fit rentrer son petit doigt aussi. Il avait toute sa main dans mon cul. Je découvrais alors le fist.

J'étais paralysé de douleur, je n'arrivais pas à bouger. Il ouvrit la portière et me poussa dehors. Je m'écroulais mais il m'attrapa par les cheveux et me colla devant sa bite.

– Suce-moi maintenant, ma bite est sale. Je veux que tu la nettoie.

Je commençai à lécher sa bite, totalement dégouté par l'odeur de merde, mais il m'agrippa les cheveux d'une main et de l'autre fourra sa bite au fond de ma gorge tout en me pinçant le nez. Puis tout en me tenant la tête contre son pubis, il se redressa et sortit de la voiture. Me traînant à ses pieds. Je me retrouve assis par terre, la tête sur le siège conducteur, et il s'est mit à me baiser la bouche encore plus violemment que s'il s'agissait de mon cul. Imaginez donc à quelle fréquence il me défonçait la gorge. Il jouit assez vite et m'étala son sperme sur le visage.

– Tu as envie que je te pardonne ?

– Oui mon amour, bien sur. Je t'aime.

– Ouais ! Ben t'arrêtes tout de suite avec tes "Mon amour", quelle grosse blague ! Tu n'es qu'un immense mythomane. Moi je suis prêt à te pardonner, mais là t'es à l'épreuve pendant un moment. Un mois, peut être plus... A la première connerie je te gicle et je raconte à tous tes potes quel connard tu es vraiment... A mon avis si je fais cela, ta vie au lycée est foutue. Et je ne donne pas cher de ta vie à l'université.

– D'accord, je ne ferai pas de conneries. Je te le promets.

– Mon problème c'est que tu me dégoûte, mais que je te désire quand même. Quand je te regarde, j'ai envie de gerber. Alors tu as tout intérêt à accepter mon désir comme il vient, et accepter que tu sois une salope qui a déconné. Tu es une salope. Dis-le.

– Je suis une salope. Ta salope.

– Tu es une salope dégueulasse, qui suce des bites pleines de merde.

– Je suis une salope qui suce des bites pleines de merde.

– Dégueulasse ! Tu as oublié dégueulasse !

– Une salope dégueulasse.

– Tu ne te fais pas vomir là ? La gueule couverte de sperme, le goût de ta propre merde sur la langue. Le fion explosé qui traîne dans la terre ?

– Euh... Si.

– Et bien vomis alors.

– Comment ?

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Si tu ne le fais pas je m'en occupe. Et ce sera sûrement encore plus drôle !

Je me mis les doigts au fond de la gorge et je repensais à la merde sur sa bite, à son sperme et à tout ce qui me dégoûtait de moi. J'eus un haut le cœur et je vomis mon repas du midi sur mon ventre et mes cuisses. Le premier spasme en amena d'autres et je n'eus bientôt plus besoin de mes doigts dans ma bouche pour me vider... Je me dégoûtais franchement. Un peu de bile gicla sur le siège de la voiture.

– Putain, mais t'es vraiment une truie ! Tu as dégueulassé ma caisse !

Il me tira violemment les cheveux pour m'éloigner de la voiture. Ce qui envoya un dernier jet de bile sur la moquette. Il me gifla plusieurs fois ce qui stoppa mes vomissements. Je sanglotais sans retenue. Je n'étais plus moi.

– Ma main est dégueulasse, lèche là !

Je lapais sa main sans le regarder, comme un chien qui vient de se faire frapper.

– Lèche la main de ton maître. Lèche la moquette aussi.

Je me traînais jusqu'à la voiture et léchais la bile sur la moquette, retenant de nouvelles nausées.

– Tu as vu dans quel état tu es ? Tu ne crois quand même pas que je vais te laisser monter dans ma bagnole ? Tu vas devoir rentrer à pieds mon petit déchet !

Nous étions à une dizaine de kilomètres de chez moi et hors de la ville et il n'était pas question que je prenne le bus ou que je traverse le centre ville dans cet état.

– S'il te plaît, ramène-moi !

– Pourquoi je ferais ça ?

– Je ferai ce que tu veux !

– Tu fais déjà ce que je veux. Attends, je réfléchis...

 

Destruction

 

piss02.jpgIl me traîna à l'écart de la voiture et se plaça au-dessus de moi.

– Je ne veux pas qu'on me voit avec un déchet comme toi. Demande-moi de te laisser monter dans le coffre.

– … Laisse-moi monter dans le coffre de ta voiture s'il te plaît.

– Bien, qu'est-ce que tu me donne en échange ?

– Ce que tu veux !

– Demande-moi de te pisser dans la bouche. Demande-moi de te laisser boire ma pisse...

– Quoi ?

Il me marcha sur la main et je me mis à hurler.

– Ta gueule ! Demande-moi de t'utiliser comme une pissotière que tu es !

– … Utilise-moi comme une pissotière.

– Tu boiras ma pisse ?

– Oui ! Oui ! Je boirai ta pisse, mais s'il te plaît enlève ton pied ! S'il te plaît !

– Demande-moi de te pisser dessus.

– Pisse-moi dessus, j'ai trop mal. Tu vas me casser les doigts.

– Ta gueule !

Il commença à pisser sur mon visage, essayant de viser ma bouche.

– Bois ou je te laisse ici dans ta merde, ma pisse et mon jus.

J'obtempère et avale un peu de pisse, le reste inondant mon corps et mes cheveux. Il rangea son sexe dans son pantalon et retira enfin son pied. Je ne sentais plus mes doigts de la main droite. Il me traîna par les cheveux, et j'essayais de suivre à quatre pattes. Il ouvrit le coffre minuscule de sa 205 et me fis monter dedans. Il alla chercher mon sac de cours, mes fringues et jeta le tout dans le coffre avant de claquer le coffre. J'essayais de m'arranger pour ne pas étaler le sperme sur mon sac et ma veste qui avaient échappées à la saleté. Mais vu la taille du coffre, je ne pus pas faire grand chose. Une grande partie de la place était prise par un énorme caisson de basse et un système d'amplification compliqué. Je me rendis compte de ma situation quand il mit en marche sa sono. Comme d'habitude, il écoutait la musique très forte, mais là j'avais littéralement la tête dans les enceintes. Les 15 minutes de trajet furent un supplice. J'étais totalement abasourdi en arrivant. Heureusement pour moi, mon père travaillait et ma mère devait être chez une amie. Bref, je me suis faufilé dans la maison, j'ai mis les habits dans la machine et je me suis jeté sous une douche brûlante.

Le reste de la semaine suivit ainsi. Tous les soirs Éric m'emmenait dans un de nos coins de baise pour m'humilier et il me ramenait dans son coffre. Je m'entourais les oreilles de mes habits pour ne pas devenir sourd. Un jour, il m'emmena dans un endroit que je ne connaissais pas. Un quartier résidentiel à l'autre bout de la ville. Il s'arrêta devant une maison énorme et il sortit de la voiture en me faisant signe de le suivre. Il sonna, et un type nous ouvrit la porte. A l'intérieur, il nous emmena directement au sous-sol dans une espèce de grande pièce avec un canapé, un lit et des armoires. Il y avait aussi du matériel vidéo.

– Alors mon grand, je t'explique le topo. Ton copain veut te dresser. Et moi je suis un dresseur. Il m'a trouvé sur Internet, et m'a raconté la situation. D'habitude mon histoire tourne surtout autour du chantage... Tu comprends ? Je te fais faire des trucs dégradants, je te filme, et je les mets sur Internet en diffusant petit à petit l'adresse sur des forums si tu ne fais pas ce que je souhaite. Sauf que toi, malgré ce que dit ton copain, tu n'es pas majeur. Tu fais trop minet et je ne vais pas prendre le risque de me faire emmerder avec une vidéo. Alors je vais te filmer, mais on va mettre des cagoules dans une pièce anonyme, et avant tu vas me faire une déclaration filmée que tu accepte tout ce qui va suivre. On va te casser autrement tu vas voir, ta vie va changer.

Je commençais à avoir vraiment peur de ce type. Je ne voyais pas ou il voulait en venir.

– Mais je suis gentil, je fais tout ce qu’Éric me demande !

– Oui mais ça mon petit gars, ça ne lui suffit pas. Sais-tu ce qu'est le SM ? Ce n'est pas juste des crétins en combinaisons en cuir qui lèchent les talons aiguilles d'une maîtresse. Le SM qui m'intéresse, c'est casser l'individu qu'il y a dans la personne que j'ai sous les yeux. Je vais faire en sorte que tu ne sois plus qu'un bout de chair avec des trous et que pour le reste de ta putain de vie tu fasses tout ce qu'on te demande. Aujourd'hui ça va être ta première séance et ça va être dur.

 

Éric alla s'asseoir dans un fauteuil dans un coin. Et le type m'ordonna de traîner le canapé à l'autre bout de la pièce dans le coin. Il ne restait plus de mobilier hormis des annaux aux murs, au plafond et sur le sol. Il me plaça debout contre le mur, mit une cagoule et alluma sa caméra. Il me fit réciter un texte en anglais que je compris à peine. Apparemment il se foutait que je parle mal. Il coupa la camera et sorti quelques minutes. Il revint avec un énorme chien qu'il attacha à un anneau. Il prit un genre de manche à balai, et ralluma la caméra.

– Fout toi à poil, connard. Et je veux que tu suce ce chien et que tu mettes sa queue dans ton cul.

– Mais...

Je ne vis pas venir le coup. Il était d'une violence incroyable. Il m'avait frappé sur la cuisse et la douleur m'avait fait tomber.

– Je ne répète jamais, et tu n'as pas le droit de parler, juste de crier. Exécute !

Tous les trois mots, un coup de bâton me tombait dessus. Jamais sur la tête, ni sur les mains. Mais sur tout ce qui était invisible, caché par les vêtements. Je me roulais par terre et je commençais à détacher ma ceinture. J'avais le souffle coupé des coups qu'il me rouait. Ce qui lui permit de me frapper de toutes ses forces sur les fesses, m'arrachant un hurlement. J'étais en pleine panique, je cherchais à lui obéir mais il ne me le permettait pas. Mon strip-tease allait durer très longtemps. Je compris à un moment qu'il ne me frappait que là où se trouvait encore un vêtement. Sitôt quitté mon jean, il arrêta de viser mes jambes pour se contenter des pieds et du haut de mon corps. Je retirais mes chaussettes en encaissant des coups sur le dos et déchirais ma chemise en l'enlevant. C'est là que j'ai compris mon malheur. En effet, il ne me restait comme vêtement que mon slip. Il s'arrêta de me frapper et me tira les cheveux pour me mettre à genoux.

– Tu as 3 secondes pour choisir : Je te démolis le cul ou la queue ?

Je me dis que je risquerais moins s'il me frappait le cul. Je lui montrais alors.

– T'as choisi la queue alors ? Intéressant.

– Non ! Le cul...

– Ta gueule !

Et il me frappa à nouveau violemment plusieurs fois sur tout le corps.

Il sortit d'un tiroir deux pinces métalliques et une petite boule de pétanque attachée à une ficelle. Il raccorda les pinces à la ficelle, glissa celle-ci entre mes dents et attacha une pince à mon téton droit. La douleur me surpris et je criai. La ficelle m'échappa et la boule entraîna la pince qui enfonça ses dents dans mon téton.

– Je vois que t'as compris le principe... Normalement les pinces s'enfoncent si on tire dessus, mais elles n'arracheront pas ton téton. Au pire t'aura des cicatrices toute ta vie, mais le téton sera encore là.

Il prit la seconde pince et me remit la ficelle dans la bouche. Il me fit lever et pencher en avant, les pieds à un mètre l'un de l'autre. Il me fit également écarter les fesses avec les mains.

– Voilà le marché : J'arrête si tu tiens 10 coups sans écarter les dents. A chaque fois que tu lâches, on recommence à zéro. Compris ?

Il se plaça derrière moi et me donna le premier coup, avec un genre de ceinture en cuir. Il rata mon sexe mais pas mon anus, et le coup me fit sursauter. Je manquai de lâcher le poids, mais je tins bon. Il enchaîna avec un second coup mieux ajusté. Cette fois-ci la douleur me fit lâcher prise et la première pince se détacha. Il la remit en place et me repassa le poids. On recommença donc. Je tins encore 8 coups sans lâcher prise. Mon sexe était en feu, mes tétons me faisaient tellement mal que je ne ressentais qu'une boule de douleur. Le neuvième coup me fit tomber à genoux. Il m'avait frappé avec la boucle de sa ceinture et le sang coula le long de mes jambes. Je me suis redressé et il m’asséna son dernier coup, encore plus violent. Je lâchais tout et tombais à terre. Il me roua de coup de pieds en hurlant que si je faisais mon petit malin, j'allais déguster. Je ne comprenais rien, je hurlais de douleur. Il se calma et me cracha dessus.

– Tu te crois où pour réussir quand je veux que tu échoue ? T'as gagné. Maintenant je mettrai la barre plus haute. Maintenant tu baises ce chien où on recommence au début.

 

Abysses

 

dog1Je me traîne jusqu'au chien et commence à le caresser, ne sachant pas trop comment m'y prendre. Le chien, lui savait s'y prendre, et il se mit aussitôt à bander. Je mis ma tête en dessous de son ventre et pris sa bite dans ma bouche. Le type me filmait en gros plan, puis il me dit de mettre mon cul sous le nez du chien et de me faire baiser comme une chienne. Je m'exécute et senti bientôt le chien me monter sur le dos. Mon cul était juste à sa hauteur et sa bite le frottait... Je l'aidais d'une main à me pénétrer, et attendis la suite. Sa bite me ramonait jusqu'au fond et je le sentais encore grossir. Je n'avais aucune idée de ce qu'il allait se passer. Je ne savais pas la forme que prenait la bite d'un chien pour se coincer dans la chienne. Aussi quand il a commencé à vraiment être gros et à rester coincé, j'ai paniqué. Mais le type m'a donné un coup de pied dans le ventre qui me coupa le souffle. Laissant le temps au chien de rentrer profondément dans mon cul avant de rester bloqué. Je le sentis se déverser en moi.

– Toi aussi t'es une bonne chienne, va manger le sucre de ton maître !

Je me tournais vers Éric, qui se branlait en me regardant, et je me traînais, emmenant le chien avec moi jusqu'au fauteuil. Je pris son sexe dans ma bouche et il gicla presque aussitôt. Je bus son sperme, puis il me repoussa et se leva. Me laissant dans mon sang, ma crasse, mon sperme et ma honte.

– C'était une bonne séance monsieur Jacques, je pense que ça lui a fait du bien !

– Il est déjà bien soumis, et puis il est jeune. Je pense qu'on peut en faire une chienne jusqu'à la fin de ses jours...

– Comment on s'arrange pour le paiement ?

– Laisse tomber gamin, donne le moi une nuit par semaine pour que je le prenne en main. Puis peut-être un week-end de temps en temps pour le faire voyager. Tu sais, cette salope peut rapporter pas mal de pognon, regarde cette vidéo par exemple, je peux la revendre sur le net et gagner plus que le fric que je demande pour une séance comme ce soir. Si tu veux mon conseil, continue à le dominer au quotidien, ne lui laisse entrevoir un espoir que de temps en temps, loue le à tes copains, aux gars que tu rencontre, force le à s'abaisser, à crever de honte tous les jours. Rien qu'en laissant tes potes le sauter deux ou trois fois par semaine tu peux te faire un sacré argent de poche tu sais.

– Oui vous avez raison. Je tourne en rond tout seul, j'ai de plus en plus souvent envie de lui casser la gueule.

– Et bien frappe le, c'est dans son intérêt. Si tu te retiens, un jour tu vas te lâcher et lui faire vraiment mal.

Je restais prostré à plat ventre, le chien avait dégrossit et sorti avec un chuintement humide. Son sperme dégoulina par terre mélangé à mon sang. J'écoutais les horreurs qu'ils débitaient.

– Par exemple, est-ce que tu as envie de le battre maintenant ?

– Ouais plutôt ! Le voir là par terre, dégueulasse, j'ai envie de lui coller mon pied dans la gueule.

– Et bien frappe le, mais pas dans la gueule, là où ça fait vraiment mal, mais où ça ne se voit pas. Le ventre, le cul, les cuisses. Frappe-le sans raisons si tu veux, il faut que ce soit arbitraire pour le casser. Tiens regarde... Eh ! Toi ! Mets-toi sur le dos et écarte grand tes cuisses.

Je savais très bien où il voulait en venir mais j'obéis. Il se plaça entre mes jambes et appuya sa semelle sur mes couilles. Il appuya de plus en plus fort, puis il relâcha et donna un grand coup de la pointe de sa chaussure, juste à l'entrée de mon cul... La douleur me plia en deux.

– Replace-toi.

J'obéis à nouveau, et ce fut le tour d’Éric, qui me frappa encore plus fort. Mais heureusement moins précisément. Je me tordis de douleur, et il me frappa à nouveau et encore et encore, me couvrant de coups. A un tel point que j'avais l'impression que mon corps n'était qu'un énorme hématome. Il se calma et se rassit dans le fauteuil.

– Rhabille-toi sale con.

Je sus que la "séance" était terminée et je commençais à me lever pour me rhabiller, mais Jacques me balaya les jambes.

– Tu reste par terre ici. Ce sont les êtres humains qui sont debout.

Je me rhabillais donc par terre, constatant les meurtrissures et autres bleus qui couvraient mon corps. Une fois habillé, j'entendis qu'Éric donne le signal du départ à genoux à côté de lui. Jacques lui donna une laisse et un collier de cuir fermé par un petit cadenas.

– Il est en métal recouvert de cuir, ça fait assez joli pour passer pour un collier gothique mais il n'est pas coupable. J'avais perdu la clé d'un de mes esclaves auparavant, je lui ai entaillé l'oreille en essayant de le couper. Du coup, j'ai du faire crocheter le cadenas par des jeunes de la cité et en échange j'ai du leur laisser la pute une nuit le temps qu'elle visite toutes les caves et qu'elle revienne plombée. C'était un immigré clandestin, je l'ai ramené aux flics qui m'en ont gracieusement débarrassé.

Sur ces paroles terrifiantes, Éric me mit le collier et la laisse et m'amena à la voiture, toujours à quatre pattes. Il me fit monter dans le coffre et me ramena chez moi. Il se gara comme d'habitude au fond de l'impasse, et m'ouvrit le coffre. J'étais moins sale que les autres jours, mais mon corps n'avait jamais été si douloureux. Il m'enleva la laisse, puis il prit la clé du cadenas. Je pensais qu'il allait me retirer le collier, mais il la jeta dans le coin le plus sombre du terrain vague.

– Oh ! J'ai perdu la clé. T'as qu'à dire à tes parents que t'es gothique maintenant. Au fait, démerde-toi pour trouver une excuse pour dormir chez Jacques tous les vendredis soirs, et puis une fois de temps en temps chez moi aussi.

Je me suis douché dès que je suis entré dans la maison comme d'habitude, et je me suis enfermé dans ma chambre. Vers 20 heures, ma mère m'a monté un plat réchauffé au micro-onde et m'a fait le cinéma.

– J'ai eu ton prof principal au téléphone, il est alarmé, tes notes sont en baisse ce mois ci. Tu passes beaucoup de temps avec Eric en ce moment non ?

– Oui, oui, on se voit tous les jours.

– Bien, c'est bien. Vous allez bien ensemble tous les deux, c'est le grand amour on dirait ! Même si on a mis du temps à accepter ton homosexualité, on pense ton père et moi que c'est un bon garçon.

– C'est exactement ça...

– Vous vous protégez au moins ? Ben ne fait pas cette tête là, je ne suis pas stupide et on est plus au moyen âge... Alors ?

– Oui, on met une capote maman...

– C'est bien alors. J'ai quelque chose à te proposer. Au lieu de passer toutes tes soirées avec lui, pourquoi tu ne te concentrerais pas sur l'école toute la semaine et le week-end tu le passerais chez lui. Non ? Toute la semaine ici, et à partir de vendredi soir, tu peux le voir. Et tu reviens ici dimanche matin pour le repas familial et te préparer pour la semaine à venir... Je veux bien faire un test ce mois ci, et si tes notes remontent, et bien tu feras ce que tu veux de ta vie. En attendant, à partir de demain, c'est moi qui te ramène du collège.

Si elle savait... Elle m'offrait sur un plateau mon excuse pour découcher tous les vendredis chez Jacques et le samedi chez Éric... Mais elle me sauvait de leur emprise le reste de la semaine. J'appelai Éric pour le mettre au courant. Il m'engueula et malgré la distance, mes jambes de dérobaient sous moi. On était mardi, je ne le verrais donc pas avant samedi matin (Jacques ne voulait pas de lui pour sa séance).

Il était hors de lui. Il me raccrocha au nez et me dit de me méfier. J'étais soulagée du répit offert par ma mère à son insu, et je profitais pleinement de mes 3 jours de "congés"...

 

Histoire paru sur le blog anthropie.erog.fr pat TheKevin25

Par masterluc65 - Publié dans : Histoires - Communauté : domination
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